La Joconde
La Joconde Léonard De Vinci or 3 Sni* to View La Joconde est assise dans une Logia, il ya des colonnes de part et d’autre ainsi qu’un petit muret derrière, elle tourne le dos au paysageS. Elle est assise dans un fauteuil, son bras gauche Est appuyé sur un accoudoir, cet accoudoir est l’unique trace du fauteuil, il n’y a pas de dossier apparent. Le paysage à l’arrière plan est curieux, il est composé uniquement de rocher, de terre et d’eau, il n’y a aucun arbre (absence complète de végétation).
La seule construction humaine est un pont. Ce pont enjambe ce qui ette époque, nous mettons plutôt la figure peinte derrière le muret. C’est un petit trait de génie de Leonard de Vinci car ce n’est pas le muret qui fait barrière mais le bras de la Joconde qui bloque la pénétration. Le buste est de 3/4 et les yeux perpendiculaires aux plans et le visage presque de face.
Le sourire : il n’ya pas de portrait souriant avant la Joccande à l’exeption du tableau d’Antonello de Messine (l’homme qui rit) mais son sourire est une grimace La Joconde sourit parce que son mari Francesco Del Jiocondo a commandé son portrait au plus grand peintre des temps, car elle ui a fait deux beaux héritiers males, C’est un tableau de bonne heure ou une jeune femme de 22 ans est honorée par l’amour de son mari. Le lien figure/paysage est bien plus intéressant : dans la partie droite du paysage on trouve des montages très hauts et un lac plat comme un mirolr donc la ligne d’horizon est très haute.
Dans la partie gauche le paysage est beaucoup plus bas, la bouche de la Joconde est légèrement plus levé vers le paysage le plus haut, cela signifie qui existe une transition entre les deux parties du paysages par le biais de la bouche. Vinci écrivait que la pe transition entre les deux parties du paysages par le biais de la bouche. Vinci écrivait que la peinture est cosa mentale, Ce peintre a pour idée que la beauté est éphémère. La Joconde représente la grâce d’un sourire or le sourire est aussi éphémère et c’est se sourire de la grâce qui fait l’union du chao du paysage de derrière.
Du chao on passe à la grâce et vice- versa, c’est donc une médiation sur la double temporalité. On est au cœur du problème du portrait puisque le portrait est inévitablement une méditation sur le emps qui passe, quant au pont il est également le symbole du temps qui passe, Del Jocodio aurait détesté ce tableau, la femme est trop proche du spectateur, une femme qui souris et qui a les sourcils épilées, à l’époque, seule les prostituées s’épilent les sourcils, et ensuite il la plante devant un paysage terrible.
Son mari aurait préféré des prairies , des arbres… ce que l’on trouve dans les fonds de portrait de Raphael, le pont a été peint pour expliquer qu’il n’avait pas fait n’importe quoi, le pont est un indice. C’est un tableau très innovateur