Emmanuel kant
Puis, à partir de 1 755, akan enseigne la logique, la métaphysique et les sciences ‘université de consignées où il s’installe définitivement. A partir de 1 794, il se consacre entièrement à ses recherches philosophiques. Toute sa vie, empreinte d’austérité et d’une extrême reg arête, est tournée vers la méditation, l’étude et l’enseignement. akan est un admirateur enthousiaste de la Révolution Française et heureux voir les idées de rousseur se concrétiser. On distingue généralement deux périodes dans la philosophie de akan.
Dans a première, dite pré-critique, il expose une métaphysique proche de celles de libertin et e Ulf pour tenter de répondre à la question de l’origine du monde. Mais à partir de 1770, sa pensée vit un tournant décisif, début de la période dite « critique » (examen des pouvoirs de la raison), où il va construire la philosophie qui lui est propre. akan y aborde notamment la question de l’origine et des limites de la connaissance (raison théorie manque anti premier boy puni phoque 08, 2009 | 4 pages spire toi vie nées page théorique) et les possibilités de l’action (raison pratique).
Dans son ouvrage le plus célèbre, « Critique de la raison ure » (1781), akan réalise ce qu’il dénomme « une révolution coopéreraient » (la Terre tourne sur elle-même et non le ciel autour de la Terre), considérant dans une vision idéaliste que c’est le sujet qui construit l’objet de sa connaissance et non les objets qui définissent la connaissance. Il définit la « raison pure » comme la faculté de connaître a priori (sans recours à l’expérience) la nature des objets, par la sensibilité et l’entendement.
akan démontre en particulier l’impossibilité pour a métaphysique d’être une science en raison de l’absence d’objet réel pouvant lui apporter du notent. Pour lui, l’homme ne connaît pas les choses « en soi », mais « telles qu’elles ui apparaissent d’après les principes de son organisation comme être sentant et pensant ». Dit autrement, les connaissances de l’homme sont celles des phénomènes et il ne lui est donc pas possible, à partir de la « raison pure » de connaître Dieu, l’immortalité de l’âme, le monde, la liberté, le moi… ui ne sont que des concepts et n’appartiennent pas au domaine sensible. La métaphysique, qui en fait des bêtes, est donc une illusion. C’est dans a partie « idéal » (traitant de Dieu) de la « Critique e la raison pure » que akan réfute les trois « preuves » métaphysiciens de l’existence de Dieu : * la preuve mythologique (à partir de l’idée de Dieu); * la preuve cosmologie (nécessité d’un être suprême pour expliquer toute existe pour expliquer toute existence); * la preuve physicien-théologique (sur la finalité du monde).
Dieu, aussi indémontrable qu’irréfutable, est considéré par l’auteur comme un idéal exempt de défauts. Quelques années plus tard, akan publie « Critique de la raison pratique » (1788), où il soutient qu’une action est moralement bonne si elle s’accomplit par pur respect du avoir sans considération pour un intérêt ou une satisfaction espérée. La moralité se mesure donc dans l’intention qui conduit à l’action et non sur son aspect extérieur.
La loi morale s’exprime sous forme d’un devoir impératif (« tu dois ») tel qu’il puisse être érigé en règle universelle. Dieu, la liberté de la volonté et l’immortalité de l’âme ne sont pas du domaine de la connaissance, mais des postulats nécessaires à la raison pratique en tant qu’exigence rationnelle de la morale. Pour le philosophe allemand, l’existence de Dieu est donc une nécessité orale. Sa morale, cependant, ne se fonde pas sur la religion mais sur l’autonomie de la volonté.