Histoire politique de la france
L’opposition parlementaire, surtout républicaine, menée par l’on gamète parvient à mettre en place un gouvernement révision, dit de la Défense nationale. Ils proclament la République le 4 septembre. Les élections amènent une majorité monarchiste l’assemblée. Les Français, lassés de la guerre ou inquiets de la voir se rapprocher de leur région, toujours méfiants vis- à-vis des troubles parisiens, préfèrent voter pour les tenants de la paix sans condition, c’est-à-dire les listes conservatrices.
Ayant capitulé sans être vaincue, la ville de Paris admet mal les choix de la nouvelle assemblée. La révolte éclate lorsque théiers tente de confisquer les canons de la Garde nationale le 18 mars 1871. Le parti de l’extrême gauche provoque le soulèvement pensant qui s’agit de la révolution prolétarienne décrite par marc. D’abord, en fait, le pays est en république depuis le 24 septembre 1870, et il ne parait guère disposé à changer de régime.
Ensuite, il y a l’opposition de théiers, réaliste en 1870, il est devenu partisan d’une république dont il est le président (le titre lui a été attribué officiellement en 08/1 871 , après la répression de la Commune). L’assemblé va donc l’éliminer peu à peu. Pendant deux ans, elle limite ses pouvoirs, son droit de participer aux discussion peu à peu. Pendant deux ans, elle limite ses pouvoirs, son droit de participer aux discussions parlementaires, qu’il domine par son talent. Mis en minorité par les députés, il démissionna le 24/05/1873.
Le maréchal de mach manchon, vieux soldat loyal et monarchiste, fut immédiatement élu pour le remplacer. Les abords du trône étaient libres : il restait à trouver le monarque qu’on allait y installer. Or, pour un seul trône, il y avait deux rois rivaux : le descendant de charges X, le comte de chambrer hennir d’ratais, duc de Bordeaux et celui de lois philtre, le comte de Paris philtre d’Orléans. Après e laborieux pourparlers, légitimées et ralentisse réussirent une fusion c’est-à-dire l’union autour du comte de chambrer, cette fois, la France était à deux doigts de la monarchie.
Le prétendant lui-même la fit échouer, par son intransigeance sur la question du drapeau (il veut un drapeau blanc et non tricolore). Désemparée, la majorité royaliste de l’Assemblé se retranche dans une dernière position : elle prolonge pour sept ans les pouvoirs du maréchal mach-manchon, à titre personnel. D’ici là, on espère que le comte de chambrer aura le bon esprit de disparaître, laissant comme successeur le comte de Paris, eu l’on sait accommodant.
En 1875, ils se décident enfin d’entreprendre la rédaction de lois constitutionnelles. AI s’agit d’un compromis entre monarchique et républicains. AI n’ a pas, à proprement parler de « constitution de 1875 », mais trois lois constitutionnelles distinctes : la loi du 24/02 parler de « constitution de 1875 », mais trois lois constitutionnelles distinctes : la loi du 24/02 relative au sénat ; la loi du 25/02 relative à l’organisation des pouvoirs publics ; la loi du 16/07 sur les rapports des pouvoirs public.
La République de 1875 est en partie l’?ouvre des royalistes ralentisse), c’est une monarchie constitutionnelle sans roi, mais aussi grâce à l’appui de royalistes modérés convertis au régime parlementaire. C’est la première phrase de cette proposition qui fonde la République, et fait d’hennir Wallon e « père » de cette République. L’amendement est voté le 30 janvier 1875 par 353 voix contre 352. L’amendement Wallon consistait en cette phrase : « le Président de la République est élu à la majorité absolue des suffrages par le Sénat et par la Chambre des Députés réunis en Assemblée nationale.
AI est élu pour sept ans. AI est rééligible ». Ce scrutin manifestait e rapprochement entre les monarchistes modérés, partisans ralentisse, et les républicains modérés qui se méfiaient d’un régime trop démocratique. La constitution est d’abord originale par sa forme : elle est courte (34 articles au total), sans préambule ni déclaration de principe ou de droits C’est donc une constitution procédure de compromis, qui est en plus mal « rangée » : les articles se suivent sans trop de logique.
Le style est sec, fonctionnel, n’apporte aucun rêve et laisse poindre la résignation des monarchistes à cette république conservatrice inévitable, ou celle des républicains encadrent le Sénat, la chambre haute, quand ils souhaitaient inévitable, ou celle des républicains concédant le Sénat, la chambre haute, quand ils souhaitaient un parlement amonceler. Chaque parti a fait des concessions en espérant bien les reprendre quand il aurait le pouvoir. La procédure de révision est d’ailleurs fort simple. Personne ne cherche à sacraliser la constitution, elle n’est qu’un compromis.
C’est un compromis des Républicains qui acceptent un président fort, mais irresponsable, c’est-à-dire un roi caché. En théorie le président règne et gouverne. Or, avec l’orientation parlementaire du régime le président vient un symbole inactif sans pouvoir. Les Républicains se sont également inclinés devant la majorité monarchiste en concédant une deuxième chambre qui doit être un bastion conservateur, monarchique, selon la théorie des lois constitutionnelles, voire un arbitre dans certains cas (celui de la dissolution par exemple).
La Constitution est aussi un compromis de la part des Monarchistes qui concèdent la « République » certes débarrassée de ses attributs révolutionnaires, mais une république reste un régime sans roi. C’est enfin un compromis des républicains les plus vigoureux qui innocent une république sage et conservatrice loin de leurs idéaux hérités de 1789. – La chambre basse / des députés : élu pour ans, au suffrage masculin direct, scrutin majoritaire à deux tours. Il propose et vote, les lois, le budget, la guerre, les traités.
Elle peut contrôler et renverser le gouvernement. – La chambre haute / sénat : élu pour ans, renouvelable par tiers tous les trois ans, s chambre haute / sénat : élu pour ans, renouvelable par tiers tous les trois ans, suffrage masculin indirect par département, élus… Il propose et vote les lois, la guerre et les traités. On ne peut pas contrôler et renverser le sénat jusque 1876, c’est aussi la haute cour de justice pour juger le président en cas de haute trahison ainsi que les députés et les ministres. Président de la république : élu pour ans, très puissant car on veut en faire un roi, rééligible autant qu’il veut au suffrage indirect masculin par les deux chambres réunit en congrès. Il est irresponsable, tout ces actes sont contresigner par un ministre qui lui est responsable ; il dispose du droit de dissolution de la chambre des députés. Le schéma du régime s’établissait ainsi : d’un coté, le Président, qui peut dissoudre les Chambres ; de l’autre, les Chambres qui peuvent questionner, interpeller et finalement renverser les ministres du Président.
L’audience des républicains grandit : ils gagnent les élections de 1876. Ces élections donnant pourtant des résultats contradictoires : Sénat : les monarchistes ne conservent que deux voix de majorité en janvier (1 51 contre 149 républicains) ; Chambre : large victoire des républicains en mars (350 sièges contre 80 monarchistes et 75 panégyristes) La présidence est monarchiste. Ah. La crise du 16 mai Le 16 mai 1877, mach manchon, le président de la République assoit la chambre des députés.
Les monarchistes empêchent les républicains de faire campagne, mais à ce moment théiers meurt ce monarchistes empêchent les républicains de faire campagne, mais à ce moment théiers meurt ce qui rassemble des foules lors de son enterrement. Les républicains gagnent les élections à la chambre et sont majoritaires. La tentative de mach manchon à échoué, le coup d’état des monarchistes à échoué. Plus aucun président de la troisième république ne va oser dissoudre de peur que ce soit pris pour un coup d’état. Le président perd tout ces pouvoirs.
Cela va être la période es présidents sans envergure. AI s’agit définitivement de l’échec de la restauration pour les monarchistes. En 1879, les républicains gagnent les élections et mach manchon démission, remplacé par gérer, un républicain. L’exécutif est donc incarné par le président du conseil des ministres qui se font investir auprès du congrès, le gouvernement émane du parlement. Le conseil des ministres existe dans la constitution, se réunit à l’lésée en présence du président de la république.
Le gouvernement doit trouver un programme qui sera accepté par le parlement, les ministres doivent donc se mettre d’accord ors du conseil des ministres, il s’agit d’un lieu de débat. Pour faire tomber le gouvernement, un parlementaire interpelle par une question un ministre, cela entraîne un débat qui se clos par un vote, il s’agit d’une question de confiance. Privé de cette arme essentielle, le président de la République se trouva désormais impuissant devant les Chambres , impossible de s’opposer à leurs volontés, puisqu’ ne possédait plus rien d’efficace pour faire pression sur elles.
Le président ne cc ne possédait plus rien d’efficace pour faire pression sur elles. Le président ne conservait plus qu’un fantôme de ouvrir ; il devait endosser sans protester les actes que les ministres accomplissaient sous son nom. Bu. Révision de la eu république 1879, les deux chambres sont ramenées à Paris, où elles se fixent. Le parlement centre politique de la vie politique, où l’on prend toutes les décisions ; celles prises en dehors de Paris sont alors anticonstitutionnelles. 882, élection des maires et adjoints par les conseils municipaux, moins de contrôle de l’état sur les mairies. Une exception, Paris, qui n’ pas de maire. Les décisions restent contrôlées par le préfet jusque dans les années 80. 884, « la forme républicaine du régime ne pas faire l’objet de révision. ». Modification du recrutement du Sénat. Exclusion de la candidature du président les membres des familles qui ont règnes, ils sont aussi exilés. Début de laïcisation de la France et de la vie publique. D.
Les conséquences de la 3 e république Instabilité ministérielle. 1899-1902, ?illade rousseur (radicaux modérés) 1902-1905, combles (centre gauche) laïciser la vie politique française, en expulsant une partie des communautés religieuses. 1906-1909, clémence, gère mal les conflits de grèves 1909-1914, AI gouvernements, le brandisse 914, « Union Sacrée », tous es partis politiques entrent au gouvernement. Les parlementaires ont laissé faire car ils pensaient qu’il s’agissait d’une guerre courte, mais en la voyant s’allonger, ils reprennent le pouvoir.
Le parlement est s’agissait d’une guerre courte, mais en la voyant s’allonger, ils reprennent le pouvoir. Le parlement est obligé de se réunir en comité secret (huis clos) pour que le peuple ne sache rien. Dans les années 20, 30, alternance de gouvernement gauche, droite, à chaque conflits ou élections. Ceci est dû au changement de position politique des parlementaires élan les sujets. Il ne faut qu’une aînée d’avis changeant pour que la majorité bascule.
La parade du gouvernement pour construites le parlement est de leur demander les pleins pouvoirs financiers, qui leur permettent de faire des décrets-lois. Le discrédit de la vie politique française est à son comble. Les députés ne souhaitent que la réélection, le président est nul, les parlementaires ne cessent de faire tomber les gouvernements. Parade gouvernementale, puisque le centre du pouvoir est au parlement. Il faut le construites lorsqu’ y a besoin de prendre des décisions rapidement, les décrets- loi.
Le gouvernement promulgue un décret qui à une valeur de loi, il ne peut le faire que lorsqu’ a les pleins pouvoirs dans un domaine déterminé par la chambre et sénat lorsqu’ vote de dessaisissement du pouvoir législatif en faveur du pouvoir exécutif. Le renforcement de l’exécutif après 1934 se traduisait de deux façons.