Danone

essay A+

Cette performance est le fruit d’une stratégie fondée sur l’équilibre entre la politique de développement tournée ères les nouvelles frontières, l’engagement grandissant en matière d’innovation et le renforcement des marques à fort positionnèrent santé. Pour se donner les moyens de son ambition, donne investit massivement en matière de Recherche & Développement ? 208 millions d’héros en 2008. 100 % des projets à l’étude sont dédiés à la santé et la nutrition.

Trois siècles après la découverte des bienfaits de l’eau minérale naturelle d’vain, plus d’un siècle après la première commercialisation de la baleine et bientôt 100 ans après le lancement en pharmacie du premier yaourt premier boy sport amputa 22, 2011 28 pages Présentation : produits laitiers frais, no 2 des eaux embouteillées, ne de la nutrition infantile et no 1 européen de la nutrition donne, les innovations en matière de santé sont aujourd’hui plus que jamais un pilier de développement du groupe. 008 a confirmé la pertinence du choix stratégique du et la nutrition infantile. Ces deux activités complètent naturellement le portefeuille de marques du groupe et sont en parfaite résonance avec la mission de donne : apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre. Aujourd’hui, donne se présente comme l’un des rares acteurs de l’agro-alimentaire totalement recentré sur la antes. Chiffres clés 15,220 milliards d’héros de chiffre d’affaires en 2008. Numéro 1 mondial des produits laitiers frais.

Numéro 2 mondial des eaux embouteillées Numéro 2 mondial de la nutrition infantile Numéro I européen de la nutrition médicale Résultat opérationnel 2008 : 2 270 millions d’héros – Marge opérationnelle : 14,91%- Bénéfice net courant : 1 313 millions d’héros- Effectifs : 80 143 personnes Principales marques Produits Laitiers Frais : donne, actrice, activa, danois (Petit grevais aux Fruits), vitalité (taillaient, vitaminées ou sers dans certains pays), donnant… Eaux en bouteille :

vain, volait, qua, abonnant, Font villa, lancera, sers….. Regardait déjà que 2009. Je pense pourtant que l’année 2008 est une année intéressante à analyser, parce qu’elle peut nous permettre de tirer quelques enseignements importants pour envisager le futur proche, notamment pour donne. Le premier enseignement, c’est que nous sommes encore une fois au rendez-vous de nos objectifs : croissance organique du chiffre d’affaires (+ 8,4%*), progression des marges (plus 53 points de base*) et du bénéfice net par action (+ 15,1 %**).

Nous avons en effet connu un excellent premier semestre de croissance (+ 9,6%*), mais ce qui est euro moi le plus intéressant, en termes d’enseignements, c’est la deuxième partie de l’année. La crise s’est déclarée partout depuis l’été 2008, mais nos grands indicateurs sont restés dans le vert au cours du second semestre, et le dernier trimestre a été marqué par une croissance solide, dans un univers très cahute : + 6%*.

Cela ne veut pas dire que donne est à l’abri de la crise, mais cela démontre qu’il y a une vraie solidité, construite au fil des années, sur nos grands atouts : force des marques, cohérence de notre stratégie, de nos métiers ou de notre gestion des équilibres géographiques. Cela illustre aussi qu’il y a une réactivait et une mobilisation sans faille des équipes. C’est sans doute ce qu’il y a de plus précieux dans l’univers actuel. L’intégration de minimum a, semble-t-il, beaucoup contribué à la qualité de ces résultats ?

IF. R. : C’est pour moi, justement, le deuxième enseignement de 2008, en forme de confirmation : l’acquisition des divisions Nutrition Infantile et Nutrition Médicale était bien pou confirmation : l’acquisition des divisions Nutrition Infantile et Nutrition Médicale était bien pour donne le bon choix stratégique. Les résultats sont là en termes de croissance, e marges, de synergies (nous irons même dans ce domaine au-delà des synergies de coûts prévues de 45 millions d’héros en 2008 et de 15 millions en 2009).

Ils sont surtout là en termes d’intégration et de motivation des équipes, lesquelles ont remarquablement joué le jeu de part et d’autre. C’est un succès dont nous sommes très fiers. C’est la preuve non seulement que nos deux nouveaux métiers mondiaux sont des catégories d’avenir mais aussi que, loin d’abîmer ces business en croissance, nous les avons encore dynamisés en les intégrant. Une intégration présente toujours un risque. Dans notre cas, le recousues a été particulièrement efficace et fluide.

Précisément, quelles ont été les performances respectives des quatre métiers du donne nouveau format ? F. R. : Le plus impressionnant, c’est bien sûr les métiers dont je viens de parler : + 17%* de croissance organique pour a Nutrition Infantile , près de + 13%* pour la Médicale. Mais, au centre du dispositif, les Produits Laitiers Frais sont toujours une formidable machine, avec plus de 8 milliards d’héros de chiffre d’affaires, qui croissent à près de En masse, c’est un générateur de croissance inégalé (400 millions d’héros).

Pour les Eaux, la reformant globale (+1 ,9%*) reflète la coexistence de deux mondes très différents : d’un côté, quatre grands pays matures, où la consommation d’eau en bouteille recule assez nettement (France, espagnol, raya pays matures, où la consommation d’eau en bouteille recule assez nettement (France, espagnol, Royaume-Uni et jupon) mais où nos parts de marché se tiennent bien, voire progressent ; de l’autre, le reste du monde, qui représente déjà plus de la moitié de nos ventes et où les croissance sont à deux chiffres : l’Argentine, l’ondines, la chiné ou le musique, pays qui sera sans doute notre plus gros pays sur e marché des eaux dans quatre à cinq ans.

Les résultats des pays émergent confirment la stratégie vers les nouveaux marchés En termes géographiques, ce sont les pays émergent qui semblent tirer la croissance… F. R. : Ce sont effectivement toujours les plus dynamiques. Ils représentent déjà plus de 400,6 du chiffre d’affaires du groupe et, comme ils croissent plus vite, leur poids va continuer à se renforcer, mécaniquement. L’aisé a crû à un rythme de + 1 et le reste du monde (essentiellement l’marquée chez donne) progresse aussi à deux chiffres (+ 13%*). L’européen, à + 5%*, est loin d’être globalement avisé en 2008, même si la situation état déjà tendue dans certains pays.

Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ce mouvement vers les pays émergent n’est pas un hasard mais le fruit d’un choix stratégique, fait il y a déjà une dizaine d’années pour aller chercher la croissance là où elle se trouve et étendre notre aventure. Ce poids croissant des nouveaux pays ne représente-t-il pas des risques : dilution des marges, instabilité ? F. R. : Ouvrir un pays, c’est un investissement : au départ, investissement : au départ, les premiers mois, cela coûte plus que cela ne rapporte, mais c’est la seule façon de instruire l’avenir. Ce qu’il est intéressant de noter, c’est que de très nombreux pays émergent, même récemment ouverts, sont déjà au niveau de la moyenne du groupe en termes de taux de marge. L’aisé est même au-dessus de cette moyenne cette année. Quant à l’instabilité, c’est un risque qu’on ne peut nier, et que nous devons gérer.

D’où notre volonté de bien diversifier nos implantations, de manière à équilibrer les risques et à nous permettre aussi de saisir es opportunités partout où elles se trouvent. Allez-vous, même en période de crise, continuer à investir dans de nouveaux pays ? F. R. : Nous allons continuer à saisir les opportunités locales, même s’il ne faut pas forcément attendre d’acquisition massive ou spectaculaire. Nous souhaitons continuer à ouvrir chaque année de nouveaux pays, moins sans doute que dans un climat économique plus serein, mais c’est notre responsabilité de continuer d’investir pour le futur. C’est ce que nous faisons, par exemple, au chassant et ce que nous ferons demain en corde du Sud.

Des priorités claires qui confirment notre vocalisation 1000/6 santé L Prévoyez-vous des cessions d’actifs, notamment pour réduire le niveau d’endettement du groupe ? F. R. : Le groupe s’est effectivement endetté pour acquérir minimum, mais il faut savoir plusieurs choses : d’abord, notre regard de la capacité de l’entreprise à dégager année après année plus de 1 milliard de frère casa flou. Ensuite, nous avons émis avec succès, et à des conditions attrayantes, pour 3,8 milliards d’héros d’obligations. Notre prochaine échéance de remboursement, de 1,2 milliard d’héros, arrive par ailleurs en décembre 2010, et elle est couverte indépendamment des éventuelles cessions d’actifs.

Des cessions peuvent, bien évidemment, contribuer à accélérer e désendettement, mais les raisons financières ne seront jamais les premières pour motiver ce type de décisions. Si nous avons, par exemple, cédé four, leader nasillardes des boissons, c’est que l’entreprise était très centrée sur les boissons aromatisées et enregistrant, alors que notre stratégie est aujourd’hui clairement focalisée sur les eaux naturelles. Nous ne céderons pas d’activités stratégiques juste pour réduire plus rapidement un endettement parfaitement géré. A propos de la chiné , où en est le conflit avec votre associé dans les boissons haï, et quelle est désormais la stations de donne dans ce pays ? F. R. Nous sommes, même sans haï, un acteur très important du marché alimentaire chinois, avec des positions très fortes dans la nutrition infantile (sous la marque demie, leader national) et dans l’eau, avec les marques robuste et halte. Et nous contrôlons maintenant à 100% notre nouvelle activité de produits laitiers frais, qui lance la marque activa (bai en chiné) à sangria et gandoura. En 2008, nos ventes dans le pays ont globalement progressé de près de 30%, alors que cette dernière activité n’avait p le pays ont globalement progressé de près de 300/0, alors eu cette dernière activité n’avait pas encore démarré. Quant à notre participation dans haï, elle n’est plus stratégique pour donne. Elle est mise en équivalence dans les comptes depuis le 1 er juillet 2007.

Un jugement devrait être rendu en mal ou en juin par la cour d’arbitrage de la chambre de commerce de stockions mais, de toute façon, l’option centrale est pour nous de céder notre participation, sachant que nous n’avons aucune raison de nous précipiter. Nous avons vécu pendant dix ans, de 1 996 à 2006, une belle aventure, très profitable à tous points de vue, tant pour donne que pour haï et ses équipes. Nous sommes passés à autre chose. L’eau en bouteille, dont vous êtes l’un des deux leaders mondiaux, est une catégorie qui doit aujourd’hui faire face à des critiques dans les pays développés, à la fois sur son prix et sur son impact environnement… F. R. : AI y a beaucoup d »des reçues dans ce débat. Premièrement, il faut savoir que l’eau minérale n’est pas une aberration écologique : c’est même l’inverse.

Au sens propre du terme, il n’ a aucun produit qui puisse prétendre être plus naturel. Il n’ a rien à filtrer, rien masquer, rien à ajouter, rien à faire disparaître. Elle émerge u plus profond de la terre, à l’abri de tout polluant, et elle ne reçoit absolument aucun traitement, et en particulier aucun traitement chimique. Mieux encore qu’un produit bai. De là découle d’ailleurs une autre réalité : les producteurs d’eau minérale sont les meilleurs alliés de l’environnement dans les régions où ils opèrent. L’environnement dans les régions où ils opèrent. Pour une raison simple : aucun autre acteur économique n’ autant intérêt à protéger son environnement direct.

En disant cela, l’idée n’est pas d’éluder la question de l’impact environnement du transport et de l’emballage de l’eau minérale. Mais, là encore, il faut rappeler quelques faits. Par exemple, au total, les deux tiers des expéditions de donne Eaux France (volait, vain, battit) sont réalisés par train ou par péniche. Combien d’activités peuvent aujourd’hui se prévaloir d’être aussi vertueuses en matière de transport ? Quant à la bouteille, elle est 100% recyclage (une proportion loin d’être atteinte par la majorité des emballages), elle perd du poids chaque année et, depuis quelques mois, elle a enfin le droit d’être composée à 25% de matériaux recyclés.