Commentaire L Le Des Esclaves De Marivaux
font les valets. Développement : l- Marivaux nous prése galant entre les pers éléments nous le dé On note tout d’abor Commentaire L Le Des Esclaves De Marivaux Premium By claracelhay MapTa 26, 2015 | 3 pages Introduction Le XVIII siècle est un siècle de contestation et de critique sociale. Le théâtre, très bon moyen de diffusion, permet aux auteurs de critiquer la société et ce qui la constitue, notamment grâce à la comédie.
Marivaux, auteur des Lumières, rejoint ses principes en critiquant la galanterie du XVIIIa siècle à travers ce texte xtrait de la scène 6 de L’ile des esclaves, publié en 1725. Nous nous interrogeront sur la manière dont les valets parodient le discours galant de leurs maitres. L’examen du texte portera sur la présentation d’une scène d’amour galant puis sur la parodie qu’en Swp to page ors d a ges n discours d’amour quin. Plusieurs vec les scènes précédentes au niveau du langage utilisé.
En effet, les valets adoptent un langage codifié semblable à celui de leurs maîtres. On observe premièrement l’apparition du vouvoiement dès la remière réplique du dialogue entre Cléanthis et Arlequin : « Remarquez-vous, Madame, la clarté du jour ? » puis tout au long du texte « vous lui ressemblez » ; « Qu’avez-vous donc, vous défigurez » etc. De plus, ils ne s’appellent plus par leur prénom mais par « Monsieur » et « Madame » tout au long de l’extrait « Remarquez-vous, Madame, la clarté du jour ? ? ; « Monsieur, vous êtes galant Mais encore, ils se remerci remercient sans cesse « Et moi, je vous remercie de vos ispenses Nous remarquons également dans la forme des phrases : « vous m’allez dire que vous m’aimez » ; « Ne peut-on en être quitte à moins ? » et le vocabulaire utillsé : « palsambleu » ; « mes grâces » ; « sincérité de mes feux » que le langage passe du registre courant au registre soutenu. En effet, au XVIIIb siècle, galanterie rime avec politesse et civilité.
Ainsi, le vouvoiement, les appellations « Madame / Monsieur » et les remerciements sont des marques de politesse et de galanterie. Les valets changent de discours pour rentrer dans la peau de personnages de haute classe sociale, de bourgeois, afin de pouvoir tenir un discours galant sérieux et correct. Il s’aglt ensuite de l’attitude adoptée par les personnages. Nous relevons dans le texte la réplique d’Arlequin à Iphicrate « Qu’on se retire à dix pas Ainsi, Cléanthis et Arlequin se retrouvent seuls pour le reste de la pièce, ce qui donne une ambiance plus intime.
De même, nous relevons dans une réplique de Cléanthis « vous ous promenez avec moi » : les deux valets sont donc seuls, entrain de se promener, ce qui ajoute un certain romantisme ? l’intimité (promenade romantique). Nous ajoutons à ceci l’attitude d’Arlequin « Faut-il m’agenouiller » qui nous suggère qu’il est prêt à tout pour séduire sa belle. De plus, nous notons l’attitude de Cléanthis qui, face aux avances d’Arlequin, fait la prude en les déclinant : « Laissez-moi, je ne veux point d’affaire ; levez-vous. Ces relevés impliquent toutes les attitudes requises au bon dér