Diable au corps

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BIOGRAPHIE : Raymond RADIGUET Raymond Radiguet, né le 18 juin 1903 à Saint-Maur et mort le 12 décembre 1923 à Paris, est un écrivain français. Il a écrit deux romans ayant connu un grand succès critique et populaire, soit Le Diable au corps et Le Bal du comte d’Orgel, publiés alors qu’il abordalt la vingtaine. ENFANCE Ainé de sept enfants, Raymond Radiguet est le fils du dessinateur Maurice Radiguet (1866-1941) et de Jeanne Marie Louise Tournier (1884-1958).

Après l’école communale, il passe rexamen des bourses et entre au lycée Charlemagne à Paris. Considéré d’abord comme un bon ?lève sauf dans les di résultats scolaires m 1914 pour faire l’écol lecture dans la biblio xviie et xviiie siècles, ocr ora Sni* to View btient ensuite des à quitter le lycée en nt les écrivains des de Clèves de Mme de Lafayette, puis Stendhal, Proust, et entin les poètes, Verlaine, Mallarmé, Arthur Rimbaud, Lautréamont 1.

En avril 1917, Raymond rencontre Alice, une jeune voisine de ses parents à Saint-Maur qui vient de se marier avec Gaston, parti au front. La liaison de Radiguet (14 an Swipe to View next page ans) avec Alice alors que le mari de celle-ci est dans les tranchées nspirera Le Diable au corps. Cette liaison ne durera qu’un an et, ? partir de 1918, il s’éloignera peu à peu de la jeune femme. CARRIERE À l’âge de 15 ans, il abandonne définitivement ses études et se lance dans le journalisme.

En portant les dessins de son père au journal L’Intransigeant, il rencontre son rédacteur en chef, le poète André Salmon et lui soumet quelques poèmes En 1918, il fait une rencontre qui exercera sur sa future carrière une influence capitale : on le présente à Jean Cocteau (né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte et mort le 11 octobre 1963 dans a maison de Milly-la-Forêt, est un poète, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste français.

Membre de l’académie française) DECES Raymond Radiguet meurt emporté par une fièvre typhoïde ( maladie infectieuse) mal diagnostiquée par le médecin de Cocteau4 le 12 décembre 1923. Dans son délire, il déclarait « J’ai peur, dans trois jours je serai fusillé par les soldats de Dieu ». Avait-il le pressentiment de sa fin prématurée lorsqu’il écrit les dernières pages du Diable au corps Résumé diable au corps Membre de l’académie française)