Un groupe de sept poete francais

essay A

Origine de la pléiade : Pierre de ronrons considéré comme « Prince des poètes et poète des princes » étudia au Collège de coqueter dont le principal était Jean odorat, aussi professeur de grec et helléniste convaincu. AI y fit la rencontre de Ajaccio du belles. Ce sont les deux piliers de la pléiade. Puis 5 autres poètes se joignirent à eux issue du collège de bonjour ou de coqueter : jacquet pelletier du Mans, rems bouleau, antenne de biffa, pointus de tard et tienne jodler. À la mort de jacquet pelletier du Mans, Jean odorat le rems acéré au sein de se groupe.

Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la « Brigade ». Le souci majeur de la Brigade, élevée sous l’égide de l’helléniste Jean odorat, est de faire premier boy tamis amputa 23, 2011 6 pages rompent avec a poésie médiévale. C’est dans ce contexte reculer le « Monstre Ignorance » par swaps toi vie nixe page la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’lésinerai qui avaient choisi, au île siècle, le nom de cet amas astronome?que pour se distinguer. Ce n’est qu’en 1556 que ronrons choisit le mot « Pléiade » pour désigner ce groupe.

Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Ajaccio Du belles. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus, etc.. On peu a lors donc parler d’école Ils constatent cependant que la langue française est pauvre et non adaptée à l’expression poétique et décident de l’enrichir par la création de néologismes issus du latin, du grec et des langues régionales.

Ils défendent en même empesé l’imitation des auteurs grec-latins dans le but de s’en inspirer pour pouvoir les dépasser. Ils imposent l’lésinerai, l’ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures et abordent les quatre principaux thèmes de la poésie illogique : l’amour, la mort, la fuite du temps et la nature. La Pléiade participe au développement ainsi qu’ la standardisation du français et joue un grand rôle dans l’?ivre de « l’illustration de la langue française », dans la renaissance littéraire.

L’idéal de la Pléiade L’idéal des poètes de la Pléiade se construit sur la mise au littéraire. Lacera de ce qui les a précédé. Ils mettent entre parenthèses les aspects séduisants de la production antérieure (poésie médiévale, narcotique… ) pour prôner la nécessité de purifier et renouveler la production poétique La création antérieure fait figure de création anecdotique laquelle ils opposent l’idée d’une création poétique qui trouvera sa cohésion dans une inspiration commune, son souffle dans un idéal commun.

Tous les prédécesseurs font figure à leurs yeux de mauvais versificateurs, sinon certains : marotte, heurte, scène, Saint-Gelais en qui ils voient des recruteurs mus par une inspiration individuelle originale. L’idéal de la Pléiade est synthétisé et passé tel à la postérité grâce à l’ouvrage de Du belles : Défense et illustration de la langue française Ce manifeste se veut être un nouvel art poétique et s’inscrire ainsi en faux par rapport à l’Art poétique de subtilité, paru en 1548.

Idéal militant qui trouve sa raison d’être dans l’histoire : défendre la ange, lui donner ses lettres de noblesse. Langue française naissante et langue latine Apparaît donc un mouvement de soutien à la langue naissante afin de la doter des ors comparables à ceux de la eu langue latine. Parallèlement aux italiens, les français en la personne de la Pléiade veulent promouvoir la langue française. En 1539 , l’édit de vieilles-côtières impose l’utile Pléiade veulent promouvoir la langue française.

En 1539 , l’édit de vieilles-côtières impose l’utilisation de la langue française, langue nationale, pour tous les actes administratifs. Mais dans les faits, la langue française subit la rude concurrence d’une part des langues régionales, et d’autre part des langues étrangères espagnol, italien. L’idéal d’une langue littéraire : il s’agit de défendre la dignité e la ange et la création littéraire Les théories de la Pléiade L’imitation Ces jeunes poètes pensent à se former par l’imitation, imitation originale, tel est le sujet du premier livre de la Défense et illustration de Du belles.

La traduction La traduction en soi est vue comme dangereuse parce que chaque langue a son génie propre. Ils préconisent donc l’imitation, soit le fait de se nourrir (d’où le concept dans l’histoire littéraire d’« nutrition ») des textes anciens pour élaborer ensuite des écrits qui s’en nourrissent mais pour aboutir à une création personnelle.

Ils prennent en cela ouïr modèles les latins qui se sont nourris des modèles grecs pour élaborer leur propre littérature : dite-liv., Tacite // décidée, évidé // peindre. Pour une nouvelle poétique Le deuxième livre de la Défense et illustration est en soi traité de poétique : soit étude des moyens à mettre en ?ivre pour augmenter, enrichir la langue française, d’où le mot « illustration ».

Enrichir la langue requiert doctrine et érudition en plus de l’ainsi le mot « illustration l’inspiration Selon Du belles « L’amplification de inséré langue (AI) ne peut se faire sans doctrine ni érudition » Cela vient ainsi en enfant de ‘inspiration qui, à elle seule, ne saurait suffire. Le langage poétique doit être autre Il se distingue du langage courant par la copia, l’abondance : enrichissement, amplification, augmentation. L’ornementation, les figures de style sont liées à l’essence même de la parole poétique.

Ainsi, Du belles, dans la Défense et illustration, examine de façon systématique a manière de créer des néologismes qui vont permettre d’enrichir la langue. La poésie : parole heuristique La poésie, sous la plume des poètes de la Pléiade, se veut parole heuristique La poésie est heuristique, initiatrice de connaissances cinétiques et spirituelles, d’abord parce qu’elle cherche communiquer le désir de connaissance au lecteur.