Les origines de la crise chez les classiques et marx
Cela désigne, le moment de retournement de la conjoncture économique, le temps du passage d’une période ‘expansion ou d’essor assez soutenue à celui d’une phase de dépression ou de contraction, au cours duquel finissent par se mettre en place les conditions de la reprise, un retournement inverse de la conjoncture. Pendant plusieurs décennies, les crises prendront une forme complexe, tenant à la fois des crises d’Ancien Régime et des crises industrielles modernes ; c’est d’ailleurs la raison pour laquelle, durant toute une période, les économistes s’interrogeront sur la nature de ces phénomènes nouveaux.
C’est ce dont smash ou bien richard et J. Asa ce sont interrogés afin d’en comprendre es origines et les mécanismes. De même que kart mark ou même malus. Les origines de la crise chez les classiques et mark premier BOY loucheur 1 parapha 19, 2009 9 pages swaps toi vie nixe page C’est pour cela qu’on essaiera d’expliquer et commenter les origines de la crise chez les Classiques et mark, deux courants qui se suivent chronologiquement, qui se complètent et qui se contredisent. Quelles sont les causes et les conséquences des crises économiques d’après les Classiques et mark ?
Nous évoquerons dans une première partie la controverse liée à la loi des débouchés, puis dans une conte partie nous aborderons les crises dans l’économie à long terme. La- La loi des débouchés. La controverse des débouchés a opposé les auteurs classiques entre eux. Asa et richard défendent la loi des débouchés, mark et d’autre classique tel que malus la rejettent. Le problème fondamental qu’elle aborde est celui de la possibilité de crise économique durable. A- Loi de débouchés d’après J. B. Asa. La thèse de Asa consiste à montrer qu’il ne peut pas exister de surproduction générale en économie de marché.
Asa admet très bien qu’il puisse exister des déséquilibres entre secteur. Mais pour lui, cela signifie obligatoirement qu’il existe un autre secteur où il y a sous-production. Asa admet donc qu’on ait employé trop de ressources ici, pas assez là, et qu’au bout du compte, certains déséquilibres sectoriels apparaissent. Mais ce qu’il rejette comme une absurdité, c’est l’idée qu’on puisse avoir trop produit dans tous les secteurs à la fois (par rapport aux capacités d’absorption du marché, et non par rapport aux besoins de la population). Un niveau global, la production nécessite différents facteurs ; pour simplifier, la terre, le capital et le travail. Chacun de ces facteurs apporte une valeur supplémentaire, et reçoit en échange un revenu équivalent à cette valeur. Au total, la somme des revenus distribués est donc forcément égale à la valeur de la production totale. De ce fait, on déduit donc l’impossibilité d’une surproduction générale qui conduira à la crise, puisqu’ tout moment, la somme d’argent détenue par es consommateurs est strictement égale à la valeur des marchandises qui sont sur le marché.
B- Le rejet de la loi des débouchés d’après malus et mark. Chronologiquement, malus ébauche en même temps eu Asa, les éléments d’une explication des crises de consommation fondée sur le principe de la demande effective. Alors que Asa p ace la production au départ comme agent moteur de l’économie, malus privilégie le consommateur : « La première chose dont on ait besoin avant même tout accroissement de capital et de production, c’est une demande effective de produits, c’est à-dire une demande faite par ceux qui ont les moyens et la volonté d’en donner un prix suffisant ».
D’après malus il y a plusieurs facteurs possibles de crise, que ce soit la contradiction de la loi des débouchés avec les rincées qui commandent l’offre et la demande ( il peut intervenir des surproductions temporaires qui intervenir des surproductions temporaires qui provoquent une baisse des prix, et donc une contradiction des revenus, ce qui interdit aux producteurs de racheter toute leur production), soit que la production peut ne pas correspondre aux besoins réels ou finalement que les capitalistes ne sachant pas limiter leur désir d’investir à ce qui est nécessaire, l’excès de la dépense en travail productif (c’est-à-dire en dépenses d’investissement) doit provoquer accessoirement une insuffisance de la demande effective. Selon l’approche marxiste, la crise fait partie de l’explication théorique du capitalisme. La crise est nécessaire, elle est inévitable au point que « c’est plutôt la non-crise, la marche normale des processus économiques qui pose problème mark explique par rapport à la loi de Asa, qu’une surproduction dans une branche se répercute sur toute l’économie à l’aide d’un exemple : e coton. La crise de surproduction dans le secteur des cotonnades va entraver la production du tisseur et de ses ouvriers.
Ils vont donc insomnie moins de marchandises (notamment des cotonnades) car ils ne peuvent plus produire plus (car le marché est en crise de surproduction). Cette crise de surproduction va se répercuter dans toutes les industries liées au coton, qui consomment une part de leurs revenus dans le secteur du coton. Ces industries entrent en crise, leur revenu diminue, donc elles consomment moins de marchandises et affectent tous les secteurs dans lesquels elles avaient l’habitude de consommer. En fait, les affectent tous les secteurs dans lesquels elles avaient l’habitude de consommer. En fait, les industries forment ne sorte de réseau dans lequel la surproduction d’un secteur se propage dans toute l’économie.
mark nous dit de même que l’augmentation constante du capital est due au fait qu’une trop grande partie du produit est investie en capital au lieu d’être consommée. Le mode de production capitaliste porte alors en lui e risque de surproduction car il signifie produire non pas en fonction de besoins solvables, mais en fonction de forces productives ( c’est-à-dire le travail). Les capitalistes produisent autant qu’il Eure est possible, sachant que la demande découlera de la production. Or, mark dit que rien ne peut garantir que cette demande sera égale à la production. C’est pour cela que l’extension du capital (quantitatif et qualitatif) conduit nécessairement à des crises de surproduction.
Ces analyses poseront deux nouvelles perspectives : celle des classiques, celle que la croissance s’explique par la dimension de l’offre – et- celle de malus et mark qui situent le blocage de la croissance sur la dimension de la demande, afin qu’il y ait croissance il ne suffit pas de produire plus, encore faut il qu’une demande supplémentaire puisse exister en parallèle avec la production. AI- Les crises dans l’économie à long terme. Il existe plusieurs thèmes qui traversent toute l’analyse classique, jusqu’ mark inclus. Parmi ceux-ci, la dynamique de très long terme du système capitaliste occupe une place du système capitaliste occupe une place de premier plan. A-L’analyse de la DIT selon smash.
D’après smash une mauvaise répartition des richesses peut bloquer les richesses. Cette répartition n’est donc pas secondaire à la richesse. Le développement économique est déterminé par le partage des richesses entre les classes. D’après lui la Division du Travail va permettre de tarder l’état stationnaire si on met en ?ivre cette dernière au niveau international. La spécialisation internationale permettra d’augmenter le rendement du travail et le rendement de chaque économie. Ce qui retardera l’état stationnaire et permettra d’acheter les différents produits a des prix plus faibles. B- L’analyse du taux de profit d’après richard.
richard nous dit que les propriétaires fonciers et les capitalistes ne jouent pas du tout le même rôle dans l’économie. Les propriétaires fonciers tirent leur revenu de leur position de propriétaires, qui monopolisent une source rare non reproductrice : la terre. Ils peuvent se permettre de dépenser intégralement leur revenu en biens de consommation sans compromettre leurs revenus futurs. Ils n’ont aucun intérêt à consacrer une partie de ce revenu à investir, à créer de nouveaux moyens de production, à moins de se transformer en capitalistes. Les fermiers, en revanche, comme tous les capitalistes, tirent leurs revenus de la vente de Eure production.
Ce ne sont pas des revenus de monopole, et un capitaliste se doit de baisser continuellement ses prix de vente, donc ses coûts de production, s’il ne veut pas faire faillite, victime de entortillement ses prix de vente, donc ses coûts de production, s’il ne veut pas faire faillite, victime de la concurrence. Ce que richard veut nous expliquer dans cela est que le profit est un revenu qui, au moins partiellement, est réemployé à l’investissement, au développement des capacités de production et qu’ la différence de la rente foncière, il générer de la croissance. La croissance de la rente au détriment du profit, si on la prolonge jusqu’ son terme, elle mènera ainsi à une situation où le taux de profit sera si bas qu’il ne pourra ni inciter des nouveaux investissements, ni les financer. On aboutira ainsi à une situation que richard qualifie d’état stationnaire (il ne s’agit pas d’un effondrement économique, mais d’une stagnation).
Cette perspective relativement pessimiste sur le très long terme n’empêchera pas richard de se battre avec acharnement pour en retarder les effets. En effet il défendra avec constance toute mesure permettant d’abolir les mesures protectionnistes (coron las), afin de favoriser le taux de profit – et par contrecoup, la croissance. C- Critique de mark vis-à-vis des Classiques. mark se pose en adversaire de l’organisation capitaliste de l’économie. Il est convaincu que ce système est incapable de maintenir ce cours favorable, et qu’il devra à terme laisser place à une économie sans propriété privée des objectives imposées par la nature, mark découvre une baisse du taux de profit imputable uniquement à la forme spécifique de l’économie qu’est le capitalisme.
Là où chez richard, la baisse du taux de profit était causée par l’absence de progrès technique (en matière agricole), chez mark la baisse du taux de profit est au contraire causée par ce progrès technique – et par la forme qu’il prend en économie capitaliste. mark affirme que dans le capitalisme, le progrès technique est synonyme de mécanisation, donc de remplacement du travail vivant (celui des salariés) par le travail mort (les machines). Ainsi, la partie du capital consacrée à l’achat de machines tend à prendre de plus en plus d’importance par rapport à celle consacrée au paiement des salaires. La composition organique du capital augmente avec le temps, entraînant le taux de profit vers le bas.