Fiches de lecture

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Je vais vous partager un livre de psychologie (La femme seule et le prince charmant : Enquête sur la vie en solo) de Jean-clause chauffant. Collection poche, l’éditeur POCHÉE. J’ai lu la version en 2009 mais il existe le grand format qui était publié en 1999 comme la première publication. Le mien comprend en total 349 pages. Jean-clause chauffant est un sociologue français, spécialiste de la vie quotidienne. Pionnier de la (microscopique) , il a orienté ses recherches vers les aspects les plus inattendus et parfois minuscules de la vie quotidienne.

A travers eux, il dévoile élues mécanismes sous- jactance gouvernent nos conduites. Aujourd’hui reconnue, cette démarche a débouché sur (l’analyse du couple par son linge) dans La trame conjugale (1992) ou la (sociologie des seins nus) dans Corps de femmes ; regards d’hommes (1995). AI a également publié Premier matin ( armant Colin, 2002) et un essai que je vais vous raconter bientôt, La femme seule et le prince charmant, qui a rencontré un véritable succès populaire et a reçu le prix bordions décerné par l’Académie des sciences morales et politiques.

Ses livres sont traduits en une quinzaine de langues. Jean-clause chauffant est directeur de recherche au CENS à l’université Paris V-sermonne. Dans cet ouvre la femme seule et le prince charmant : premier boy angon empâta 23, 2011 | 7 pages Il a également publié Premier matin ( armant Colin, 2002) enquête sur swaps toi vie nées page sur la vie en solo, l’auteur cherche à analyser pourquoi tant de femmes vivent seule.

Un livre qui mélange l’analyse avec les rappels historiques et témoignages, décortique les motivations de ce mode de vie et les sentiments mitigés qu’il inspire à celle ou celui qui le vit, ses relations plus ou ions harmonieuses avec un entourage qui ne partage pas forcément les mêmes choix… Contenu De nos jours, le nombre de femmes en solo augmente d’une façon inévitable. Cet ouvrage est fondé sur une enquête sur la vie en solo, nous analysant graduellement la raison de ce choix jusqu’ la fin du livre. Ce livre est composé de 3 parties pinacles.

La première partie nous conduit avec un regard sur le passé à savoir d’où vient ce long mouvement de la vie en solo. Au début de l’histoire, le célibat était intolérable et contre nature. Avec le renversement du monde au siècle dit des Lumière) , où le Houilles commence sa retraite et l’individualisme prime, une forme de célibat devenait légitime. Cette vague affiche la créativité de l’individu et propage l’idée d’une vie moderne. Le nombre de célibat augmente, cependant l’image femme-mère demeurait la dominante, la femme seule sent pointé sur elle le (le doigt accusateur) , être hors norme.

Elle vit une vie en deux, entre pleurs et rires, ombre et lumière, subit un déchirement d’identité. Le rêve merveilleux de la rencontre avec le Prince charmant lui donne de l’espoir et la ‘identité. Le rêve merveilleux de la rencontre avec le Prince charmant lui donne de l’espoir et la confrontation avec le réel semble désillusionnée. La deuxième partie nous entraînera dans divers détails de la vie quotidienne de la femme en solo. Là, la vie en deux produit une refléterait permanente. La pratique de l’écrit comme le journal intime ou bloc permet d’exercer ce regard sur soi et ainsi, dans certains cas, rend soi plus forte.

On peut d’ailleurs constater une différence entre la femme seule et la femme mariée par rapport à l’état des yeux, le lit, les repas, relation avec les parents… La liberté qui se concrète ici en révolte ménagère donne un grand plaisir et permet de reconnaître des aspects positifs dans la vie en solo. Or, la sensation de vide fait surface, gâchant le plaisir. Les copiées sont l’antidote contre la solitude et la femme seule développe les sorties pour combler ce vide. L’investissement professionnel offert une compensation plus efficace de la solitude de chez soi.

La révolution interne produit des changements de la mode de rencontre. Les sites de rencontre facilitent l’échange et remettent de plonger dans l’intimité de l’autre. Par contre, ils remplirent des pièges qui pourrait rendre l’amour encore plus impossible et causent la fatigue mentale. Les solos alternent entre la satisfaction de savourer leur liberté et la déprime causée par un besoin non assouvi d’avoir une présence savourer leur liberté et la déprime causée par un besoin non assouvi d’avoir une présence ou d’être dans la norme.

La dernière partie nous explique comment la trajectoire d’autonomie est choisi par la femme en solo marelle elle comme la meilleur façon de vivre. La vie en solo s’exprime en trois grand vagues : Le désir d’autonomie dans toutes les échelles d’âge ; le pouvoir d’invention de SOI par soi de la jeunesse de l’individu ; Les ruptures conjugales, souvent décidé par la femme, lui libérant des charges familiales et assure une capacité de réussite professionnelle. La manie du célibataire, la frustration pour la vie conjugale et l’absence de l’homme à la hauteur, renforcent l’idée de la vie en solo.

Il existe deux positions totalement opposées dans la trajectoire d’autonomie : les solos se retrouvent ans une situation étroite, fermée, qui attentent le Prince passivement et subi les solitudes noirs ; les solos volontaires au contraire actives, ouvertes, animent leur vie par un réseau large sans être trop dépendantes. La (logique de la carapace) pousse les femmes seules à se présenter sous leur apparence positive, ce qui était au début un moyen de masquer la face négative de la vie en deux, est devenu un vrai appui de l’affirmation de soi, qui leur permet de mieux vivre son présent.

Commentaires La famille de célibataires ne cesse d’augmenter. Aujourd’hui, au moins une personne sur trois a vécu, vit célibataires ne cesse d’augmenter. Aujourd’hui, au moins une personne sur trois a vécu, vit ou vivra une période de son existence seule. Par choix ou par défaut. L’absence du prince charmant, les difficultés de la vie à deux, les charges ménagères et le manque de passion entre les couples poussent les individus à aspirer à une autre vie qui donne un terrain plus vaste de la liberté, plus favorable pour la réussite personnelle. Mais les solos sont-ils plus heureux que la moyenne ?

Sachant la solitude est un élément essentiel mesurable. Certains jouit de cet état, l’autre fuit. La question ici c’est que : la subir ou la choisir ? La solitude souffrance Selon fraîche intensité, il y a sortes de solitude : La première est causé par la séparation des lieuse, c’est la solitude qui produit le moindre mal, puisque l’espoir et le désir de se rejoindre préparant un confort avenir, on attend avec bonne humeur ; la deuxième est due aux objectifs ambitieux, c’est la solitude a plus sacrée, puisque ces objectifs sont au profit de tout humanité, on aura pas de sentiment de désespoir ; Et la troisième, ce que

intensité subirait, est la solitude la plus amer, sans aucun espoir de compensation, est que l’individu ne pouvant trouver le consensus avec le monde, étouffe le cour d’existence. L’être humain n’est pas et ne peut jamais être un pur solitaire bricolant son identité dans sa tour d’ivoire personnelle : il est rien sa solitaire bricolant son identité dans sa tour d’ivoire personnelle : il est rien sans les autres. Le consensus est en fait un soutien identifier. Quant à moi, c’est la solitude qui fait le plus mal, elle se différencie de la solitude d’état d’être élu, qui est une solitude concrète, à l’état brut.

On peut la compenser par les sorties et les divers activités. Mais la solitude causé par l’absence du consensus est très difficile à compenser, trouver quelqu’un de complice peut-être? Cela dépend de la chance, et c’est justement quand on cherche, cela devient difficile à trouver. D’une part, la femme seule subit cette solitude en rêvant trouver âme- sueur, l’autre part, l’état brut d’être seule aggrave la frustration. La vie semble un trou noir sans fond La solitude plaisir La vie en solo ne se décline pas nécessairement en solitude.