Notre vie (aul eluard)
Elle le quitte quelque années plus tard, pour partir aux cotés du célèbre peintre soldera dalla. D’abord accablé par cet abandon, il se remarie avec nus, pour qui il écrit le poème « Notre vie », faisant parti de son recueil Le Temps déborde en 1947. Ce poème fait suite à la mort de nus. AI s’adresse directement à elle, en employant le pronom personnel « tu ». La mort est omniprésente dans ce poème, ce qui lui confère une aura tragique, et transmet les profonds sentiments de tristesse et de désespoir qu’éprouve allure.
Alors quelle est la vision de la mort d’allure à travers ce poème ? Nous étudierons tout d’abord la présence oppressante de la mort dans ce poème, puis l’opposition qua swaps toi vie nixe page Notre vie (alu allure) premier boy instaurerons amputa 23, 2011 | 5 pages qu’elle émet avec la vie. Le poème est construit en trois strophes trigonométriques, de cinq vers chacune. La plupart des vers sont des lésinerais. Il n’ a aucune rime dans ce poème. Dés les premiers vers, le lecteur ressent cette présence de mort, planète, cette mort qui rôde au dessus des esprits.
Le terme « mort » apparaît sept fois tout le long du poème, dont cinq fois dans la deuxième strophe («La mort qui vient a mort qui va la mort vécue » vers 9). allure voit ici la mort comme une fatalité, comme le néant, qui recouvre et détruit ce que la vie s’est forcée à construire (« Aurore d’une ville un beau matin de mai ; Sur laquelle la terre a refermé son poing » vers 2 et 3). La mort de nus est une tragédie pour allure, qui se sent anéanti. Ce renfermement est traduit par le vers « Mon passé se dissout je fais place au silence » (vers 15).
AI éprouve également un profond sentiment de nostalgie, et de tristesse, quand il écrit « Notre vie tu l’as faite elle est ensevelie » (vers 1). allure peine à accepter la mort de nus, puisqu’ s’adresse directement à elle dans ce poème, en utilisant le deuxième pronom personnel du singulier (« Notre vie disais-tu si contente de vivre » vers 6). Par la mort de nus, Paul allure voit son propre décès, sa propre fin, traduit par son rapprochement avec la mort, inévitable (« Et la mort entre en moi comme dans un moulin » vers 5).
Le rapprochement avec la mort, inévitable (« Et la mort entre en moi comme dans un moulin » vers 5). Le poème suit une véritable évolution le long de ses strophes. allure commence les deux premières en d’adressant à nus, home un songe au passé, qui glisse ensuite vers l’obscurité et le désarroi de la mort. allure est résilié à la fin du poème, à se laisser emporter par la mort qui le ronge (« Que la faim et la soif à mon corps épuisé » vers 12).
La terre à également une connotation funèbre ici. « Ce qui est à la terre retourne à la terre C’est l’endroit où gisement les défunts, la source de toute vie, et le destin de toute fin. Elle « referme son poing » sur ceux qui terrassent. La mort est une rupture : « Mais la mort a rompu l’équilibre du temps » (vers 8) ; ce qui signifie que allure perçoit le décès comme un arrêt, supérieur à toute chose, toute entité, ce qui serait éventuellement une réflexion religieuse.
Cependant le vers « Notre vie tu l’as faite elle est ensevelie » (vers 1) peut émettre l’idée d’une mort qui ne serait pas dans la continuité de la vie, une idée rationnelle et arbitraire. C’est donc une mort lente, douloureuse, placide, que décrit allure. La douleur de la disparition de nus entraîne un pessimisme extrême, où les seules issues possibles sont la souffrance éternelle, et le trépas. Malgré cette omniprésence de la mort, allure a choisi d’intituler c et or ce type se oh tar ai élu de commencement de tout. La beauté attachée à ce de contemplation d’une Aurore perçant la nuit.
Le contraste entre mort et vie est également présent c l’expression « la mort vécue » (vers 9), exprimant l’exposition continuelle inspirée par la vie envers la Cette peine plane au dessus de l’Homme tout le lors vie, et il ne peut y échapper qu’en l’acceptant à son vers « La mort visible boit et mange à mes dépens 1 0) induit au fait que la mort est « visible », donc pré? palpable, et dire qu’elle boit et mange à nos dépend signifier qu’elle est entretenue par la vie de tous. ) L pend de la mort, la mort détruit la vie.
allure a donc une vision très négative de la mort, temps où tout s’annihile. La dureté de l’affrontement mort pendant que l’on vit est traduit par quasiment vers de ce poème, sauf certains qui expriment un passé, par l’opposition certaine et faiblement teinté d’espoir entre la vie et la mort. La vision qua allure mort n’est en aucun cas « salariée ». Il nous trains désespoir profond, une mélancolie mortuaire à la s décès de la femme qu’il aime. La « mort » d’allure étouffante, oppressante, continue, et ne lâche prise seulement que lorsque notre propre tour est venu.