Intelligence Conomique Baguette
Bonjour à tous ! Aujourd’hui j’aimerai vous parler de l’entreprise Pani Vending qui a été victime d’espionnage industriel par l’entreprise Elodys. Tout d’abord, j’ai choisi de faire des recherches sur l’entreprise Pani Vending car j’ai trouvé le concept très intéressant et je ne savais pas que cela existait. En effet, l’entreprise pani Vendlng a créé le distributeur automatique de baguettes! Plus besoin de vous inquiéter des horaires d’ouvertures de votre boulanger, grâce à « Pani Vending », vous pourrez désormais récupérer otre baguette chaude à toute heure du jour et de la nuit!
Le «Pani Vending» est un four automate permettant la cuisson, la distribution et la vente de pain 24 heures sur 24 et 7 jours sur Sni* to View nextÇEge Swipe Lo nexL page 7. Il est muni d’une c 120 baguettes pré-cu s p ors ensuite automatique au fur et à mesure d récupérer votre bagu stocker jusqu’? Celles-ci passent er leur cuisson rmettant ainsi de chaude! L’utilisation de la machine est très simple: le client fait sa commande, glisse a monnaie dans la machine et l’automate achève la cuisson de la baguette pré-cuite.
En IO secondes, le client est certain de récupérer un pain chaud et croustillant. Mais que s’est-il passé ? Je Jean-Pierre Ferrante, créateur de Elodys a inauguré à son tour son premier distributeur… un peu plus sophistiqué. Son avantage ? Sa machine, baptisée « Compagnon du boulanger », finalise la cuisson des baguettes précuites. Résultat : le pain sort tout chaud des « fourneaux » jusqu’aux paniers des consommateurs.
Une nouvelle echnologie qui devrait créer une cinquantaine d’emplois (environ 50 emplois à la clé) Elodys vise à terme « une production de 20 machines par semaine, soit jusqu’à 1. 000 par an » pour un chiffre d’affaires annuel « de 30 à 40 millions d’euros », a déclaré son patron à l’AFP. Bien plus que les 500 000 ? déjà dégagés par Pani Vending. « M. Ferrante nous a dépossédé de notre bébé », a critiqué Jean- Louis Hecht. « Il nous avait approché, dlsant qu’il almerait bien travailler avec nous Il DEVAIT nous faire des propositions our nous fournir de la tôle.
Nous lui avions fait visiter notre bureau d’études au Portugal et il avait même signé un document de confidentialité. Mais il s’est littéralement assis dessus », a-t-il dénoncé. Son concurrent a rejeté en bloc ses accusations : « Nos technologies sont complètement différentes, nos brevets aussi Des gens ont travaillé sur cette idée depuis les années 1990, ils ont tous échoué à produire une machine rentable. M. Hecht a lui-même copié d’autres prédécesseurs Ils ont tous abordé le problème en tan