Origines familiales et etudes

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Origines familiales et études[modifier modifier le code] Pacheco Areco venait d’une famille de politiciens, son père, Manuel Pacheco, médecin et parlementaire, étant issu de la famille Batlle Pachecho et descendant ainsi du fondateur de l’Uruguay moderne, José Batlle y Ordôhez. Les Batlle Pacheco contrôlaient la liste 14 du Parti colorado, conservatrice et opposée au néobatllisme de Luis Batlle Berres (président de 1947 à 1951). Par ailleurs, son grand-père maternel, Ricardo Areco (es), était un juriste et parlementaire reconnu.

Jorge Pacheco entama des études de droit sans les achever. Il fut professeur de lettres et d’espagnol, ainsi que journaliste à El Dia p g (es), organe de press Batlle Pacheco (es), 1961 et 1965. Il se maria plusieurs f de son oncle, Rafael e quotidien, entre r mariage un fils, Ricardo, qui siège aujourdhui à la Cour des comptes, et deux enfants de son second mariage, l’un deux, Jorge Pacheco Klein (es), ayant été un parlementaire colorado. Il se maria d Suipe to View next page deux autres fois.

Débuts de l’activité politique[modifier modifier le code] Pacheco milita d’abord dans les rangs du vierisme (es), une tendance batlliste conservatrice nommée d’après le président Feliciano Viera (1915-1919). II prononça son premier discours politique à la radio en 1946, et commença à se faire connaître avec son ami Raumar Jude (es), membre du Parti colorado, qui, sur les conseils de son père, s’était rapproché de la famille Batlle Pacheco afin d’obtenir un poste dans la rédaction dE-l Dia 1 .

Pacheco fut ainsi élu député aux élections de 1958, sur la Parti olorado du Parti colorado, menée par le sénateur Carlos Mattos (es). II fut ré-élu en 1962, un an après la mort de son oncle, ce qui fit de lui le rédacteur en chef du quotidien El Dia. Mais il dut démissionner, en raison de discordances avec un autre oncle, César Batlle Pacheco (es), qui était opposé à la réforme constitutionnelle de 1967 mettant fin au Conseil national du gouvernement, la direction collégiale de l’exécutif uruguayen, réforme que Jorge Pacheco soutenait au contraire.