Travail
En effet, l’Homme ressent une part de malheur qui est dû sa qualité d’être pensant. Ainsi l’on pourrait se demander si l’Homme, en pensant n’échappe-t-il pas au bonheur de par se condition d’être pensant ? Pour se faire nous verrons tout d’abord l’Homme en tant qu’être inévitablement pensant, pour étudier ensuite homme acteur de son propre bonheur. On peut constater que l’Homme, est inévitablement un être pensant. En effet, il est l’unique être vivant à avoir cette capacité à penser, au contraire des animaux ou des objets. Va premier boy corallien amputa 22, 2011 5 pages de malheur et de tristesse que ressent homme face à sa Ainsi, à l’inverse de ces derniers, il a besoin d’user de sa irais oison pour comprendre ce qui l’entoure. En faisant usage de sa pensée, l’Homme à pu évoluer grâce à l’utilisation de matériaux divers, d’outils et surtout de la technique. C’est comme cela qu’en pensant, homme à la possibilité d’agir sur les autres ainsi que sur le monde.
A travers la pensée, il prend conscience de lui, de ce qu’il est et aussi du monde dans lequel il évolue. Mais la pensée est l’un des facteurs qui rend l’Homme malheureux, car au travers de cette dernière, il se rend compte de la faiblesse de sa condition d’être humain soumis, premièrement aux lois naturelles, comme par exemple, les effets du temps sur lui, la faim ou encore la soif, tout ce qui fait en quelque sorte, la bassesse de sa condition d’Homme.
Deuxièmement, selon planton, il se trouve soumis aux désirs, aux passions et aux pulsions, qu’il éprouve et ne peut repousser et doit assouvir, retombant ainsi inévitablement dans le cycle du manque « le désir naît du manque De plus, en pensant, l’Homme prend conscience de sa condition d’être mortel, ce qui lui fait peur et l’angoisse selon la théorie de accréditera. L’Homme sait qu’il va mourir » à déclaré bergers, en effet l’Homme en a conscience, à partir du moment où lui va mourir » à déclaré bergers, en effet homme en a conscience, à partir du moment où il use de sa conscience et de sa raison, alors qua l’inverse l’animal, qui est lui, dépourvu de raison et de pensée ne sait pas qu’il va mourir, il n’en prend jamais conscience, il ne fait que sentir la mort. Se pose alors la question de savoir s’il ne serait pas préférable pour l’Homme d’arrêter de penser pour pouvoir enfin avoir accès au bonheur étant donné le malheur et la tristesse que cause sa condition d’être humain.
Mais il se trouve que l’Homme peut tout de même avoir ces au bonheur, car grâce à la pensée, il est au dessus de la faiblesse de sa condition purement humaine et matérielle, car comme là souligné schizophrène « homme est un animal métaphysique Le bonheur se caractérise par sa définition, en effet il fait référence selon akan, à une durée qui perdurer et non à un instant ou a un moment, au contraire de ‘émotion ou de la joie.
L’état de bonheur est constant à travers le temps. L’Homme est donc le seul être vivant pouvant prétendre au bonheur car ce dernier dépend d’une action de la pensée, ce dont les animaux sont dépourvus. L’Homme de par sa condition d’être humain, tend naturellement dont les animaux sont dépourvus. Naturellement vers le bonheur, ainsi il est facile de constater que le but de chaque homme, est d’être heureux.
Le bonheur est une démarche que l’on pourrait qualifier de personnelle, il est de cause interne et non externe, c’est-à- dire qu’il ne faut pas l’attendre de l’extérieur, du monde, c’est pourquoi autrui ne peut pas être condition de mon bonheur, en tant que lui aussi prétend aux mêmes choses que moi, il semble avoir les mêmes inspirations : bonheur et liberté. De ce fait, autrui recherchant les mêmes satisfactions que oui, il est un frein tant à mon bonheur qua ma liberté.