Le corps nu

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Tous les artistes de la renaissance n’ont cependant pas étudié le nu de manière aussi théorique. Avec l’époque premier boy tomba empâta 22, 2011 | 14 pages scientifique, définir les proportions idéales du corps en classique, les artistes s’inspirent de la mythologie. Le nu est alors pour les artistes une manière poétique de représenter la beauté de ces dieux au mieux. L’absence de vêtement dévoile leurs corps parfaits mais ils gardent tout fragile. Ingérés, le Bain Turc Diamètre 108 cm 1863 Cependant, Ingérés ne sut pas rester insensible aux charmes érotiques du nu.

Les modèles aux poses étudiées se proposent donnant une impression d’abondance et faisant ainsi de cette toile un rêve dément. Ingérés nous montre avec cette toile, sa deuxième perception du nu féminin : une image sensuelle et érotique. Délaierai, La mort de sardanes 395 x 493 cm 1827 On peut comparer le bain Turc d’ingérés avec cette toile de Délaierai. On ressent encore le mouvement et surtout l’esprit de sensualité de la toile. Les poses langoureuses des femmes de même que les couleurs chaudes créent une ambiance à la fois de violence mais aussi de passion de la toile. On retrouve de même une impression de rêverie exotique.

Vénus de helléniser (20 000 ans avant notre ère) La représentation du nu débute dès la préhistoire. La plupart du temps et pour l’ensemble de la création représentations de nus ne suivent pas cette idée de symbole. Les peintres peignaient dans un but de représenter des scènes quotidiennes. Ces femmes représentées étaient en fait réellement nues, ce sont des danseuses ou esclaves, leur tenue est donc tout de même dans le but de satisfaire leur maître. On se rend compte dans cette représentation que les canons féminins sont nettement différents de ceux de la préhistoire.

adorera amant, olympiade 130×190 cm 1863 Les représentations de nu des impressionnistes sont dans une volonté de réalité. amant étudia de façon poétique et sensible les effets de la lumière sur la peau, il étudie les détails, les effets colorés. Dans cette recherche du vrai, il y a peu de trait, on cherche à représenter le volume. Pilla persistera: modèle huit bleu flouerez Kimono, 2003 Enfin avec les nus de persistera nous atteignons le maximum du réalisme dans des peintures quasi- photographiques mais les peaux sont si lisses que I on se demande si la personne représentée est vivante, cela en vient angoissant.

Exemples d’esquisse de Nus. Le but de l’esquisse est d’étudier le corps de la femme représenter. Pour comprendre la que l’artiste doit réaction du tissu des vêtements, les ombres et lumière et l’organisation des membres du corps pour une pose naturelle, Ingérés a d’abord représenté son modèle nu de le peindre habillé pour un résultat plus avant réaliste. Français Boucher, nu féminin Crayon rouge, 1 730 Sur cette esquisse, l’accent est mis sur la lumière et sa réaction sur le corps.

C’est grâce à ces traits blancs que l’on comprend les volumes. L’intérêt de l’esquisse est ici ‘utiliser un support sombre pour faire une représentation par la lumière. Pages suivantes : errent ludique chercher nu couché, 1906 fusain On voit sur cette esquisse que le trait est vif, rapide, il y a une volonté de comprendre les volumes rapidement dans la pose des ombres. Les formes sont assez aléatoires, on l’impression qu’elle vole. Mais l’ensemble donne à ce nu un aspect dynamique, en rupture avec les représentations traditionnelles.

thèmes canines Femme masquée assise 1866 fusain Cette représentation contraste tout à fait avec la précédente, on voit ici que chaque trait est subtilement étudié. L’artiste a cependant une interprétation encore celle de Français boucher. Le dynamisme est donné par les contrastes clair- obscur très forts. Hennir métisse, esquisse. Les représentations d’hennir métisse sont tout à fait particulières. En effet, elles se font uniquement par le trait, et un seul trait vierge, sobre. Il ne pas en avant ici que les formes sans signifier les volumes.

Ainsi, il considère le nu comme symbole de pureté, sobriété. Les traits ne sont pas toujours exacts, on peut penser à une représentation naïve de la femme. Page suivante : métisse nu couché tenant les bras derrière la tête. 937. Fusain Dans les esquisses où il traduit les ombres, elles restent très floues. Le trait reste simple mais pour les ombres, il s’agit d un fond, sans limites, qui s’obscurcit à certains endroits. On comprend la rapidité du geste de l’artiste donnant à son dessin, une autre forme de dynamisme.

pactisa Les baigneuses 191 8, crayon Comme guigne ou causante, « les baigneuses » est un thème qui inspira pactisa. Il représente alors 3 femmes, habillées dans sa toile du même nom. Mais auparavant, il réalisa ce dessin, dans le quel, les femmes sont beaucoup plus nombreuses. On peut supposer en vue des poses des mes au premier plan de son dessin. Les esquisses ont donc des objectifs différents, il peut s’agir d’étude pour préparer un tableau, d’une étude à visée didactique dans le but de comprendre le corps ou bien de servir des effets du fusain ou du crayon pour mettre en avant certains aspects du nu.

Toulouse-lettrée Femme enfilant son bas. 1894 Il s’agit ici du même principe que pour l’esquisse de Français Boucher. Ici, le dessin est réalisé par les teintes claires mais cette fois, non pas pour représenter la lumière, mais pour attirer le regard vers certains endroits du corps. Les couleurs sont vives, seul le corps reste neutre, les cheveux, le foulard et le bas sont mis en avant. Ces éléments donnent un rythme à l’ensemble dynamique. On remarque aussi qu’en plus de la couleur, les éléments sont plus détaillés que les mains par exemple.

agôn schisme, Nu à la chevelure noire (debout), 1910 aquarelle et mine de plomb, 54,3 x 30,7 cm Les représentations de schisme ne restent pas fidèles à la réalité, les corps sont maigres, pales, fragiles comme torturés. Pour accentuer la blancheur du corps de ce nu, il laisse pour la couleur de a peau le blanc du papier. Le idole se confond alors avec le fond, comme un fantôme. Cette impression est accentuée par le bras, qui n’est pas achevé. Le corps dans l’art contemporain artiste, son seul support pour s’exprimer et son propre corps.

Elle a subit toutes sortes d’opérations chirurgicales pour se transformer. Elle fait alors des photos où elle se met dans la peau de ses différents personnages. Au travers de son travail, elle nous montre à quel point e corps peut être transformé, quelles sont ses limites. Montrer ou cacher le corps ? Usine chaland, collection 1998 Avec ces étranges vêtements présentés lors du défilé de la élection de 1998, Usine s’interroge sur le regard de la société sur le corps. Certaines religions par exemple empêchent le dévoilèrent du corps car c’est un « outil » de séduction qui attire.

On se rend alors compte que notre éducation, guide notre comportement envers notre propre corps et celui des autres. Fa il montrer ou cacher le corps ? Pourquoi ? Avec ce masque, il nous montre aussi que le corps en apprend moins que le visage sur une personne, alors pourquoi ne pas cacher uniquement le visage ? Tant de question que l’on se pose devant cette couvre de chaland, provocante envers les traditions arabes. Comprendre les limites du corps Marina abricot Relation ni espace, 1976 – (byzantine mi rhum) Performance, 58 min. I épuisement. Elle a de nombreuses fois frôlé la mort pour mettre en évidence la force mentale contre la force physique. Le corps humain et le corps animal : éloge Kulis [pic] [pic] Dans ses performances et ses photographies, éloge Kulis se met en scène dans des situations animales. Ainsi, il compare les réactions de sont corps par rapport à celui de l’animal en particulier un chien. Ses ?ivres souvent provocantes étudient le lien entre l’homme et l’animal ainsi eue le regard que porte la société sur cela.

En effet, lorsqu’ se met en scène nu dans la rue, les réactions des spectateurs effrayés témoignent des mentalités éduquées des humains, que les animaux n’ont pas. Paysages humains : espèces tunique espèces tunique est le spécialiste pour regrouper le plus de personnes possibles afin de réaliser ces photos uniques. Dans des lieux et des positions toujours plus surprenants, le photographe arrive à recréer avec ces foules nues de véritables paysages d’un nouveau genre. Quand le corps fait peur : rond moque Cela fait peur… ‘humain face à ces sculptures devient moins humain…

Quand le corps devient support : chêne angon Une chinoise nue est recouverte d’inscriptions en « braille » sur tout son corps lors d’une exposition d’art contemporain de l’artiste chêne angon dans la ville de nain le 16 Décembre 2006. L’écriture braille devient alors vivante, mouvante, cette écriture discrète est silencieuse prend alors forme, de l’importance… L’artiste utilise le corps pour donner vie à quelque chose qui n’en a pas. Le corps, la vie et la mort : kalis Le corps humain peut représenter à la fois la vie et la mort. C’est ce qu’exprime cette ??uvre d’kalis.