Mondialisation
Produit exclusif du processus d’évolution des sociétés de l’européen occidental, de leurs acquis et de leurs contradictions, de leurs craintes et de leurs espoirs, grâce à la occidentalisation elle est « exportée » en tant que’ une notion européennes vers le reste du monde comme celle de l’état nation, de la démocratie, de la éternité ou de droits de l’homme… Pour bien comprendre le concept du patrimoine du vietnamien, il faut tout d’abord le mettre dans le contexte historique et culturel du pays ainsi avec son identité nationale qui sera analysé dans deuxième partie.
Le vietnamien depuis longtemps influencé par la civilisation chinoise. C’est raison pour quelle pilier langage baptise cette situation « un état national au sein de la civilisation chinoise De plus, à la différence d’autres pays d’essaie du Sud-est qui sont bien influencés par la culture indienne, « les Vietnamiens se sentent traditionnellement plus proches e leur grand voisin du nord (la chiné) que des autres peuples d’essaie du Sud-est Une an se sur la perception traditionnelle du premier boy juriste baffle 19, 2009 | 8 pages chinoise.
C’est raison pour laquelle pilier langage baptise peuples d’essaie du Sud-est ». Une analyse sur la perception traditionnelle du patrimoine au sein de la civilisation chinoise avant l’introduction des concepts occidentaux est indispensable pour nourrir la réflexion sur les fondements de la perspective perspective vietnamienne sur le patrimoine Si la notion de patrimoine dans la civilisation chinoise avait interpellé des observateurs occidentaux comme
sinon les ou victoire signalée, il n’ a pas beaucoup de recherche véritable au niveau conceptuel n’avait été menée jusqu’. Parmi les différents ouvrages que sinon les a consacré à la question de la mémoire, éclairant pour mieux comprendre la conception particulière du patrimoine dans la civilisation chinoise, on pourra dégager deux idées essentielles.
La première est qu’il existe une opposition entre absence de préservation matériellement authentique et respect des valeurs spirituelles et morales du passé. Le passé n’est pas logé dans les monuments mais dans des écrits qui constamment en raniment l’esprit : En chiné dans la civilisation chinoise traditionnelle en sens plus général), si l’on excepte un très petit nombre d’ensemble célèbres (d’une antiquité d’ailleurs fort relative), ce qui frappe e visiteur, c’est la monumental absence du passé.
Ce fait est contraire à la civilisation occidentale : « En européen, en effet, malgré toutes les guerres et les destructions, la succession des âges a laissé une série de jalons monumentaux : les mines de l’Antiquité grecque et romaine, les grandes cathédrales médiévales, les palais de la Renaissance, les monuments de l’époque baroque- tous ces témoins architecturaux forment une chaîne ininterrompue qui perpétue la mémoire du passé au écru même des cités modernes ».
Cette « exorbitante » concernant le patrimoine, en particulier le patrimoine immobilier en France si bien que l’on appelle le « chauvinisme patrimoine patrimoine immobilier en France si bien que l’on appelle le « chauvinisme patrimonial ». Sang liane explique que cette originalité asiatique concerne l’importance de a cosmologie chinoise traditionnelle.
Cela permet d’expliquer pourquoi cette longue civilisation s’est détachée de son passé. Autrement dit, cela concerne la question de l’appréhension de la moire et du temps la pensée orientale en générale et la pensée chinoise en particulier : l’éternité habite les gens plutôt que les pierres, l’architecte mais non l’architecture.
En fait, comme sinon les a bien analysé dans ses écrits, selon lui le phénomène « de la destruction périodique de l’héritage du passé, qui semble avoir marqué toute l’histoire de chiné » et « la chute d’une dynastie s’accompagnait presque infailliblement du pillage et de l’incendie du palais impérial ; ainsi, d’un seul coup, la crème de la production artistique des siècles antérieurs s’évanouissait chaque fois en fumée. . Ce phénomène est bien répondu à l’Extrême-Orient mais étrange dans les yeux des occidentaux. Plus exceptionnel, sylvicole gauchira- anglais décrit ce fait au jupon et l’appelle « reconstruction périodique ». Au jupon, des monuments sont volontairement détruits, sylvicole gauchira-anglais décrit sanguine ou cérémonie rituelle de destruction et reconstruction des temples, tous les vingt-ans dans le sanctuaire d’se au jupon.
Elle montre bien aussi comment cette pratique est faite une régénérée, bisexuelle a lieu tous les vingt ans. Chaque empereur peut l’accomplir et redonner ainsi des forces vives à la nation en renouant vécu les héros fondateurs, dans une conception cyclique forces vives à la nation en renouant avec les héros fondateurs, dans une conception cyclique du temps, commune à toute essaie Orientale.
En ce qui concerne ce phénomène de « destruction », française choya parle en cela d’une destruction positive et rituelle effectuée par les japonais qui « ne révérant pas comme nous (occidentaux) les marques du temps sur les monuments, construits périodiquement les répliques du temps exactes de temps originels dont les précédentes copies sont alors détruits De cet exemple, il convient de durée qu’en Extrême-Orient, « l’attachement à la forme dans le temps est plus important [… ] que l’attachement aux caractéristiques de la forme dans l’espace ».
Cette vision de la protection patrimoniale, quasiment inverse de l’européen. En bref, le culte de la mémoire en Extrême-Orient ne s’exprime pas avec la même déférence pour les constructions prestigieuses qu’en européen. Cette civilisation millénaire a sa façon propre de « conserver » son passé, une façon qui nous paraît souvent fort curieuse puisque la mémoire du passé parait dissociée de ses manifestations éternelles. « La façon en Orient on a pratique la restauration des temples montre l’abîme qui existe entre deux visions du monde du patrimoine bâti.
L’authenticité matérielle est notoirement absente de la conception du monument oriental et l’accent est mis sur une représentation et une culture immatérielle et vivant Il faut souligner que c’est l’adoption de la conception occidentale du patrimoine historique qui comble une absence de celui de patrimoine en Extrême-Orient avant l’introduction de l’architecture étrangère. Pour le patrimoine en Extrême-Orient avant l’introduction de ‘architecture étrangère.
Pour le cas du vite-man, en introduisant au vite-man les éléments de l’économie capitaliste, les Français ont fait changer, dans une certaine mesure, le concept du patrimoine traditionnel des Vietnamiens. En effet, grâce la présence de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux de construction, de modes architecturaux et de méthodes planificatrices occidentaux ainsi que le concept du patrimoine occidental introduits par les Français entre la fin du sexe et le début du axe siècle, de profondes mutations ont bouleversé le patrimoine culturel dans ce pays.
française CHOYA, Allégorie du patrimoine, Paris, Le Seuil, « La couleur des idées », 1992. S. Roseraies, Patrimoine et identité culturelle, UNES En essaie orientale en général et en Extrême Orient en particulier, le cas du jupon est considéré comme un cas exceptionnel qui est une seule comparaison suffirait attester la spécificité du patrimoine Occidental et qui a souvent retenu l’attention.
Le fait que ce pays se fût doté, très vite après la restauration de mégir (1868) d’une législation de protection des ??uvres architecturales et artistiques anciennes, surtout les patrimoines religieux, avoir Kokikyûbutsu zone oh (le Directive pour la préservation des antiquités et des choses anciennes en 1871), hochais zone oh (Loi sur la préservation des anciens sanctuaires et temples en 1897). Malgré cela, le concept japonais de patrimoine se distingue nettement du concept européen.
Moins centré sur la pérennité matérielle, couvre des domaines plus larges et en particulier celui du patrimoine la pérennité matérielle, couvre des domaines plus larges et en particulier celui du patrimoine vivant et immatériel. Voir. : Marc bourbier, Le mythe et l’industrie ou la rétention du patrimoine culturel au jupon ».