Philosophie et religion

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avec le sacré. Aspect théorique : u Aspect pratique : un La croyance religieus Croire s’oppose à sav (questions métaphys Philosophie et religion Premium gy clemmii 18, 2014 7 pages LA RELIGION La nature du fait religieux : Point commun aux diverses religions= croyance en une divinité ? Non, religion athée est possible (bouddhisme primitif) Notion inséparable de la religion : notion de sacré. Le sacré oppose le profane. Il est l’objet de respect/crainte, il circonscrit le permis et le défendu (tabou). L’esprit religieux est dualiste : il sépare le ciel et la Terre, Dieu et les hommes, le bien et le mal…

Peuvent être sacrés : des êtres, des choses, un espace, un temps. Une religion : L’ensemble des croyances et des rites en relation Swipe to nex: page or7 Sni* to View au savoir rationnel e croyance. Croire que : signe de l’ nonc incertain Croire à : signe de l’incertitude objective (il n’y a pas moyen de démontrer la légitimité de la croyance) + conviction subjective (croire à la justice, à l’immortalité de l’âme… ) Croire en : le plus fort degré de conviction (croire en Dieu) -> la foi (n’existe que dans les religions monothéistes) Croyances sous forme de mythes : des récits d’origine, destinés ? xpliquer un fait actuel.

Religion Religion organisée par l’Eglise (christianisme), les croyances de base prennent la forme de DOGMES. La pratique religieuse : Elle est inséparable de la croyance religieuse : elle l’actuallse, la détermine, la justifie. Rite possédant 3 caractères : Répétitif : prières, signe de croix… Social : pratique religieuse= collectivité Symbolique : signe de croix renvoie à la Passion de Jésus Mythe- croyance collective, qui se dit répétitivement et qui a un sens symbolique. Origine et fondement de la religion Il y a 80. 00 ans on a retrouvé des squelettes en position ecroquevillée « chien de fusil » position du fœtus dans le ventre de sa mère. Les anthropologues ont vu là le signe dun rituel funéraire. Première divinité : la Mère Nature. Association terre-mère. Fondement possible de la religion : la peur du mort (de sa vengeance possible) a précédé l’angoisse de la mort. Le rituel funéraire : le désir de se prémunir contre cet évènement terrible. Fonction sociale : elle est le ciment qui permet aux membres d’une même société de vivre ensemble, unis autour des mêmes valeurs et des mêmes gestes.

Double mission : permettre à l’être umain de vivre dans un monde étrange, hostile, et permettre aux êtres humains de vivre ensemble. A quels besoins répond-elle ? Le besoin de comprendre : La religion est une construction de I PAG » rif 7 répond-elle ? La religion est une construction de l’esprit destinée à donner un sens à la réalité dans laquelle l’homme vit. La religion donne-t-elle réponse aux hommes sur les grandes questions de la vie, la mort, l’amour, la douleur, le mal, la justice.

Certaines découvertes scientifiques comme la théorie de l’évolution ont pu être contestées par les autorités religieuses qui voyaient une concurrence, une menace. Le besoin de vivre ensemble : La fonction de la religion n’est pas seulement d’ordre théorique, intellectuel. Cest un ensemble de pratiques collectives et de liens qu’elle détermine entre les fidèles et les croyants. La religion donne une forme à une communauté lorsqu’elle ne vit pas seulement dans le présent concret mais aussi dans un espace et dans un temps tout autre (le sacré).

Il y a aussi le besoin de croire et d’espérer. Même s’il s’agit d’un préjugée ou d’une illusion, on tiendra pour absolument vrai ce qui est cru par le groupe (croyance collective). Le besoin d’être rassuré : Freud a rattaché la religion à l’état de dépendance du petit enfant vis-à-vis de ses parents : Dieu serait le substitut symbolique du père. Les raisons de la religion sont autant psychologiques et affectives, qu’intellectuels et sociales. La religion répond aux grands besoins existentiels de l’être humain. PAGF3C,F7 qu’intellectuels et sociales.

Les conceptions de la divinité Einstein « Définissiez-moi d’abord Dieu et je vous dirai si j’y crois Polythéisme : croyance en une pluralité de dieux. Monothéisme : la conception selon laquelle il n’existe qu’un seul Dieu. Panthéisme : il assimile la divinité au cosmos tout entier. Dieu est imminent : chaque élément de la nature (nous y compris) est une parcelle de divinité alors que le monothéiste conçoit Dieu comme transcendant (infiniment supérieur au plan de la nature et de l’esprit humain). Déisme : Conception philosophique.

Tels Voltaire et Einstein, le déiste croit en rexistence de Dieu mais s’arrête là : il rejette les dogmes des églises (croyant mais ANTICLÉRICAL). Il lui paraît plus raisonnable (parce que le monde existe) de croire que de ne pas croire. L’agnosticisme : L’agnostique ne croit ni ne croit pas. II n’affirme as mais ne nie pas Dieu. Il suspend son jugement et pense que ces questions dépassent à jamais l’entendement humain. L’athéisme : Il nie radicalement l’existence de Dieu. Ils admettent la possibilité d’une réalité sans cause, pourquoi ne pas admettre que cette réalité sans cause extérieur c’est l’univers même ?

Critiques de la religion La religion est une aliénation Marx a été tenté par la théor même ? Marx a été tenté par la théorie des Lumières dites « théorie de l’imposture formulée par Voltaire « Qui fut l’inventeur de la religion ? Ce fut le premier fripon qui rencontra un imbécile On aisait de la religion l’invention du prêtre. Marx s’est dit : ce n’est pas le prêtre qui fait la religion, c’est la religion qui fait le prêtre. Pourquoi les hommes seraient-ils assez imbéciles pour croire aux fables des prêtres ?

Marx part des analyses de Feuerbach : le thème de l’aliénation, et de la projection. Aliénation : l’homme religieux se dépouille de ses valeurs et de ses biens pour les projeter dans un au-delà imaginaire. Marx rattache la religion au grand ensemble qu’il appelle l’idéologie Elle justifie un état de fait : dans la monarchie de IAncien Régime, e roi n’était pas élu du peuple mais celui de Dieu. Elle cache un état de fait : les croyances religieuses ne nous font pas comprendre le réel, elles nous le font fuir. « La religion est l’opium du peuple » Elle inverse un état de fait, sur un plan imaginaire. ex : dire aux pauvres, « les vrals riches c’est vous » La conception marxiste de la religion critique donc une religion aux pouvoirs et aux intérêts d’une classe dominante. La religion est une faiblesse Pour Nietzche, l’être humain est animé pa classe dominante. Pour Nietzche, l’être humain est animé par une volonté de uissance diversement qualifiée. Religion= volonté décadente • elle est la justification du faible qui ne peut plus vouloir faire la force : ainsi l’orgueil sera-t-il dévalué par quelqu’un qui n’a même plus la force de l’orgueil.

Pour lui, le prêtre, le croyant, sont des impuissants prêchant de la chasteté. Ils dévaluent le corps au profit d’une âme imaginaire, ils dévaluent la vie au profit d’un au- delà imaginaire. Ils empoisonnent l’existence avec leurs idées de faute et de pêché. L’homme religieux commet un sophisme : je souffre donc je suis puni, je suis puni donc j’ai péché, j’ai péché onc il est normal que je souffre. « Dieu est mort » signifie que nous sommes arrivés à un point de l’histoire où croire en Dieu n’est plus possible, où les valeurs religieuses n’organisent plus notre vie.

Le « surhomme » est l’homme devenu Dieu, celui qui est assez fort pour créer ses propres valeurs, renvers de l’incroyant mesquin. La religion est une illusion Marx faisait une histoire et une sociologie de la religion Nietzche une psychologie Freud en fera la psychanalyse Il existe une analogie entre la religion et la névrose obsessionnelle. La religion est une sorte de névrose collective, comme la névrose st une sorte de religion i est une sorte de religion individuelle.

La névrose obsessionnelle est un être angoissé par la vie, qui tâche de réduire son angoisse grâce à un ensemble de manies, qui constituent un vrai rituel. Les symptômes du névrosé sont symboliques et répétitifs comme les rites du croyant L’enfant fait de ses parents une représentation imaginaire imago Selon Freud, Dieu le Père et la Déesse Mère sont la projection dans l’au-delà de l’imago parentale- le sgne que l’enfant, même devenu adulte, n’a pas renoncé à ses représentations fantasmatiques.

Dieu est Phéritier du père idéal (il en a la toute- puissance), la déesse ou la vierge est Vhéritière de la Mère idéale (elle est vierge car un enfant est incapable d’assimiler psychologiquement la sexualité de sa mère). La religion est-elle nécessaire à Vhomme ou bien n’est-elle qu’une étape transitoire de son destin historique ? l_Jne civilisation est envisageable sans religion mais le monde technoscientifique et économique ne peut être capable de donner un sens à l’existence. Cela signifie que seul la religion est capable de nous donner des valeurs d’existence, donc de nous rendre la vie supportable.