Sommes nous toujours libres dans nos décisions
Cependant, les raisons conscientes qui guident notre décision permettent une liberté rationnelle fondée sur la pensée. Mais quand ces raisons sont-elles vraiment les nôtres sinon quand en décidons-nous? La décision nous apparaît comme un choix libre et fonder pour a plupart des personnes qui l’énonce,mais ce choix u 11 u dans nos décisions premier boy soleil harpe 08, 2009 | 5 pages n’est-il en parti déterminer par les différentes contrainte qui serait contraire à un swaps toi vie nées page une décisions libre?
Il n’ a pas de décision sans un choix libre : il faut que le sujet puisse choisir entre plusieurs possibilité pour qu’on parle de décision. Le sujet doit donc être libre par rapport aux possibilités et non contraint à une seule, il faut que les subtilités aient la même valeur de simples possibilités et non de nécessités. Dans ce sens, la liberté est la condition de la décision et la décision est toujours libre. La décision est un choix qui nous implique, à la différence d’un simple choix, la décision marque l’autorité du sujet.
On dit généralement qu’on « se » décide, cela signifie que tout dépend de la délibération du moi dans la décision et non d’une contrainte extérieure. Prendre une décision c’est s’affirmer en tant que personne responsable de ses actes qui décide en pleine conscience de cause. La décision est un choix responsable et donc libre. Parmi toutes les possibilités qui se présentent, c’est le sujet libre qui choisit laquelle il va rendre réelle par ses actes. Décider signifie trancher, arrêter une délibération, c’est une marque d’autorité du sujet sur les différentes raisons qui le bloquent.
malle est incapable de prendre une décision par ce qu’il est prisonnier de ses réflexions, il ne sait pas quel parti choisir parmi tous les choix possibles. La décision marque la liberté qui permet d’agir dans l’incertitude du choix. Contre l’idée que notre conscience est libre et indifférente, on peut objecter qua indifférente, on peut objecter que les sciences humaines nous montrent que la consciences est déterminé par un inconscient social, historique, personnel…
L’inconscient, quel que soit sa nature, repose sur l’idée de déterminisme c’est à dire l’idée qu’un objet est soumis à des lois. La conscience n’échappe pas au déterminisme, la liberté n’est qu’une impression qu’elle a du fait de l’ignorance des causes qui la déterminent. La décision est souvent déterminée par un processus inconscient : par exemple, la cession de faire tel ou tel métier est déterminée par des pressions sociales qui ne sont pas forcément réfléchies consciemment. La décision est un choix qui se fait dans l »ignorance de ses conséquences.
Si ses conséquences sont mauvaises, elles seront une contrainte et non des conséquences désirables. Le fait que la décision soit un choix incertain est un défaut et non un avantage pour notre liberté. L’indétermination du choix dans la décision n’est que l’expression des limites de notre connaissance. Cette ignorance est ce qui conduit faire le mal involontairement, on peut dire avec société eu nul ne fait le mal volontairement et que tous ceux qui agissent mal agissent par ignorance et ne sont donc pas libres.
Le fait de ne pas arriver à se décider est lié à une conscience des conséquence de nos choix. La conscience des conséquences est une marque d’intelligence et de liberté de réflexion choix. La conscience des conséquences est une marque d’intelligence et de liberté de réflexion tandis qu’une décision irréfléchie est le signe d’un caractère impulsif et brutal. La paralysie devant le possible est donc la marque paradoxale d’une liberté de délibérer qui est plus proche ‘une réelle liberté d’agir en connaissance de cause que de la liberté illusoire de l’indétermination.
Les risques écologiques qu’engagent certaines décisions aujourd’hui sont l’exemple d’une situation où la liberté consisterait plus à s’arrêter pour réfléchir qua décider et agir sans penser aux conséquences. La décision n’est pas nécessairement un acte impulsif irréfléchi, elle peut être le terme d’une délibération rationnelle. Les nécessités de l’action et des situations obligent à agir dans une ignorance relative quant aux conséquences de l’action. La décision est justement ce qui remet de choisir le meilleur possible dans cette ignorance relative.