Les conditions de travail en france: rnalaise au travail ?

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Nous nous intéresserons plus particulièrement du cadre temporel, des sollicitations psychologiques et du rapport avec le public qui sont les principaux facteurs du malaise au travail de nos jours. Rance: malaise au travail ? Premier boy baume harpon 18, 2009 AI pages effectue. Nous traiterons seulement le côté « pénible » des Avec un suicide par jour en moyenne en France avons de quoi nous poser quelques questions et de tenter de remédier à un paradoxe qui est le suivant: Au cours du siècle dernier le temps de travail à diminué, la stabilisé et le droit du travail s’est étoffé. On devrait noter une amélioration en ce qui concerne le moral des français mais pourtant il y a un véritable malaise.

Pourquoi ? Dans un premier temps nous étudierons l’évolution et l’amélioration des conditions puis nous nous verrons que le malaise persiste encore de nos jours avec ses raisons et ses ensemencés. La/ Les conditions de travail en France ont évoluées L’évolution des conditions de travail et du travail lui-même s’est accélérée à la fin du Emme siècle. De nombreuses formes traditionnelles de production et de méthodes de travail ont disparues alors que d’autres sont apparues et se sont développées.

Tout d’abord nous verrons qu’elles ont été les conditions de travail et qu’elles ont été leur évolution au cours de la fin du Emme et le début du Emme siècle notamment puis nous étudierons la situation actuellement. A/ Au cours de la fin du 19 et du début du Emme siècle 1. 850-1900: une première phase d’industrialisation Durant cette cinquantaine d’année, les conditions des travail étaient extrêmement dures et leur amélioration ne fut pas vraiment flagrante. En effet, avec une moyenne de 65 heures de travail par semaine et aucun jour de repos part les dimanches, on peut qualifier ces conditions d’ inhumaines.

Les employés doivent travailler dans l’incertitude constante car leurs dirigeants ne prennent aucune mesure pour maintenir la sécurité sur les lieux de travail et ce sont les ouvriers qui doivent eux-mêmes se prof sécurité sur les lieux de travail et ce sont les ouvriers qui voient eux-mêmes se protéger en réservant une part de leur maigre salaire pour le chauffage et l’éclairage. Les employés étaient même parfois endettés vis-à-vis de leur patron car ils étaient contraints de payer diverses amendes pour des retards, des imperfections dans le produit.

On parle d’une amélioration des conditions de travail peu flagrante car un seul écrit fut rédigé: c’est l’Acte des manufactures qui intervient dans le domaine industriel. Il réglemente les heures de travail et l’âge minimal des employés mais celui-ci ne concerne que les entreprises où plus de vingt personnes étaient employés sur le même lieu Mais on peut noter l’apparition des syndicats pour défendre la cause des employés mais ces derniers à cette époque ont du mal à se faire entendre pour améliorer les conditions de travail et remédier à la forte précarité de l’emploi. . 1900-1930: une deuxième phase d’industrialisation Durant cette trentaine d’années, l’amélioration des conditions de travail fut plus franche, on travaille toujours 6 jours par semaine mais la moyenne du temps de travail et passé à 50 heures pas semaine. On note une amélioration notamment au niveau de la sécurité, à la fin de la première phase d’industrialisation, ,4% des accidents de travail étaient mortels. Dans les années 1 920, ce pourcentage a chuté à 0,70/6 .

Les syndicats acquièrent petit à petit de l’importance et l’embauche des moins de 16 ans devient interdit en 1919 et le gouvernement adopte en 1909 une première loi pour indemniser les accidentés. Cependant, le revenu n’est pas flamboyant avec un salaire de 6 a 16 $ par semaine ! Cette période est considéré comme l’âge d’or du capitalisme et on assiste à une introduction du tayloriser avec un rendement maximum de la man d’?ouvre dans les usines. Ce système est fondé sur la division et la opacification des tâches, le chronométrage des opérations et l’augmentation des cadences de travail pour accroître la productivité.

C’est un système moderne d’exploitation organisée. Les travailleurs et les travailleuses sont sacrifiés à la machine pour le progrès de la société et le principe très stricte des 7 zéros est instaurés: zéro panne, zéro délai, zéro papier, zéro mépris, zéro défaut, zéro stock, zéro accident. On peut voir, même si quelques mesures ont été adoptés entre 1850 et 1 930, que les conditions de travail sont toujours très difficiles et que le réel changement s’installe entendant les année 30. B/ Les années 1930 : le début d’une réelle amélioration I.

Les premières améliorations des conditions de travail C’est avec le Gouvernement de l’on bleu que les premières améliorations apparaissent. En 1936, l’on bleu met en place les premiers congés payés d’une durée de 2 semaines ainsi que la semaine ha de travail/semaine. Le 8 juin 1936, les accords de imitation sont signés. Ils prévoient l’établissement de contrats collectifs, le libre exercice du droit syndical, la création de délégués du personnel et une augmentation des salaires de 7 à 150/6. Après la guerre, la croissance économique est forte et le taux d’emploi est élevé.

Les conditions de travail vont s’améliorer grâce aux luttes ouvrières. En 1950 a été instauré le SEMIS qui est le salaire minimum en dessous duquel aucun salarié ne peut être payé. En 1979, la loi 17 est adoptée sur la santé et la sécurité au travail. En 1982, la durée égale du travail est passée à ha/ semaine et la aime semaine de congés payés est apparue sous le Gouvernement mourra. De plus, est apparue la notion de modulation du temps de travail avec les activités saisonnières. 2. Les conditions de travail de nos jours

Une loi des ha/semaine (Loi barbu ) a été mise en place en France en 2000 par le Gouvernement jasmin également connue sous le nom de ART ( Réduction du Temps de Travail ). Elle fixe la durée légale du temps de travail à temps plein ha/semaine en moyenne annuelle au lieu de 39 heures précédemment. Cette loi cadre visait à mieux partager dans la population active le volume du travail et ainsi limiter le chômage en France. De plus la durée des congés payés est de 5 semaines de nos jours contre 2 semaines en 1936. Grâce à cela, il y a eu un développement du tourisme et une augmentation des loisirs très importante.

La pénible du travail a fortement diminué grâce à l’évolue augmentation des loisirs très importante. La pénible du travail a fortement diminué grâce l’évolution des techniques, ce qui libérera l’homme de certaines tâches. Avec en moyenne ah de travail par jour, la quantité totale d’heures travaillées en France a diminué de 300,6 entre 1913 et 1998. Ceci montre bien une réelle amélioration des conditions de travail au cours du siècle dernier, avec une diminution du nombre d’heures par semaine et une augmentation des congés payés.

On observe pourtant un malaise au travail e plus en plus important. Il/ Mais le malaise persiste Nous avons pu voir précédemment que les conditions de travail avaient beaucoup évoluées depuis 1850 mais il existe un réel malaise dans le milieu du travail encore de nos jours. Nous verrons dans cette deuxième partie que ce malaise se présente sous une forme différente mais qu’il est toujours dévastateur dans notre société. Nous présenterons les raisons et l’ impacts de ce fléau sur les employés français. A/ Les raisons d’un tel malaise I.

Une concurrence de plus en plus féroce La première raison tenue pour responsable de ce malaise u travail réside dans la concurrence du marché et les exigences strictes de ce dernier. Cette concurrence vient en premier lieu des pays émergeant qui produisent plus à un coût bien inférieur des pays du Nord dans le sens économique du terme. Elle vient également de l’omniprésence et de la grande importance importance accordée dans notre société aux actionnaires faisant peser sur les salariés des contraintes strictes.

Partout sous la pression on entend dire que’ « il faut faire mieux avec moins », cela amène à une forte intensification du travail. C’est-à-dire une surcharge, une multiplication es tâches parallèles et une absence des moments de répits. On travaillerait donc plus intensivement, sans pause toujours dans ‘urgence. Ce serait cette course mentale qui userait nos employés français. La guerre économique exige une organisation plus efficace donc plus stressante.

A la course a la productivité s’ajoutent la peur du chômage et de la descente aux enfers, en effet, un sondage réalisé en 2006 montrait qu’un français sur deux craignait de devenir SUD. En 2005, près d’un salarié sur deux déclare à la TARES devoir se dépêcher « toujours ou souvent », et que leur thème de travail est imposé par « une demande extérieure à satisfaire immédiatement ». En outre, six salariés sur dix disent « devoir fréquemment abandonner une tâche pour une plus urgente ». Sept salariés sur dix sont également en contact avec le public, et les situations de tension avec ce public sont en augmentation.

Elles sont plus nombreuses que les situations de tension avec les supérieurs hiérarchiques, ou avec les collègues. C’est l’objet de la deuxième sous partie 2. Le contact avec le public: source importante de stress La relation avec le public représente un autre facteur ajoure de stress et de souffrance au travail. Policier, enseigna représente un autre facteur majeur de stress et de souffrance au travail. Policier, enseignant, infirmière, employé de banque, caissière de supermarché, vendeur, agent DÉFEND, contrôleur SANS, travailleur social etc..

Toutes ces professions, exposées à un public toujours plus exigeant, connaissent un fort indice de stress. Or, le nombre de salariés travaillant au contact d’un public ne cesse d’augmenter : 70,9 % (soit plus de deux salariés sur trois) contre 63 % dix ans plus tôt . Et les relations sont plus tendues. Le temps n’est plus où le fonctionnaire était intouchable et l’usager passif, le client du médecin un « patient » soumis, l’élève docile et les familles effacées. Le règne du « client roi », du consommateur avec des droits se retourne contre le salarié, qui est par ailleurs lui-même un client exigeant.

Nous pouvons ajouter a ses deux raisons principales le fait que les salariés ont l’impressions d’être des « pions » qui sont changés de poste, ou même mutés sans comprendre pourquoi. D’autre part « l’estime de soi » est un terme qui revient souvent, les salariés ont le sentiment de ne pas être reconnus dans leur métier. Pour eux, au quotidien, c’est home si la compétence appartenait au poste occupé et non à la personne qui y travaille. Le sentiment d’ « incertitude » est aussi important. La multiplication des mobilité forcées les empêche de se projeter dans l’avenir.

Enfin, dans une entreprise qui réduit sa masse salariale sans passer par un plan social, beaucoup se plaignent de « harcèlement » et d’ réduit sa masse salariale sans passer par un plan social, beaucoup se plaignent de « harcèlement » et d’être poussés vers la sortie. B/ Les conséquences 1. Du blues du dimanche soir . Quand arrive le dimanche soir, 50 % des Français ont le lues et passent une mauvaise nuit en songeant à la reprise du lendemain. Une étude du groupe monstre sur la « phobie du lundi » révèle que 52 % des salariés français souffrent de troubles du sommeil dans la nuit du dimanche au lundi.