Senegal

essay A

La capacité du ouvertement sénégalais et des partenaires du secteur privé et de la société civile à résoudre ces questions, parmi d’autres tout aussi difficiles, démontrera la solidité de leur engagement en faveur des réformes économiques du pays. Niveau record de 572 789 tonnes en 2004, correspondant une hausse de 30 pour cent.

Cette remarquable performance de la filière de l’arachide, ainsi que les bons résultats enregistrés dans la production de sésame (+ 57 pour cent) et de manioc (+ 121 pour cent) ont permis l’agriculture de croître de 6 pour cent. L’élevage a affiché une progression de 4 pour cent en 2004, liée à la politique e promotion de la production locale de viande. Quant au secteur de la pêche, sa croissance en 2004 est retombée 2. 4 pour cent, contre 4. Pour cent en 2003, du fait de la réduction des prises dans la région côtière de thèses, l’une des principales zones liturgiques. En 2005, ce souscrite devrait connaître une croissance estimée à 1 9 pour cent, alimentée par une hausse de 12 pour cent de la pêche cent de la pêche artisanale pour les débarquements, en particulier dans les régions de louage, zigzaguions, Saint-Louis, dac et thèses, qui est venue compenser en partie le recul de la pêche industrielle.

La croissance du acteur primaire dans son ensemble aurait atteint 7. 4 pour cent en 2005. Cette progression se décompose comme su ait : + AI pour cent pour le sous-secteur de l’agriculture ; + 5 pour cent pour l’élevage ; + 3. 2 pour cent pour la sylviculture ; et + 1. 9 pour cent pour la pêche 1. La campagne agricole de 2005 a bénéficié de bonnes conditions pluviomètres et n’ pas été menacée par des périls pétitionnaires.

La croissance de l’agriculture est fortement liée à la hausse exceptionnelle de 43 pour cent de la production arachide, qui aurait atteint 820 000 tonnes selon les estimations effectuées en novembre 2005 Ar la DÉP. (Direction de la prévision et de la statistique) et la DUPA (Direction de l’analyse, de la prévision et des statistiques). La production céréalière a progressé de 113 pour cent alors même que les prix des céréales au sénégalais continuent d’être inférieurs à ceux des autres pays de l’HAMEAU (Union économique et monétaire ouest africaine).

Pour autant, l’agro-alimentaire et la pêche constituent des piliers de la nouvelle SAC, mais leur dynamisme reste inférieur à celui de certains sous-secteurs agricoles. Développements économiques récents Depuis la dévaluation et l’approfondissement des reformes n 1994, la croissance au sénégalais a avoisiné les 5 pour cent par an, à l’exception de l’année 20 par an, à l’exception de l’année 2002, marquée par une crise agricole. Après deux années de croissance dynamique en 2003 et 2004 (respectivement 6. Et 6 pour cent), le sénégalais a affiché une croissance d’environ 5. 0 pour cent en 2005. Cette décélération est fortement liée à la hausse des prix du pétrole et à son impact sur l’économie mondiale. Les reformes en cours devraient permettre, selon les prévisions, une croissance de l’ordre de 5. 2 pour cent en 2006 et de 6 pour cent en 2007. Le secteur primaire – qui a intrigue à hauteur de 4. 3 pour cent à la croissance du PUB en 2004 – continue d’être une source importante de revenus pour la plupart des ménages sénégalais.

Cette progression relativement faible du secteur en 2004, surtout par rapport aux 19. 8 pour cent enregistrés en 2003, est principalement attribuée à des chocs exégèses, comme le péril accrédite qui a particulièrement touché les régions maritimes du nord du pays, mais aussi les aléas climatiques pesant sur l’agriculture. L’année 2004 a connu un repli important de la production céréalière, de 21 pour cent, qui s’explique largement par l’invasion de criquets pèlerins, retour dans les régions de louage, thèses, fautif et dérouler.

Malgré une contraction de 9 pour cent, la production de coton a été plutôt satisfaisante, surtout si l’on se réfère à la performance exceptionnelle de 2003 (de 46 pour cent supérieure à la production moyenne des cinq dernières années). La production arachide a pour sa part ta années). La production arachide a pour sa part atteint le 496 1. Estimations de la DÉP. fondées sur les deux premiers trimestres de l’année en cours. Figure 2 – Ventilation sectorielle du PUB en 2004 (en pourcentage) Services publics 9% Agriculture 9% 5% 3% 1% Élevage

Sylviculture et pêche Mines 14% Industries manufactureriez 51 % Transports et communications 8% BUT, électricité et eau Source : Estimations des auteurs sur la base des données de la DÉP.. Figure 3 – Contributions à la croissance du PUB en 2004 (en ? Volume Agriculture Élevage Sylviculture et pêche zone HAMEAU. De manière générale, le secteur secondaire est caractérisé par un coût élevé des facteurs de production, une dépendance de la production l’égard d’un nombre limité de produits, un faible investissement et un marché intérieur restreint.

La société CAS (Industries chimiques du sénégalais) connaît depuis luxurieuse années une situation de crise, en raison de l’impact de l’appréciation de l’euro par rapport au dollar sur les cours exprimés dans cette monnaie, mais aussi du coût élevé des entrants nécessaires à l’élaboration des phosphates et de l’acide, ainsi que des difficultés d’acheminement ferroviaire des réserves de phosphate (voir encadré).

Néanmoins, le secteur manufacturer et le BUT ont soutenu la croissance du secteur industriel avec, en 2004, des performances respectives de 7 et 13 pour cent. Ces résultats s’expliquent par les investissements publics en infrastructures de base t par la construction de logements par les ménages. Le raffinage du pétrole et les industries alimentaires ont également contribué à la croissance. Pour 2005, la croissance du secteur industriel devrait être bien plus faible qu’en 2004, autour de 3 pour cent.

Ce ralentissement est principalement imputable au coût élevé des hydrocarbures, qui a eu des effets directs sur les souscripteurs du raffinage et de l’énergie mais également un impact négatif sur les autres activités industrielles. Bien que les services aient moins souffert de la hausse du prix du pétrole activités industrielles. Bien que les services aient moins souffert de la hausse du prix du pétrole, la croissance du secteur ne devrait pas dépasser 5. 3 pour cent en 2005, contre 498 7. 7 pour cent en 2004.

Le dynamisme des sous-secteurs des transports et des télécommunications (13. 3 pour cent en 2004 et 10. 4 pour cent en 2005) explique en partie cette progression. Ce dernier sous-secteur profite surtout du développement de la téléphonée mobile et de la libéralisation des télévisées, l’une de grappes identifiées par la nouvelle SAC. Pour 2005, la croissance des secteurs prioritaires de la santé et de l’éducation devrait tourner aux alentours de 4 et 7 pour cent respectivement. Si le secteur du commerce a progressé de 6. Pour cent en 2004, il devrait afficher un taux de croissance de seulement 4. 6 pour cent en 2005. Ce ralentissement est principalement imputable au prix du pétrole. La performance du secteur du tourisme peut être considérée comme décevante, en particulier quand on sait que ce secteur figure dans les cinq « grappes » de la SAC : si 434 825 touristes sont entrés dans le pays en 2004-05, contre 413 763 en 2003-04, le taux d’occupation est passé de 40 à 34 pour cent et la durée du séjour de 3. 5 jours en 2004-05 contre 3. Jours en 2003-04.

D’importants efforts sont cependant consentis : la sapes (Société Industries chimiques du sénégalais : la déroute du fleuron de l’industrie sénégalaise La société CAS (Industries chimiques du sénégalais) – qui produit acide phosphore, phosphates et engrais – est (Industries chimiques du sénégalais) – qui produit acide phosphore, phosphates et engrais – est la première entreprise industrielle du pays en termes d’emplois, d’actifs et de chiffre d’affaires. Entre la fin des années 1990 et le début des années 2000, CAS représentait 6 pour cent du PUB du secteur secondaire et 16 pour cent de la valeur des exportations.

A l’origine, dans les années 1970, CAS était une entreprise 100 pour cent publique. Si la part du gouvernement sénégalais dans le capital a ensuite fluctué, elle est restée stable – à 47 pour cent – depuis 1986. Aujourd’hui, un consortium indien emmené par OFFICE (indien fermeras Fertiliser cc-opératoire) détient 26 pour cent du capital. OFFICE achète pratiquement toute la production annuelle d’acide phosphore d’CAS, satisfaisant ainsi quelque 30 pour cent de la demande annuelle de l’économie indienne. CAS exporte également des engrais en affaire de l’Ouest, un marché encore allaitement sous-exploité.