Le commerce international

essay A

A la différence du modèle de richard et de smash, le théorème de CHASSER et LOIN Essonne sur un modèle à deux facteurs de production et considère que les deux pays possède des technologies identiques. Un pays intérêt à exporter le bien dans la production est intensive dans le secteur relativement abondants et a importé le bien dans la production des intensives dans le facteur est relativement rare. Le théorème de STOPPER, SAUMONÉES estime que les détenteurs du facteur rare perdent pas l’échange international, tandis que les détenteurs du facteur abondante gagne.

D’où le théorème OS selon lequel il y aurait une égalisation relative et absolue des prix des acteurs de production entre les deux pays qui échangent. Pour RABBINS, lorsque la dotation factorielle d’un pays évolue, la spécialisation du pays va se déformer en premier boy adjoins HOF16pFl 04, 2009 22 pages théories traditionnelles : SMASH (avantage absolus) ; avantages comparatifs. MILLES explique la répartition du née de la spécialisation. À la différence du modèle de direction du bien intensif dans le facteur qui augmente. -+ le modèle OS et remis en cause en 1951 par le paradoxe de LÉNIFIER. Partir de là, deux voies sont prises par les théories du coma commerce international : une première voie qui considère es enseignements des modèles traditionnels comme pertinents, mais dont il faut affiner les hypothèses (approche née-factorielle, née-technologique, hiérarchisation des avantages comparés) ; une approche qui considère que le cadre théorique de la spécialisation internationale les plus valides pour comprendre le commerce intempérance (différenciation des produits, rendement de échelle, structure de concurrence imparfaite). + Le renouvellement du modèle OS. (l) selon le modèle née factorielle, la réponse aux paradoxes de léonine se trouve dans le fait que le facteur de travail n’est pas homogène, mais qu’il existe des différences de qualification à l’intérieur même de ce facteur : travail qualifié, travail non qualifié. Étude de CESSION de 1966 où il constate pour les exportations de 1 962, avec 46 secteurs et 14 pays étudiés, que les états-unis ont le plus fort pourcentage d’exportation intensives en travail qualifié.

Il distingue plusieurs catégories de qualification : scientifique ingénieurs, techniciens et dessinateur industriel… Jusqu’ travailleurs non qualifiés ou semis qualifié. (Il) l’approche née-technologique considère quant à elle que les coniques de production ne sont pas homogènes, contrairement à ce que retient le modèle OH. Deux théories essentielles : avantage technologique de POSER ; cycle du produit de VERNON (4 phases).

Il faut préciser que ces modèles trouve une certaine limite dans la mesure où le monopole technologie du nord est continuellement éroder par les transferts technologiques et ne peut être maintenu que par des innovations constantes dans de transferts technologiques et ne peut être maintenu que par des innovations constantes dans de nouveaux produits. Il) la théorie de la hiérarchisation des avantages comparés remet d’expliquer le commerce intéressantes dans le cadre des théories traditionnelles ; deux variantes peuvent être retenues : une explication par la dynamique des avantages comparatifs (exemple d’un pays qui changent de spécialisation : le commerce intempérance reflète un moment donné la baisse du niveau des ses importations et la hausse du niveau des exportations) ; le commerce intempérance peut en fait refléter des spécialisations très différentes (une même voiture peut être produite par du travail qualifié, et une autre, part du travail non qualifié). + La rupture avec les théories traditionnelles. La) contestation de l’hypothèse de rendement constant par l’existence d’économies d’échelle internes (baisse des coûts fixes, meilleur division du travail) et d’économies d’échelle externe (économie d’agglomération de MARÉCHAL ; rôle du marché national). Les économies d’échelle incite les entreprises à se spécialiser dans une production pour réduire leurs coûts. (Il) différenciation des produits qui remet en cause l’hypothèse d’homogénéité des promu?tes.

Distinction entre différenciation horizontale et verticale. La différenciation horizontale suppose que les produits ressente les mêmes qualités mais sont distingués en raison de leurs caractéristiques réelles ou perçues : optique de CHAMAILLERIE : le consommateur a une préférence pour la variété ; optique de LANESTER : choquerai valorise un produit idéal. La différenciation verticale suppose que les consommateurs PAGE 3 FO 22 choquerai valorise un produit idéal.

La différenciation verticale suppose que les consommateurs sont confrontés à des produits qui sont de qualité différente ; dans les modèles de différenciation verticale, on suppose que les consommateurs ont des coûts identiques, mais des venus différents : le pays ayant un revenu moyen ou élevé aura tendance à se spécialiser dans les qualités supérieures alors que celui qu’elle est revenue plus faibles se spécialisera dans des qualités inférieures. Il) le rôle de la structure de concurrence imparfaite (monde du dépoli de CHARMANT et BRANDIR : chaque pays produit un bien en autarcie ; l’ouverture des frontières signifie l’apparition d’un marché mondial en situation de dépoli ; chaque firme cherche à s’implanter sur le marché étranger P l’équilibre est obtenu lorsque chaque firme fournit la moitié de la production du bien sur son territoire et ‘étranger). (AV) explication du commerce intempérance.

Deux types de commerce intempérance : le commerce intempérance verticale (échanges de produits se situant des stades différents du processus de production) ; le commerce intéressantes horizontal lorsque les produits ont atteint des stades de fabrication semblable (on distingue le commerce intéressantes horizontal de gamme (importations de bas de gamme, exportation de haut de gamme) et de produits de valeur semblable, mais différenciés).

Le commerce intéressantes représente entre 55 et 65 % du commerce total. Il peut s’expliquer selon la ahurie de la demande représentative de LAINER (c’est parce que la demande représentative nationale et fort qu’un pays peut exporter ; es pays de niveau de devez la demande représentative nationale et fort qu’un pays peut exporter ; les pays de niveau de développement similaire échange entre eux).

MEULE S et ÉLÈVERIONS ont testé empiriquement l’explication des échanges intéressantes par la différenciation des produits à travers deux études (70-83 pour un premier groupe de pays où il existe une relation positive entre différenciation et échanges ; période 62-77 où il existe aussi une relation sottise alors que les pays ne sont pas engagés dans le commerce intempérance). Faut-il revenir au protectionnisme ? Ne distingue quatre périodes pour le protectionnisme : avant 1 840, protectionnisme élevé (les accords de navigation de 1651 ; les coron las ; soulèveriez de 1831) ; entre 1840 et 1 870, libéralisation progressive (traité cobaye-chevalier de 1860 ; abolition des coron las de 1846) ; 1870 à 1940 : retour au protectionnisme (1 879 : élévation de barrières douanières en presse ; 1892 : tarifs mélanine sur les produits agricoles).

Même si le libre-échange est favorable aux pays flopées dans les termes de l’échange s’améliore, et leur pose plusieurs problèmes : une contrainte extérieure ; une hausse des inégalités entre les qualifiés et les non-qualifiés, ces derniers étant menacés par la concurrence des pays bas salaires. Cette dernière doit cependant être relativisée : la concurrence des pays à bas salaires intervient dans des domaines limités ; faibles corrélation entre concurrence des pays à bas salaires et taux de chômage des pays développés ; la compétitivité ne repose pas uniquement sur le prix, mais elle est aussi structurel ; la compétitivité tous ne repose pas uniquement sur le salaire, mais aussi sur les marges et le niveau de productivité.