Les Fourberies de Scapin
Dans cet extrait de Les Fourberies de Scapin de Molière, le personnage de Scapin, dans l’espoir de retrouver sa bien aimée Zerbinette, tente de soutirer de l’argent à Géronte. pour se faire il invente une fable qui place le fils de Géronte entre les mains des Turcs. Nous verrons de quelle manière apparaît le comique dans cette scène. La scène commence sur une parodie du Cid de Corneille et son fameux « Ô rage, Ô désespoir, Ô vieillesse ennemie » ; Scapin, qui se trouve face à Géronte, prétend ne pas le voir, tout en le demandant.
Ce comique de geste en début de scène, que l’on ppel Lazzo, fait rede le début d’une autre. La suite de la scène t fait entre l’annonce d le fils de Géronte, et I d Swipe loview nextp g la fin d’une scène et le décalage qui est quelle est tombé plaisante qu’il lui fait. En effet on retrouve le champ lexical de l’appréciation tel que « bien « bonne mine « civilité », « excellent « meilleur alors que Géronte s’attend à y trouver le récit d’une mésaventure, ce que l’on décèlera dans sa réplique suivante « Quy a-t-il de si affligeant à tout cela ? » C’est ensuite que Scapin annonce ce qui fait le Swige to next page