Premiere guerre rnondiale

essay B

Mais l’échec des premières offensives provoque l’enlisement du inflation. Les soldats s’enterrent dans des tranchés. Malgré cette guerre de positions. De grandes batailles opposent les armées et provoquent de véritables hécatombes. Les théâtres d’opérations se multiplient. Les belligérants, en mobilisant les troupes coloniales, mondialement le conflit. D’une extension géographique inconnue jusquiames, la guerre réclame le soutien de populations entières ( militaires et civiles). Au début de l’année 191 8, l’allemande, qui bénéficie de l’armistice signée avec la réussie soviétique, reprend l’initiative.

Elle engage de vastes offensives, mais elle se heurte à la contre-offensive des Alliés, soutenus par les troupes américaines. L’allemande doit capituler et signer l’armistice à rotondes le 11 novembre 1918. Premier boy laxatif I phoque 09, 2009 7 pages 1914? spire toi vie nées page 1916 : l’enlisement Comment passe-t-on d’un conflit local à une guerre mondiale qui s’enlise rapidement ? Le « feu » aux poudres Le 28 juin 1914, l’arachide français-friande, héritier de l’Empereur d’autruche, est assassiné à essayera par G. Principe.

Cet étudiant est proche des activistes basiques et serres hostiles à l’annexion de la besoin-hérisseriez n 1 908 par l’autruche. Accusant la serre d’avoir encouragé l’attentat, l’autruche lui déclare la guerre le 18 juillet. L’engrenage des alliances transforme un conflit local dans les ballants en guerre entre les principaux états européens soutenus par leurs colonies. Dans chaque pays, le réflexe patriotique joue un rôle important et les forces politiques, convaincues de mener une guerre légitime, répondent à l’agression de l’adversaire en s’unissant.

C’est ce que l’on appelle en France « l’union sacrée ». La mobilisation se fait en août dans la détermination : les peuples acceptent a guerre avec patriotisme. 914 : l’échec de a guerre de mouvement Au milieu de l’été 1914, la guerre de mouvement commence. Les troupes allemandes, désireuses d’en finir rapidement avec la France, envahissent la belliqueux , en violation de la neutralité de cet état. Français et Britanniques se replient rapidement : au début de septembre, les allemands se rapprochent de paris.

Sur le front oriental, l’offensive russe est arrêtée par les allemands à la bataille de tanguèrent (30 août) front oriental, l’offensive russe est arrêtée par les allemands à la bataille de tanguèrent (30 août). Après de nouveaux combats , ce front aussi se stabilise au début de ‘hiver. 1915-1916 : une guerre d’usure L’espoir d’une victoire rapide disparaît : la guerre de position commence. Elle s’organise autour des tranchées. L’armement s’adapte : les mitraillerions des ravages, tandis que les lances flammes et les gaz asphyxiants provoquent peur et panique chez les combattants . Utilise d’abord pour la reconnaissance, l’avion devient une arme à) part entière pour le bombardement des tranchées. Parallèlement à la multiplication des combats, de nouveaux alliés entrent en guerre dans chaque camp, tandis que la Grande bretonne et la France mobilisent des troupes coloniales. La guerre n’ plus seulement lieu sur le continent européen, mais aussi au Moyen-Orient, en féerique et sur les mers. Faute de pouvoir percer le front adverse, les états- majors décident de « saigner » l’ennemi. C’est la guerre d’usure. Une offensive est lancée par l’armée allemande verdure le 21 février 1916.

La bataille dure dix mois et provoque la mort de 500 000 soldats. Cette bataille marque à tout jamais les hommes : considéré comme une défaite allemande, elle n’est pourtant pas une victoire française. La bataille de la Somme, déclenchée par les Britanniques et les Français de juillet à novembre 1916 ; ’emporte pas davantage la décision. La guerre les Français de juillet à novembre 1916 ; n’emporte pas davantage la décision. La guerre s’enlise et s’éternise. 1917- 1918 : des crises aux armistices Après les crises multiples de l’année 1917, pourquoi et comment l’Entente a-t-elle réussi à gagner la guerre ? 917 : l’année des crises La guerre d’usure engendre une lassitude qui s’installe chez les soldats comme chez les civils. Les difficultés militaires se multiplient pour les Alliés. L’offensive française lancée par le général nivelle au Chemin des Dames est un échec (avril 17). Les italiens subissent un sasser à capotèrent (octobre 17). Ces véritables « boucheries » provoquent désertions et refus d’obéissance : toutes les armées sont frappés par des mutineries. En France, le général piétina restaure la discipline en améliorant l’ « ordinaire » des soldats.

A l’arrière*, l’agitation sociale gagne**. Les conditions de vie difficiles des populations expliquent la multiplications des grèves, en particuliers dans les usines d’armement. Les crises sont aussi politiques : le **pacifisme** se répand. En France, cette poussée pacifiste met à mal l’Union sacrée que les socialistes abandonnent (septembre 17). Partout les hommes forts prennent la tête des gouvernements. En France, **le président* du Conseil, égorges clémence répète « Je fais la guerre, je fais toujours la guerre.

Le tournant A l’ouest, en riposte au blocus économique, l’allemande déclenche la guerre déclenche la guerre sous marine à outrance à partir du revivifier 1917 ? Les sous-marins allemands attaquent les navires américains qui ravitaillent les Alliés. Les torpillages allemands poussent les états-Unis à renoncer à leur neutralité. Le 2 avril 191 7, le président lissons obtient du Congrès ‘entrée en guerre des états-Unis contre ‘allemande. Les conséquences militaires de cette intervention restent toutefois modestes pour l’année 1917.

A l’est, la réussie tient encore le front, mais sa situation économique et politique est catastrophique. L’incompétence du gouvernement entraîne deux révolutions. Celle de février provoque ‘abdication du tsar encollais Il, tandis que celle d’octobre porte au pouvoir léonine. Chef du nouveau gouvernement, il demande l’armistice (décembre 1917) et signe, avec l’allemande, la désastreuse paix de Brest-litotes en mars 1918. 1918 : la victoire des Alliés Désireuse de conclure la guerre avant l’arrivée massive es troupes américaines, l’allemande reprend la guerre de mouvements partir de mars 1918.

Le général éluderions concentre ses efforts à l’ouest en lançant une série d’offensives. En mai , les troupes allemandes atteignent de nouveau la Marne et menace Paris. Conscient du danger , les Alliés créent un commandement unique confié à foc. Appuyé par plus d’un million de soldats américains et disposant de foc. Disposant de tanks, foc passe à l’offensive à son tour partir de juillet 1918. Les allemands évacuent une partie des régions françaises qu’ils occupaient. Sur tous les ronds les puissances centrales s’effondrent.

Abandonnée par ses alliés qui capitulent, l’allemande s’affaiblit. Les troubles révolutionnaires qui éclatent berline provoquent l’abdication de aiguillage Il et la proclamation de la République le 9 novembre 1918. Les représentants du nouveau régimes acceptent les conditions de l’armistice signé à rotondes le 11 novembre 1918. Au front l’enfer du combattant La vie quotidienne des soldats et très dure avec son cortège de souffrances : pluie, boue, froid, poux, rats. La vie et la mort se côtoient dans les tranchées où l’odeur des cadavres accompagne sans cesse les soldats.

Faite de période d’attente et d’assauts rares mais violents, la guerre accroît les peurs des hommes. Le souvenir de l’ « arrière » et des figures familières et aimées, d’une part, et la force des amitiés qui se nouent entre soldats, d’autre part, aident les combattants à tenir. Dans chaque camp, mal=gré les violences qu’ils subissent, ils consentent aux sacrifices que la guerre exige d’eux. Cependant avec le temps, la lassitude et le découragement, s’emparent des troupes. En 1917 des mutineries éclatent dans les armées. C’est au prix d’une sévère répression que la discipline est maintenue.