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Cependant, si ils ont la puissance du cerveau, ils n’en ont pas le fonctionnement, ils sont encore loin d’être complets : aucun n’est encore doté d’une véritable intelligence, et encore moins de conscience. Ce dossier traitera la question du « cerveau » plus que du corps, de l’intelligence artificielle plus que de la robotique. Nous nous poserons la question : Est-il possible de créer une Intelligence Artificielle imitant parfaitement celle de l’humain ?

Pour cela, nous allons définir dans un premier temps ce que sont l’intelligence et la conscience, dans un deuxième temps nous nous intéresserons à l’histoire de l’Intelligence Artificielle, pour ensuite nous pencher sur l’aspect conique et pour finir, nous confronterons aux problèmes premier boy rural 16 empâta 23, 2011 38 pages et obstacles qui entravent l’apparition de l’Intelligence Artificielle.

La notion d’intelligence est multiple comme est multiple la notion de sportivité.  » « L’intelligence est l’anticipation utile. Elle se mesure posteriori par la satisfaction des besoins de l’entité qui l’emploie.  » Nous entendons, par cette citation, que l’intelligence s’adapte à tout problème, tout environnement, l’intelligence permet d’anticiper des faits. A travers ces trois définitions, nous pouvons conclure que l’intelligence est multiple, qu’elle permet aussi bien d’anticiper que de trouver X solutions à un problème.

Elle permet aussi de de comprendre et d’apprendre, ce qui permet la sociabilité. Il faut aussi savoir que l’intelligence se présente sous deux formes : l’intelligence innée et l’intelligence acquise. Si l’intelligence est innée, alors il suffira seulement d’entrer des données nécessaires dans la machine pour qu’elle fonctionne. En d’autres termes, nous pouvons dire que la machine sait déjà faire cette action depuis toujours, mais il auto lui donner l’ordre de le faire, en entrant les données, pour qu’elle le fasse.

Si par contre l’intelligence est acquis le faire, en entrant les données, pour qu’elle le fasse. Si par contre l’intelligence est acquise, il faudra d’abord passer par une phase « d’apprentissage » de la machine avant qu’elle ne soit fonctionnelle. Nous voulons dire par cela, que nous devons d’abord apprendre, enseigner à la machine, comme des parents feraient avec leurs enfants, pour que par la suite celle-ci fasse ce que l’on veut. 2.

Les différents domaines de l’intelligence Lorsque l’on dit d’une personne qu’elle est intelligente, on eut le plus généralement souligner sa capacité à calculer, à construire des raisonnements solides, à réfléchir. Mais il y a énormément d’autres taches que réalise le cerveau sans qu’on y fasse attention. Chacune d’elle est indispensable, et doit être reproduite par la machine si elle veut acquérir le qualificatif d’intelligente.

On trouve notamment ? la reconnaissance visuelle en générale, et faciale en particulier C’est principalement par la vue que l’humain appréhende son environnement. Reconnaître les objets et les êtres qui nous entourent est indispensable à la survie. Pour ce qui est de la reconnaissance faciale, si elle n’est pas nécessaire à la survie, elle l’est en revanche à la vie sociale, pour distinguer ses différents interlocuteurs à partir de détails infimes, mais qui sautent aux yeux humains. Ai mémoire Constamment, chacune des informations que nous percevons sont stockées par notre château, puis triées, les importantes étant conservées dans la mémoire longue, les autres effacées. Cela nécessite de savoir séparer l’important du futile. Chez l’humain, cela se fait en fonction de l’émotion qui est rattachée à chaque souvenir. Au sein de la mémoire, les différentes informations sont reliées entre elles, par des liens logiques ou émotifs. Malgré les capacités de plus en plus grandes des disques- durs, les robots ne pourront pas tout enregistrer.

En l’absence d’émotions, il faudra trouver un autre critère de tri de l’information. Chacune de ces fonctions a donné un domaine de l’informatique : en tentant d’imiter le raisonnement humain on a vu apparaître les systèmes experts, la mémoire demande de développer de nouveaux modèles de représentation de l’information, la reconnaissance faciale est bien connu des appareils photos numériques A chaque fois qu’un de ces domaines avance, c’est l’ensemble de l’intelligence artificielle qui avance. . Les différents domaines de l’intelligence (suite) Exemple des termites Ainsi, les termitières sont construites par juxtaposition aléatoire de boulettes d’argiles, celles qui gênent le passage étant ensuite retirées et empilées ailleurs. Aucun insecte n’ conscience de construire la termitière, mais elle se construit. Aucun n’est intelligent, mais tous ensemble, leur comportement est intelligent. Le hasard apparaît aussi efficace qu’une action réfléchie.

On trouve aussi une forme d’intelligence tout à fait différente de celle humaine chez les insectes sociaux : chaque membre de la communauté agit plus ou moins au hasard, mais seul les comportements utiles sont conservés. C’est ce que ‘on appelle un comportement émergeant. AI n’est pas prévu dans le « programme », mais apparaît partir des éléments qui le sont. L’intelligence et la conscience sont justement des comportements émergeant du cerveau. Aucun des neurones n’est conscient, mais le cerveau l’est.

De nombreux programmes imitent le comportement de es insectes, et notamment les logiciels de recherche, qui explorent l’ensemble des possibilités pour trouver la plus efficace. Certains y voient également une piste pour construire un nouveau type d’ordinateur. Les machines actuelles sont hiérarchisées et centralisées : d’une manière générale, toutes les instructions sont donnés par un programme central, qui reçoit tous les résultats des calculs et les interprètent. Si il «p antes», tout s’arrête. De même, si le professeur désinfections, l’ordinateur s’arrête.

On pourrait rems acéré cette organisation par une hiérarchie horizontale, où tous les composants sont capables d’effectuer l’ensemble des tâches. Si l’un d’eux cesse de tourner, un autre peut alors le remplacer. On trouve déjà ce procédé dans les super-calculateurs, pour des raisons de performance, mais absolument pas dans les ordinateurs grand-public. Ce pourrait aussi être un bon moyen de faire apparaître la conscience artificielle, puisque dans le cerveau il n’ a pas de neurone qui dirige les autres, tous sont à égalité. ‘y a pas de neurone qui dirige les autres, tous sont égalité. 3. Définition de la conscience Qu’est-ce que la conscience ? La conscience est généralement définie comme la capacité de percevoir son environnement, de savoir qu’il existe, de connaître sa propre existence, de savoir définir ce qui est moi de ce qui est les autres. On distingue trois niveaux de conscience : La conscience primaire . C’est l’état de conscience le plus basique. Le sujet perçoit son environnement et son corps à travers ses sens, mais il ne fait pas la différence entre les deux.

Il n’ pas d’identité propre. On considère que la plupart des animaux sont limités à ce stade. La conscience réflexion : Le sujet sait faire la distinction entre son propre corps et son environnement ; il est conscient de sa propre identité, et pourra ainsi se reconnaître dans un miroir. En revanche, il reste incapable d’une réflexion construite, à plus forte raison d’utiliser un langage formel. Certains accordés semblent y avoir accès, ainsi que les éléphants.

La conscience de soi : dauphins et les moindres (humains et grands singes) y ont accès. Une anecdote à ce sujet : Un chercheur avait appris le langage des signes à un gorille, et était donc en mesure de lui poser des questions, de discuter avec lui. Un jour, il lui donna un mouchoir blanc, et lui demanda de quelle couleur il était. Le gorille lui répondit rouge. Le chercheur lui demanda plusieurs fois, ne comprenant pas pourquoi il persistait dans son erreur. A la fin, le singe désigna l’ourlet, cousu de fil rouge, en faisant la mimique dite « du jeu ».

Cet exemple semble démontrer la capacité à faire de l’humour des gorilles, et donc la conscience de soi. On peut ajouter à ces trois niveaux de conscience un niveau d’inconscience, qui est par exemple celui d’une bactérie qui ne peut même pas percevoir son environnement, faute d’organes sensoriels. . Définition de la conscience (suite) AI est difficile de savoir à quel niveau de conscience tel ou tel organisme accède. Un des tests les plus connus est le test du miroir. Il évalue la conscience réflexion.

On appose une tache colorée sur le corps du cobaye, qu’il ne peut pas voir directement. On le place ensuite face à un miroir : S’il a accès à la conscience réflexion, il va se reconnaître dans son reflet, remarquer la tache de couleur anormale et tenter de la retirer. Si en revanche il est limité à la conscience primaire, il croira être face à un congénère, t tentera soit de communiquer avec lui, soit de l’attaquer, soit de fuir, selon l’espèce à laquelle il appartient. L’attaquer, soit de fuir, selon l’espèce à laquelle il appartient.

Application du test sur un éléphant Ici c’est un éléphant d’essaie, nommé happa qui sert de cobaye. On a apposé, au préalable, une tache colorée (croix blanche) sur la tempe de l’animal qu’il ne peut pas voir directement. Ensuite on la placé devant un miroir de sa taille (car les éléphants on une mauvaise vision) où il remarque, après observation, la marque blanche peinte sur a tête. Il essaye alors de l’enlever avec sa trompe. L’éléphant a donc accès à la conscience réflexion comme le décrit le test cité précédemment.

Ce dernier est passé avec succès. Il est intéressant de savoir que, jusqu’ sa seconde année, un humain échoue à ce test. Le chat et le chien y échouent à tout âge, en revanche une pie ou un éléphant le passera avec succès. On peut donc considérer la pie comme plus intelligente que le chien. Qu’un bébé échoue au test du miroir puis réussisse après avoir grandi pourrait laisser penser que c’est l’éducation ui détermine le niveau de conscience auquel on accès.