Courage Paul ELUARD
Courage, Paul ÉLUARD (au rendez-vous allemand), 1 944 (1942) Durant la seconde guerre mondiale, qui a fait 60 millions de morts. Elle oppose la France à l’Allemagne, de cette guerre il écrit ce poème. C e poème a été publie anonymement, et a était rendu publique en 1944 dans le recueil au rendez-vous Allemand. C e texte nous parle de Paris l’engagement de Paul eluard est totale. C’est un texte engagée dans lequel l’auteur prend la plume et invite les parisiens à la résistance et à la révolte.
Ce texte est écrit avec un lyrisme particulier puisqu’il s’agit d’une déclaration ‘amour à une ville martyrisé. Cest un poète surréaliste et tic. résistant. Dans un premier tem quasiment impressio aperçu fidèle à l’occu patrimoine. Avec ce L désespère et les invit or 3 gal rtrait de Paris il donne un ent sa foie et son l’énergie a ceux qui Anaphore avec Paris donne le tempo du texte, cette insistance n’est pas joyeuse, elle est plutôt triste a cause de la privation de Paris L’absence des marrons représente la fin des petits plaisirs pas cher.
Il plaint beaucoup les pauvres : « Plus de malheur encore est imposé aux pauvres. » En tant que communiste, il est sensible à la misère des personnes. Idée Idée de manque renforcé par les tournures négatives repris au vers IO, de plus le pléonasme « les vieux vêtements de vieille » renforce cette idée de monotonie. Mots simples pour que tout le monde puisse le comprendre. « Paris dort debout sans air dans le métro » représente le lieu ou ils se sont réfugiés face au bombardement. 2 sens : la situation les poussent à rester debout/ absurdité d’une tel histoire qui a perdu sa réalité. ? Paris tremblant comme une étoile » fait reference aux etoiles ue devait porter les juifs L’apostrophe « Paris ma belle ville, tu vas te libérer de la fatigue et de la boue. » Eduard fait une déclaration d’amour à Paris, le tutoiement montre encore plus une famillarlté. L’humaniste doit être une nouvelle idéologie de rassemblement pour cette raison la métonymie entre paris et le parisiens permet d’exclure personne, « tout ce qui est humain » renvoie ? l’humanisme de la culture parisienne.
L’allitération en V avec 2 mots de la même famille insiste sur la vivacité de Paris, sa force, son courage comme l’indique le titre. Une série d’oxymore relèvent la dualite de la capitale française : « fine comme une aiguille, forte comme une épée » des capacités qui doivent aider paris à sortir du joug nazi, l’aiguille représente le renseignement capable de s’infiltrer, ‘épée resume les actions résistantes des trains allemands qui explosent aux attentats contre les générau resume les actions résistantes des trains allemands qui explosent aux attentats contre les généraux nazis.
Il ne veut pas juste flatter Paris il veut vraiment que les parisiens e battent, c’est pour cela qu’il est engagé et défend une cause, celle du renouveau de la liberté et de l’action pour la libération. Il appelle à la fraternité et à la solidarité : « Frère ayons du courage… », l’utilisation de la première personne du pluriel fait passer le temps d’un lyrisme individuel à un lyrisme collectif, le poème devient chan de partisans et fait devoir de mémoire et que l’on doit continuer comme eux, comme si leur sang perdu donner de l’énergie cela renforce l’idee du patriotisme.
Métaphore comme « la pointe de délivrance », images simples a omprendre. La fin du poème est plus singulière, pas de haines contre les allemands, mais une sorte de pitié car ce sont des victimes de la guerre d’après lui. Éluard est marxiste et pense que la libération se fera par le peuple, d’ou la simplicité des textes. Ce texte est simple mais efficace, typique de la littérature resistante à l’époque, les rythmes et les versifications du texte sont destinées à rassembler le plus de personne. Les thèmes sont : liberté, humanisme, courage et espoir. sans oublier le côté tragique, il redonne du baume au coeur au parisiens.