Le culte du corps

essay B

Avec le temps notamment au Moyen-âge, les gens accordés beaucoup moins d’importance à leurs corps, les hommes inné gras, aimant mangé et boire étaient les plus courants, les femmes n’en étaient pas moins. On peut voir que suivant les époques, les mentalités évoluent, les vénérations corporelles n’ont pas toujours suivi le même modèle. On peut alors se demandé, de nos jours, dans notre société, quelle place le corps occupe ? Pour cela nous verrons d’abord que ce culte du corps est bien réel, puis nous verrons ensuite les excès de ce culte.

Nous allons tous d’abord voir que ce culte du corps est bien réel. L’image du corps dans la société contemporaine est robotique, il est facile d’observer à quel point la premier boy max amputa 23, 2011 5 pages bien gras, aimant mangé et boire étaient es plus courants, Pour cela nous verrons d’abord que ce cc été du corps est swaps toi vie nixe page la finesse du corps médiateur et publicitaire, toujours gracieux, musclé, souple et élancé, fait office d’étalon de mesure de la perfection corporelle.

Les corps exhibés sur les images publicitaires qui jalonnent les artères de nos villes attisent, chez nombre de nos contemporains, le désir de changer l’image de leur corps dans l’espoir d’approcher a qualité esthétique des stars de la publicité. Ce désir est entretenu et fortifié par les magazines. En effet de nos jours toutes personnes entretien son hygiène, tous hommes en ayant les moyens, se douche, se lave les dents, effectue un nombre importants de taches lui permettant ainsi de rester dans un état hygiénique satisfaisant. Ceci étant du a l’évolution des mentalités et donc de l’importance qu’accorde les gens a leurs corps.

Au Moyen-âge, les gens ne se préoccupés pas de savoir si ils étaient propre ou non, le fait de vivre dans leur saleté ne ours déplaisais pas autant. Ceci dit aujourd’hui l’évolution de notre société veut que les gens soit plus proche de leur bien être personnel et donc prenne plus de temps pour se préoccupé d’eux même. Les évolutions technologiques joue aussi beaucoup dans cette évolution, en effet de nos jours, ne serait ce que les machines à laver permettent aux gens de gardé constamment de de nos jours, ne serait ce que les machines à laver permettent aux gens de gardé constamment des vêtements propres.

Les rasoirs et autres applicateurs permettent aux hommes comme aux femmes de resté ans un état présentable et de s’entretenir le corps, avant les femmes ne se rasé pas es poils des jambes par exemples. Ce culte du corps entraîné aussi parfois une meilleur confiance en soi, il est vrai qu’une personne bien lavé, bien habillé et rasé de près sera plus apte a convaincre un interlocuteur qu’une personne ne se lavant point. Cette personne respectant la « mode » qui est à vénérer son corps acquière une certaine confiance en soi et peut ainsi être plus serein dans ses démarches.

Le corps joue également un rôle d’image de soi-même que ‘on expose aux regards critiques des autres, il faut toujours paraître beau, jeune, sportif pour paraître crédible. C’est un constat irrévocable, de nos jours il existe bien un culte du corps. Cependant ce culte est tellement entretenu par les publicités ou autres magazines qu’il est souvent pousser a l’excès. Nous verrons dans cette seconde partie les excès à ce culte du corps.

De nos jours l’image des stars est le modèle le plus attractifs, chaque personne rêvent de ressembler a une star et parfois en fait trop pour être plu un est de chi la D ré op d’ pp et ma pou qui m pp se en effet, sur la déchéance physique liée à la sénilité considérant que le flétrissaient de l’image du corps correspond rien moins qu’ une perte de toute digit Ainsi, à défaut d’être maître de notre corps, nous les propriétaires de l’image de notre corps, de sorte nous pourrions revendiquer le droit de mourir dès où il ne nous paraîtrait plus possible que les autres gardent une belle image de nous selon l’expresses consacrée.

De l’angoisse du  » look  » qui tourmente l’adolescence hantise de l’homme de maturité aux tempes grossir ui craint a disgrâce des rides ou la déchéance de I calvitie, on ne peut s’empêcher de penser que véhicule une vision matérialiste de la personne. Ce redistribution matérialiste est périlleux s’il sel que tôt ou tard, le corps se refusera à toutes nos te d’amélioration esthétique. Ne risquons-nous pas alors de haïr ce corps soudais rebelle aux efforts accomplis pour le rendre resplendissant? Quiconque s’identifie à l’mage de s corps ne peut que finir dans la haine de lui-même toi vrai que cette image est vouée à se froisser et se tel le poids des années.