Explication de texte, Kant, « Fondements de la métaphysique des moeurs »

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Explication de texte Texte de Kant, extrait de « Fondements de la métaphysique des moeurs » « Fondements de la métaphysique des mœurs » est une œuvre d’Emmanuel Kant parue en 1785. Dans l’extrait nous avons ? étudier, Kant soulève la question de la quête du bonheur. Le bonheur, par définition, est un état de complète satisfaction. On peut se demande inaccessible ? Dans u pr or s problème majeur du nheu  » nous verrons que Ka une idée précise de c onheur comme verrons le li u deuxième partie, ividu n’a pas nt.

Enfin dans une troisième et dernière partie, nous verrons pourquoi Kant onsidère le bonheur comme un idéal de l’imagination. Dans la première partie du texte, Kant explique que le bonheur est une notion indéfinie, « un concept indéterminé Chaque individu, malgré le désir qu’il ressent, ne peut pas exprimer en des termes précis, ce qu’il désire. Kant pense que les éléments qui composent le bonheur se trouvent dans l’expérience. Chaque Homme possède sa propre expérience de la vie c’est pourquoi, le bonheur est toujours subjectif.

Il varie selon la personnalité, les principes et les goûts de chacun. On peut également constater que Kant, dans son texte, pense que le bonheur se fond Swlpe to vlew next page fonde sur des représentations mentales et que celles ci sont souvent assez vagues et confuses. Le bonheur n’est en aucun cas un concept parfaitement défini, logique et cohérent. Dans le texte, il n’est pas question de la liaison entre la souffrance et le bonheur. L’Homme va désirer quelque chose, et une fois qu’il va l’avoir obtenu, il va ressentir un sentiment de bonheur.

Puis rapidement, l’individu va se lasser, s’ennuyer Le désir va alors de nouveau naître en lui. C’est un cercle sans fin dont la seule issue est la tempérance. Mais Kant dans son texte n’y apporte guère d’importance. Il va mettre en avant l’incertitude de l’Homme devant le choix qu’il a à faire pour trouver le bonheur. Même un individu « fini, perspicace et puissant » ne saura ce qu’il veut réellement. L’idée de bonheur est totalement inconcevable ; pour être heureux, l’Homme va toujours désirer plus. Le bonheur n’est pas quelque chose de précis. n individu n’aura pas la même conception du bonheur qu’un autre tout simplement car ils n’ont pas les mêmes intérêts. Chacun de nous possède une idée du bonheur mais nous ne savons pas si cette conception fera forcément « notre » bonheur. Nous avons pu voir dans cette remière partie quel était le problème majeur du bonheur. Nous allons maintenant voir que chaque individu a un désir de bonheur qui lui est propre mais que ce désir n’est pas forcément ce qui lui apporte désir de bonheur qui lui est propre mais que ce désir n’est pas forcément ce qui lui apportera du bonheur.

Kant dans la deuxième partie de son texte pose plusieurs fois des questions. Il s’interroge sur le concept de bonheur que chaque individu peut ressentir. « Veut-il la richesse ? on pense souvent que c’est dans Fargent que nous trouverons le bonheur. Même si c’est un facteur important, Kant rappelle que la richesse est ource de soucis et de pièges pour l’individu. Kant se demande ensuite si l’Homme est intéressé par le savoir. Comme chacun de nous le sait, sans connaissance du monde il est difficile de trouver le bonheur.

Mais Kant explique que le savoir va permettre à l’Homme de mettre des mots sur ce qu’il ressent mais que cela va également entraîner un grand nombre d’interrogations pour l’individu sur ses besoins et ses désirs qu’il a déjà du mal ? satisfaire. Désirent-ils une longue vie ? Selon Kant, ils trouveraient cette longue vie ennuyeuse et elle les ferait davantage souffrir. La santé n’est également pas quelque chose qui rendrait les eureux. A travers l’argent, le savoir, la vie et la santé, l’Homme ne trouve pas ce qui le rendrait « véritablement» heureux.

Pour savoir ce qui le rendrait heureux, il faudrait qu’ils puissent faire preuve d’omniscience, c’est à dire qu’ils aient la capacité de tout savoir infiniment et de connaître intégralement leurs pensées et qu’ils aient la capacité de tout savoir infiniment et de connaître intégralement leurs pensées et leurs sentiments. Comme le dit très bien Emmanuel Kant dans son texte, l’Homme ne peut pas agr pour être heureux. Il peut seulement se baser sur des onseils empiriques, ce qui en d’autres termes veut dire que l’Homme pour trouver le bonheur doit s’appuyer exclusivement sur rexpérience et l’observation.

Ces conseils, selon Kant, peuvent amener à « faire des économies, être poli, etc Toutes ces choses, selon l’expérience, contribueraient au bien être de l’Homme. Nous avons pu voir dans cette deuxième partie que PHomme a beaucoup de mal à exprimer ce qu’il souhaite réellement et que ce qu’il souhaite n’est pas forcément une source de bonheur pour lul. Nous allons maintenant voir dans une troisième et dernière partie, pourquoi Kant considère le onheur comme un idéal de l’imagination. « Les impératifs de la prudence » s’appliquent à la question de la recherche des moyens d’atteindre le bonheur.

Ces impératifs dictent des conseils et non pas des règles puisqu’il n’y en a aucune pour être heureux. Déterminer ce qui peut favoriser le bonheur relève de l’impossible. Est ce que l’argent nous apportera du bonheur ? Le savoir ? une longue vie ? Le savoir ? Autant d’exemples que traite Kant dans son texte. Comme nous l’avons dit il n’existe aucune règle pour trouver le bonheur, puisque PAGF dans son texte. Comme nous l’avons dit il n’existe aucune règle our trouver le bonheur, puisque celui-ci est propre à chaque individu.

Selon Kant, « le bonheur est un idéal non de la raison mais de l’imagination Il le qualifie ainsi, puisque le bonheur n’est en aucun cas quelque chose d’universel, il n’est pas non plus nécessairement en adéquation avec la réalité. L’imagination des individus les poussent à désirer bien plus que ce qu’ils peuvent disposer réellement. Le bonheur se fonde uniquement sur des principes empiriques, c’est à dire qu’il s’appuie seulement sur l’expérience. Il est impossible, d’après Kant, de trouver une action par laquelle on pourrait atteindre le bonheur.

Le bonheur est en réalité quelque chose d’infini et qui n’a aucune limite grâce ? l’imaglnation de chacun. Les Individus ne peuvent pas exprlmer précisément ce qu’ils souhaitent. Ils vont toujours désirer plus et le bonheur qu’ils ressentiront ne sera que très rapide. En conclusion, Emmanuel Kant pense que le « bonheur est un idéal de l’imagination et non de la raison ». Le bonheur, d’après lui, est très subjectif et sa représentation par les individus est très vague et confuse. Enfin un modèle de bonheur n’est pas toujours une garantie de notre bonheur réel. Le bonheur est donc difficilement accesslble.