Philosophie

essay B

L’essentiel de ce texte consiste dans son insistance sur la notion de questionnement conscient. Le propre de l’homme, à la différence de tous les autres animaux, est de s’interroger sur le sens de son existence. Il s’interroge parce qu’il a conscience du temps qui passe et de son évolution dans le temps. Il a donc conscience de sa fragilité et la possibilité de sa destruction. II a en ce sens conscience du fait qu’il peut mourir et que son devoir est de maintenir dans l’existence.

C’est donc une forme de paradoxe que présente Schopenhauer : l’homme est à la fois le plus doué des animaux parce qu’il a conscience de choses ue les autres n’aperçoivent même pas. Mais il est aussi le plus petit des animaux, parce que ce dont il a conscience le confronte sans cesse La philosophie est le qu’elle le domaine da le et au mystère qui car allez donc devoir dév next page sibilité de sa mort. conscience parce chit à sa condition, damental.

Vous acon particulière en construisant votre explication selon un découpage linéaire du texte qui en fait ressortir les grandes articulations et l’évolution démonstrative. Suipe to View next page conscience de sa fragilité et la possibilité de sa destruction. Il confronte sans cesse à sa finitude et à la possibilité de sa mort. La philosophie est le plus haut degré de cette conscience parce qu’elle le domaine dans lequel l’homme réfléchit à sa condition, et au mystère qui caractérise ce paradoxe fondamental.

Vous allez donc devoir développer cette thèse de façon particulière démonstrative. L’essentiel de ce texte consiste dans son insistance sur la notion de questionnement conscient. L 2 insistance sur la notion de questionnement conscient. Le propre de l’homme, à la différence de tous les autres animaux, est de ‘interroger sur le sens de son existence. Il s’interroge parce qu’il a conscience du temps qui passe et de son évolution dans le temps.

Il a donc conscience de sa fragilité et la possibilité de sa destruction. Il a en ce sens conscience du fait qu’il peut mourir et que son devoir est de maintenir dans l’existence. Cest donc une forme de paradoxe que présente Schopenhauer : Ihomme est à la fois le plus doué des animaux parce qu’il a conscience de choses que les autres n’aperçoivent même pas. Mais il est aussi le plus petit des animaux, parce que ce dont il a conscience le.