Le chomage des jeunes en france

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Nous allons aborder dans ce dossier le chômage des jeunes en France, phénomène de société souvent relater dans la presse, problématique de la politique économique française depuis 1982. Tout d’abord quelques définition : Taux de chômage : Le taux de chômage est le pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs).

DOn peut calculer un taux de chômage par âge en mettant en rapport les chômeurs d’une classe d’âge avec les actifs de cette classe d’âge. De la même manière se calculent des taux de chômage par sexe, par PICS, par égoïne, par nationalité, par niveau de diplôme Taux d’emploie : Le taux d’emploi d’une classe d’individus est calculé en rapportant le nombre d’individus de la classe ayant un emploi au nombre total d’individus dans la classe.

AI peut être calculé sur l’ensemble de la population d’un pays, mais on se limite e plus souvent à la population en âge de travailler (généralement définie, en comparaison internationale, comme les personnes âgées de 15 à 64 ans), ou à une sous-catégorie de la population en âge de travailler (femmes de 25 à 29 ans par exemple).

pope ôtions active : La population active se définit comme ‘ensemble des personnes en âge de travailler qui sont premier boy maigrira 1 empara 22, 2011 | 13 pages région, par nationalité, par niveau de diplôme ? l’ensemble des personnes en âge de travailler qui sont disponibles sur le marché du travail, qu’elles aient un emploi (population active occupée) ou qu’elles soient au chômage (population active inca inoccupée) à l’exclusion de celles ne cherchant pas d’emploi, comme es personnes au foyer, les rentiers.

En général, l’âge est fixé entre 15 et 64 ans. AI n’existe pas de définition unique de la population active, ui peut ainsi différer selon les instituts, les organismes, et les pays. Au travers de ce dossier nous allons alors tenter de répondre à la question suivante : « Quels sont les caractéristiques du chômage des jeunes en France ? » ( Annonce du plan par le, puis annonce du Grand Un petit un l) 1) par amicale) l) Le chômage : caractéristique et statistique. 1 ) les chiffres globaux .

La France est l’un des seize pays passés au crible depuis 2006 par l’Organisation de coopération et de développement économique (CODE), sur le thème «Des emplois pour les jeunes». Avec 18% de chômage en Yonne parmi les 15-24 ans en 2008, la France est Emme sur 30 dans le classement CODE. La crise a fait remonter ce taux à 21 ,2% au Emme trimestre 2008, outre-mer incluse. Ce taux ne prenant en compte que les actifs, il ne signifie pas que 21 jeunes sur cent sont au chômage.

L’écrasante majorité des moins de 25 ans poursuivent encore leurs études. L’innées fournit donc d’ autres chiffres permettent d’ affiner l’ an se en prenant en compte toute la classe d’âge, étudiants compris et donc à lutter efficacement contre le chômage réside notamment dans le fait que le phénomène du chômage Yonne lieu à des interprétations économiques divergentes les unes des autres sur les causes du chômage.

Ceci tient en partie au fait que le chômage en tant que variable économique, recouvre des formes très diverses. Les différentes formes du chômage : On en distingue en général 3 Le chômage naturel : (ou chômage frictionnée) AI ne peut y avoir aucun chômeur dans une économie. Chaque jour, des individus démissionnent pour chercher un meilleur emploi, des jeunes arrivent sur le marché du travail, l’indemnisation du chômage permet de fait à des individus de s’accorder un temps de battement entre deux emplois…

Le taux de chômage ne peut donc atteindre O % et le marché du travail correspondant au plein emploi se situe aux environs de 3,5 ou 4 Le chômage conjoncturelle : (ou chômage chiennes). Le ralentissement de l’activité économique se traduit souvent par une compression temporaire de la quantité de main d’??uvre dans une économie, les entreprises licenciant pour ajuster leur capacité de production à la réduction de l’activité économique.

Ce type de chômage se résorbera dès le retour de la croissance économique qui entraînera des embauches de la part des entreprises. Ce épée de chômage évolue donc en fonction du cycle économique. Au Le chômage structurel : Le chômage structurel ne dépend du rythme de l’activité économique mais plutôt de l’inadéquation entre d’une structurel ne dépend du rythme de l’activité économique mais plutôt de l’inadéquation entre d’une part l’offre de travail, et d’autre part la demande de travail.

Il résulte pour partie de l’évolutions des qualifications dues aux évolutions techniques qui rend non improbable une partie de la pope ôtions active qui ne trouve pas dans le même temps des emplois correspondant à leurs qualification. Le risque est que ce type de chômage ne se transforme en un chômage de longue durée qui rendrait inemployable terme une partie importante de la population active qui n’arriverait pas à se réorienter vers les secteurs susceptibles (L’un de vous deux passe le propre point sur le graphique correspondant à ma partie et je balance l’interprétation. Interprétation . Le taux de chômage global d’une économie peut s’analyser comme étant la somme de trois types de chômage : le chômage naturel (environ 4 %), le chômage structurel (environ 4 % en France selon les analystes économiques), le hommage conjoncturel (de 0 à quelques % selon le taux de croissance de l’activité économique).

tend conséquence, en phase de croissance élevée, le taux de chômage risque de ne pas décroître en dessous du seuil représenté par la somme du chômage naturel et du chômage structurel (seuil fixé à environ 8 % pour un pays comme la France). 3 ) une répartition inégale selon le sexe , le niveau d’ étude , la région , I’ origine sociale . D’un d appartement ou d’un quartier à l’autre, les jeunes n’ont pas les même origine sociale . N’ont pas les mêmes chances sur le marché du travail.

Selon les chiffres de pôle emploi , 16% des chômeurs inscrits ont moins de 25 ans. Deux départements sont particulièrement frappés et dépassent largement cette moyenne nationale : 37 800 inscrits de moins de 25 ans, soit près de 19% des chômeurs suivis dans le département 22 800 inscrits, soit 22% des inscrits A titre de comparaison, la sein-Saint-dénis ne compte qu’un peu plus de 11 % d’inscrits de moins de 25 ans. Cette moyenne cache de fortes disparités d’une ville à l’autre, et même, entre les quartiers d’une même ville. Ne 2008, soit un bond de dix points en un an seulement. Un niveau stable par rapport à 2007. AI) les causes et conséquences du chômage des jeunes 1 ) le système scolaire . L’ CODE dénonce la névrose du diplôme initial typiquement française, qui fait que l’école scelle de manière «déterminent» le destin d’un jeune, quelles que soient les initiatives qu’il prenne par la suite. 16% des jeunes sortent du système scolaire sans diplôme.

L’échec scolaire est souvent le fruit d’un mode d’apprentissage qui refuse de mettre l’élève au centre de la pédagogie, comme c’est le cas dans les pays scandinaves, notamment la finlandaise. Ce pays est d’ailleurs considéré home doté du meilleur système scolaire du monde. «réussie son insertion professionnelle en France dépends dans une large mesure après une trajectoire scolaire linéaire, d’un diplôme initialement sélectif et particulièrement valorisé par les employeurs», écrit l’CODE.

Qui dévie de ce parcours scolaire rencontre, dès le début, «de multiples manières» dans l’obtention d’un emploi, et s’il ne peut pas compter sur l’aide de sa famille, il a un très gros risque d emprunter une trajectoire d éloignement durable du marché du travail La machine scolaire française fabrique ainsi, à côté d’une ajourée de jeunes «performants», des «débutants en mal d insertion» et des «laissés pour compte», souligne l’CODE. Sans surprise, ces derniers sont «principalement des jeunes qui n ont pas de diplôme. Ils sont souvent issus de I immigration ou proviennent de quartiers défavorisés». ) D’autre facteur du chômage chez les ?unes. Comme on la vu dans les précédentes statistiques, les jeunes sont la catégorie la plus touché par le chômage. Trente ans de politiques pour l’emploi n’ ont rien fait : le chômage des 18-25 ans se maintient au-dessus de 20 %, ce qui place la France au eue rang sur 30 au sein des pays de ‘CODE. Quant à leur taux d’emploi, il tourne autour de 30 %, soit autant que celui des personnes handicapées. Lorsque martien herscher, haut commissaire aux solidarités actives, parle de « génération sacrifiée », le terme est donc à prendre avec beaucoup de sérieux.

Parmi les explications, l’CODE cite la rigidité du marché prendre avec beaucoup de sérieux. Parmi les explications, l’CODE cite la rigidité du marché du travail, la « névrose typiquement française » du diplôme initial et, surtout, l’instabilité chronique des politiques en faveur des jeunes. De fait, notre enquête montre que de nombreuses usures sont prises chaque année sans souci d’efficacité ou de cohérence globale. Jusqu’ début des années 1980, les jeunes ne faisaient l’objet d’aucune statistique distincte, ni de mesures spécifiques de la politique de l’emploi.

Mais depuis trente ans, les dispositifs se multiplient et se superposent à une vitesse vertigineuse. Dans son rapport « Des emplois pour les jeunes », l’CODE en compte plus de quatre-vingt différents et note qu’ils n’ont produit aucune amélioration de l’emploi. La question de la pertinence et de la cohérence globale des mesures mérite donc d’être posée. TIC, TOC, Trace, Pacte, ICI, civils… Un dispositif se substitue ou s’ajoute aux autres avant même d’avoir pu être évalué. Et les jeunes les plus défavorisés passent souvent d’un dispositif à un autre, sans jamais parvenir à s’insérer durablement dans le marché de l’emploi.

Les structures d’accueil sont nombreuses : si les missions locales constituent la pierre angulaire de l’aide à l’insertion professionnelle des jeunes, de nombreux organismes publics et parapublics sont également en charge du problème. Les CAÏD], CRI], CADI, PIGE, PLIE, antennes jeunes, maisons de l’emploi et associations subventionnées ‘ajoutent au Pôle pli], PLIE, antennes jeunes, maisons de l’emploi et associations subventionnées s’ajoutent au Pôle Emploi avec lequel ils « oc-traitent ».

En fait, les structures d’aide l’insertion professionnelle des jeunes ont suivi depuis trente ans un développement intense mais entièrement bureaucratique. Aujourd’hui, elles « distribuent » des contrats et dispositifs destinés aux jeunes pour un budget total de plus de 6 milliards d’héros. Exemple d’un organisme de soutien pour l’emploi des jeunes : Le civils, mission et résultats Créé en 2005, le civils vise à accompagner vers un emploi arable les jeunes de 16 à 25 ans rencontrant des difficultés particulières d’insertion.

Il consiste pour l’essentiel en un suivi personnalisé et une aide financière de 300 ? par mois, dans la limite de 900 ? par an. Pour un coût estimé à 60 millions d’héros par an en plus des 1 500 embauches dans les missions locales pour le distribuer, le civils affiche des résultats mitigés. Sur les 484 000 jeunes entrés en civils entre avril 2005 et décembre 2007, 8 % ont accédé à un CADI, 6 % à un CÈDE et 5 % à une alternance ou un contrat aidé. Les autres ont été reconduits dans leur entrant ou sont redevenus chômeurs ou inactifs.

Des résultats bien minces, surtout au regard du public concerné : 23 % des jeunes entrés en civils sont bacheliers ou ont atteint la classe de terminale et 20 % sont titulaires d’un CAP ou d’un BÉBÉ. L’engrenage débute en 1982, date de création des premières missions locales. Inspirées des c BÉBÉ. Premières missions locales. Inspirées des conclusions du rapport sécheras commandé par français méditerait, leur objectif est noble : destinées aux jeunes de 16 à 24 ans sans qualification et sortis du système scolaire, elles les accompagnent vers l’emploi en adoptant une « approche louable ».

En fait, la nouveauté est d’aider les jeunes les plus défavorisés à résoudre leurs problèmes de la vie quotidienne (logement, santé, etc.. ) pour leur permettre ensuite d’accéder à l’emploi. Elles prennent le plus souvent la forme d’une association créée par la commune et présidée par un élu. Il existe aujourd’hui 484 missions locales. Elles sont dotées de plus de AI 000 agents pour un budget de fonctionnement de près de 500 millions d’héros par an. On peut estimer que les résultats sont trompeurs, pourtant, le CANAL [2] se félicite dans son rapport annuel es résultats obtenus par les missions locales.