Philosophie kant
Devoir de Philosophie Kant, Critique de la faculté de juger, S 32 Dans La Critique de la faculté de juger, Kant consacre toute une partie au jugement de gout, fondement principal de l’esthétique. Comme l’a définit Baumgarten, l’esthétique est la science du beau. Science nouvelle qui, de surcroit, peut amener rhomme vers un autre type de connaissance : celle qui relève du sensible. Contrairement à Descartes qui pense que les sens ne peuvent pas faire l’objet d’une science absolue car ils ne donnent accès qu’a à un certain type de connaissance, Baumgarten confère ? ces mêmes sens un régime de connaissance.
Voilà donc qu’une première ambigüité survient dans la pensée de Baumgarten. Alors que Descartes qui permettent à Pho claire et distincte, Ba ge.. • p g accéder à un type d’i science du Beau se v Sv. ‘ipe to ité et les concepts connaitre une idée sens nous pouvons veut dire que la ive et universelle. Kant, pour pallier cette zone d’ombre, part du principe à priori qu’il existe un « sens commun »parmi tous les hommes qui nous permet de voir la beauté naturelle des objets. Dans ce paragraphe, Kant définit comment le jugement de gout doit s’ériger devant un objet.
C’est une sorte de confrontation ntre l’Homme et la Nature qui nous amène à nous demander comment appréhender ce qu’il y a sous ses yeux pour déceler le Beau véritable ? Kant définit le jugement de gout par rapport à autrui ; il doit être universel, subjectif, sans concept et sans finalité. L’homme doit juger de ce qui est beau qu’en fonction de lui-même. Selon Kant, autrui est un fardeau qui peut être source d’un intérêt particulier. Or le jugement de gout doit être désintéressé. En définitive, ce texte nous Interroge sur les caractéristiques du jugement de gout, il ne doit prétendre qu’? « l’autonomie » (ligne 1 5).
Et par-dessus cela, Kant se livre, même si il ne le dit pas explicitement, à une réflexion sur l’art en général. Ce texte est potentiellement divisible en trois parties. Tout d’abord, Kant revient 2 l’art en général. Ce texte est potentiellement divisible en trois parties. Tout d’abord, Kant revient sur le jugement de gout conséquence de tout ce qu’il a émis dans les paragraphes précédents- en le mettant en relation avec autrui qui apparait ici comme un frein à son entière expression (ligne 1 à 9). Ensuite, Kant fait appelle à deux exemples, un particulier et un autre lus général qui rentre dans une logique plus historique.
Par ces deux exemples, Kant procède à une véritable critique de Fart avec l’exemple des Anciens, nous y reviendrons plus en détail. par l’exemple du jeune poète, Kant met à mal la subjectivité du jugement de gout. Par la critique des Anciens, au mot « critique » nous pouvons associer le terme « compréhension » et non nécessairement le terme « réfutation Kant termine sa démonstration par une ouverture sur le rôle et le comportement créatif que doivent adopter l’artiste ou, comme il l’appelle dans La Critique de la faculté de juger, le Génie (ligne 23 à 27). 3