Sommes-nous responsables de nos erreurs ?

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Cela nous amène à nous poser la question suivante : Sommes-nous responsables de nos erreurs ? La responsabilité est assimilée à un devoir de réponse e ses actes ; assumer l’énonciation ou l’affectation de ses actes. Lorsque l’on est l’instigateur d’un acte ou d’un propos, on devient le responsable ce celui ou ceux-ci. Pour ce qui est de l’erreur, c’est le fait d’être en dehors de la vérité. L’erreur peut être de jugement, d’opinion, de calcul, pédagogique, ou plus récemment, ce terme s’applique aussi au domaine des technologies comme l’informatique.

Mais si nous restons au niveau de l’erreur humaine, elle est bien d’être en dehors du vrai, il ne faut pas la confondre avec la faute qui, elle, fait référence au monde juridique et à la morale, donc à des règles. Dans un premier temps, nous allons voir comment la responsabilité peut-être basée sur la liberté de l’homme, puis nous verrons Sommes-nous responsables de nos erreurs ? Premier BOY adjudants harpe 17, 2009 | Il pages swaps toi vie nixe page verrons en quoi les passions remettent en question la responsabilité.

Et enfin, comment l’absence de libre-arbitre est un argument conte la responsabilité. La responsabilité des ses erreurs est d’assumer à un acte ou un propos qui est en dehors de la vérité, qui fut décidé et réalisé par soit même. La responsabilité découle donc d’une démarche personnelle. Une personne contrainte physiquement n’est donc pas responsable. Un homme forcé physiquement à prendre la direction de droite à un carrefour, n’est pas responsable de prendre le mauvais chemin pour aller à son travail sachant que le bon était celui de gauche.

La responsabilité est donc applicable à un choix personnel. Dessertes dit dans les Méditations métaphysique, AI : « Mais qu’est-ce que donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est-ce qu’une chose qui pense ? C’est à dire une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent. Dessertes définit ici la base de sa théorie dite du « cogiter ». Cette théorie naît d’une démarche basée sur le doute. Le doute de tout, de ses opinions, de ses connaissances,…

Dessertes tient à être dans la vérité et être possesseur d’opinions certains. La certitude étant ce qui résiste au doute. AI met en doute le monde sensible. Ses sens ne le tromperaient-t-ils pas ? Mais douter du monde sensible s’assimile à la folie, seulement, la nuit, nous sommes tous dans un moment de folie sensible s’assimile à la folie, seulement, la nuit, nous sommes tous dans un moment de folie, nous croyons vivre es choses, plus ou moins raisonnables. Un homme vole dans son rêve, ce qui est théoriquement impossible dans le monde de la veille, et portant il y croit.

Ainsi un rêve pourrait être le monde réel etc. que nous considérons le monde réel pourrait être un rêve, encore que l’appellation de « monde réel » est abusive car le rêve s’établit dans le monde réel tout comme la veille, l’état humain étant juste différent. Le rêve pourrait, en effet, imiter à la perfection le monde du rêve. L’argument du rêve nous permet de remettre en cause notre propre corps et le monde qui est nés nous entourer. Mon corps, d’homme de 1 ma, kg, n’est plus crédible ; alors que me reste-t-il ?

Ici, on commence à pouvoir mettre en place une notion d’existence individuelle sans influence extérieure, mais sous quelle forme… S’il s’avère que cette existence seule existe alors, une première piste de responsabilité individuelle s’ouvre à nous. Dessertes dit dans les Méditations métaphysique, AI : « C’est de penser qui me fait savoir que j’existe. » En effet, je ne peux pas douter que je pense, puisque l’action même de douter est possible grâce au fait que je pense.

Je pense, j’existe, je suis, c’est la théorie du « cogiter ». Douter est donc une sorte de liberté, nous nous détachons de tous ce qui est peut-être faux avec une remise en cause globale de nos opinion détachons de tous ce qui est peut-être faux avec une remise en cause globale de nos opinions. Se détacher des préjugés, des théories non fondés, des mensonges, soit exprimer, ici, son individu à travers ses pensés. Donc, un choix est exprimé par sa propre pensée, la seule chose certaine.

La responsabilité est individuelle. L’Homme ne peut pas ne pas être responsable de ses erreurs puisqu’ est simplement ‘expression de sa pensée (non déterminée) seule chose vraiment certaine d’après le « cogiter » et comme vu précédemment la responsabilité est de répondre et d’assumer ses actes personnel. Dans, Principes de la Philosophie, Dessertes explique que l’esprit est libre de concevoir et de vouloir, il possède une volonté libre. Cette affirmation découle d’une comparaison avec la machine.

En effet, la machine peut être programmé avec une multitude de réponses, d’actions, etc…. Elle ne pourra jamais s’habituer à une situation imprévue car elle n’ pas de volonté libre. Celle-ci même qui permet à l’homme d’être libre de faire ses choix et qui fait qu’il n’est pas déterminé comme la machine. Donc responsable de ses erreurs décidées par sa volonté libre. Cette idée de liberté totale de l’Homme se retrouve aussi chez les philosophes modernes comme Jean-Paul Sarthe qui disait « Totalement libre, totalement responsable ».

En effet il considérait que l’homme était totalement libre de son devenir et de celui de homme en général, et que c’était de la I totalement libre de son devenir et de celui de homme en général, et que c’était de la lâcheté de considérer l’homme responsable au vu de sa liberté totale. Il faut août de même noter que cela s’applique juste au devenir de l’individu, donc à juste une certaine catégorie d’erreurs. Mais on peut en effet considérer l’Homme comme totalement libre et capable d’aller, par exemple à contre courant, de ce qui se dit, de ce qui semble être ce que tout le monde fais…

Ainsi, il sera dans l’opposition, certes, mais il agira avec propre volonté, peut-être sera-t-il dans l’erreur du moins, il sera libre, donc responsable dans tous les cas. Cela explique aussi l’engagement politique de Sarthe qui, se insisteront libre, ne voulait pas être responsable des erreurs de l’existence humaine et donc essayer de changer les choses. L ‘Homme est donc, si on se base sur le cogiter et la volonté libre de Dessertes, totalement responsable de ses erreurs car il en est le propre instigateur, par sa propre volonté libre et non déterminée.

Dessertes expose dans Les passions de l’âme, sa théorie sur l’influence des passions sur la volonté. Les passion sont des émotions, des sentiments, qui ont une influencent notre volonté. Dessertes prend un exemple concret dans une Lettre à chant, le 6 Juillet 1647. Il y explique que risquons était petit, il fut pris d’amour pour une jeune fille qui louchait. Puis, plus tard, il rencontra une femme qui elle aussi I d’amour pour une jeune fille qui louchait. Puis, plus tard, il rencontra une femme qui elle aussi louchait et alors il fut amoureux de nouveau.

Ici, une première preuve de l’absence de liberté totale. L’amour est déterminé par un élément extérieur à l’âme donc la liberté s’efface face d’autres contraintes. Dessertes appelle cela les passions. Les passions influencent donc notre liberté. AI y a donc, ici, un phénomène incontrôlable par notre propre volonté. Si sou prenons le cas d’un homme pris d’une passion colérique car précédemment une personne la fortement énervé, celui-ci va jeter dans son sac par terre en oubliant qu’il avait mis un objet très fragile à l’intérieur.

Alors, cet objet sera cassé par une action soumise à la colère, soumise à une passion ; il ne voulait pas volontairement casser l’objet. Ainsi, nous sommes amener à nous demander si la personne est responsable de cette casse ? Ma réponse est non, car il ne s’agit pas d’un acte décidé librement et personnellement, mais de circonstances néfastes (ici, l’homme qui la énervé) qui ont engendré une sinon (ici la colère) et sous la soumission de cette passion, l’affectation d’un acte non volontaire.

L’acteur physique est donc le corps de l’homme (un mécanisme) et le décider est l’âme emprise d’une passion trop forte pour être contrôlée seul. Vous pourriez dire que les passions se contrôlent, et à cela je répondrai que lorsque nous sommes amoureux, pouvons-nous ne plus l’être sommes amoureux, pouvons-nous ne plus l’être par notre simple volonté ; non ! Espionna expose dans éthique, AI sa théorie du désir consistant à dire que l’Homme recherche à persévérer dans son être. Si on est atteint d’un affecte triste alors on a s’éloigner de son être et moins s’affirmer.

Au contraire un affecte triste va nous pousser à nous affirmer. Mais, un affecte triste qui nous éloigne de notre nature est donc néfaste à nous-mêmes et est un élément extérieur à notre volonté. Ainsi, Espionna montre ici que l’Homme peut être soumis à faire des choses qui ne vont pas dans l’accomplissement de sa nature soit contre sa propre volonté. Ce sont donc des actes dont nous ne sommes pas responsables car ils ne viennent pas de notre propre volonté de persévérer dans son existence, mais ce sont des actes qui nous nuisent.

Donc homme qui va dans l’erreur peut être influencé par un affecte négatif, il n’est alors pas responsable de son erreur. A travers, les passions et la notion d’affectes nous avons montré que a responsabilité face à ses erreurs n’est pas car ‘Homme n’est pas maître de sa volonté. Le libre-arbitre (volonté libre) de Dessertes pose tout de même quelques problèmes pour justifier la responsabilité de ses erreurs. En effet, faire choix ne serait-t-il pas se déterminer, s’engager ? Donc, face à un choix, nous ne devrions pas être poussé vers un choix s’engager ?

Donc, face à un choix, nous ne devrions pas être poussé vers un choix ou l’autre, c’est ce que Dessertes appelle « la liberté d’indifférence ». Mais d’après Dessertes, il existe un second degré de liberté, « la véritable liberté » qui consiste à avoir le maximum de connaissance pour faire le bon choix entre deux choix. Mais alors si un seul choix est le bon, alors, je n’ai pas une vraie liberté car je suis déterminé à faire ce choix. Sans libre-arbitre, la question de responsabilité n’est donc pas possible, car de la détermination de l’esprit ne peut pas découler une marche personnelle et libre.

De plus, il est impossible de prouver un choix libre car cela signifie que l’autre choix était libre. Même si un génie inventait un mécanisme pour revenir dans le passé, soit tout mon esprit « rembobiner » au moment du choix, alors je serai de nouveau amené refaire ce choix car rien ne changera malgré le retour dans le passé. Nous sommes donc amené à penser que le libre- arbitre n’existe pas vraiment et que les choix de l’Homme sont déterminés. Une action déterminée par autre chose que la volonté libre n’est pas une action libre.

Si l’action ‘est pas libre, la responsabilité n’ pus de légitimité d’être attribué à l’auteur de l’action, ainsi un homme n’est plus responsable de ses erreurs puisqu’ peut aller de fourvoyer dans ce qui est pas a vérité sans que ce soit sa volonté libre mais bien que des déterminants extérieurs l’ poussent. Vérité sans que ce soit sa volonté libre mais bien que des déterminants extérieurs l’ poussent. Espionna explique dans éthique, Il que la volonté libre n’existe pas car nous ne sommes pas libre de croire quelque chose d’irréel.

Je m’explique, si nous pensons à un ragot différentes images nous apparaissent, mais dans tous les cas nous sommes conscients que le dragon n’existe pas et nous ne pouvons pas nous forcer à y croire. Cela prouve que notre liberté n’est pas et que nous sommes influencés par une multitude d’éléments distincts qui nous empêche, ici, de croire aux dragons, car a société nous a prouvé l’inexistence de ceux-ci. Donc, Espionna nous prouve que l’Homme n’ pas de libre arbitre, l’Homme qui est en dehors de la vérité y est donc car différents éléments extérieurs l’ont influencé… Un choix, influencé, est-il un choix personnel ?