Resumée première partie Montagne magique thomas Mann
CHAPITRE V Encyclopédie -L’état sentimental de HC est sous les yeux de tous [même un aveugle se serait rendu compte de son état: lui même ne faisait rien pour le tenir secret p. 324]. Mann nous dit que, en general, le fait d’être amoureux, amene à un besoin de s’ouvrir aveuglement à autrui et à une tendance à remplir le monde de soi-même. Les amours fiévreux entre les jeunes sont objet de plaisanterie, au moins pour ce que HC connait dans son innocence [il avait été plongé à ce sujet dans l’ignorance la plus candide p. 26]; ce ‘est pas que là-haut il ne se passe pas comme ça, mais la frivolité Swp to page également fini pour plaisanteries sur ça, is ( du sanatorium: [dans e sc deux choses en tête: encore une fois la te . Donc, il y a des l’ mobilité du temps vai n tout e pour tout rature,et secundo.. ont perçues comme déplacées. Elles s’accroîssent d’importance par rapport ? l’atmosphère. -Joachim songe toujours à guèrir le plus vite possible pour atteindre le champ de bataille: c’est pour ça que normalement s’oppose aux contacts intimes avec le gens du sanatorium en aisant groupe seulement avec son cousin.
O est un homme d’action, il est vraiment difficile pour lui d’accepter la condition du temps imposée par la vie du sanatorium, bien que son penchant soit porté à l’obéissance. Ce sentiment d’agitation par rapport à l’immobilité du temps approche J à M. Settembrini. En effet, l’italien va plus loin en invititant plusieurs fois HC à se détacher de la lassitude propre de la Montagne dont le médecin Behrens est le symbole). -p. 328 Au guichet de la poste, Mme Chauchat touche par hasard HC.
Comme ça se dèroule le premier petit dialogue entre eux [Pardon! Pas de quoi, madame! ]. D’ici, HC entame une briève réflexion sur le temps du côté d’un coeur amoureux (p. 329). Bref, en attendant le retour de l’heure consacrée, semaine par semaine, au bureau de la poste le protagoniste dévore le temps. Je cite: [Attendre signifie devancer, signifie percevoir la durée et le présent non comme un don, mai comme un obstacle, en nier et en détruir la valeur propre, les franchir en esprit. On dit que l’attente est toujours longue.
Mai elle est aussi bien ou même plus exactement courte, parce qu’elle dévore des quantitès de temps, sans qu’on les vive, ni les utilise pour elles-mêmes. On pourrait dire que celui-qui-ne-fait. qu’attendre ressemble a un gros mangeur dont l’organe digestif chasserait la nourriture en quantité sans en tirer la valeur nutritive. On pourrait aller plus loin et dire: de même qu’un aliment non digéré ne fortifie pas un homme, de même le temps que l’on a passé à attendre ne le vieillit pas. Il est vrai que l’attente pure et sans mélange n’existe po PAG » OF d