Anarchisme
Certains penseurs libertaires américains comme hennir dévia taureau, râler alto émergeons et lat. hâtant, préfigurent l’anarchisme contemporain de la contre-culture, de l’écologie, ou de la désobéissance civile[20]. Définitions[modifier] Principes généraux[modifier] Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! L’anarchisme est une philosophie politique qui présente une vision d’une société humaine sans hiérarchie, et qui propose des stratégies pour y arriver, en renversant le participe au premier. La source de toute philosophie anarchiste, on retrouve une volonté d’émancipation individuelle et/ou collective. L’amour de la liberté, profondément ancré chez les anarchistes, les conduit à lutter pour l’avènement d’une société plus juste, dans laquelle les libertés individuelles pourraient se développer harmonieusement et formeraient la base de ‘organisation sociale et des relations économiques et pool tiques.
Le « A » inscrit dans un « O », un des symboles de l’anarchisme de l’origine maçonnique L’anarchisme est opposé à l’idée que le pouvoir coercitif et la domination soient nécessaires à la société et se bat pour une forme d’organisation sociale et économique libertaire, c’est-à-dire fondée sur la collaboration ou la coopération plutôt que la coercition. L’ennemi commun de tous les anarchistes est l’autorité sous quelque forme qu’elle soit.
L’État est le principal ennemi des anarchistes : l’institution qui s’attribue le monopole de la violence égale (guerres, violences oléicoles), le droit de voler (impôt) et de s’approprier l’individu (conscription, service militaire). Les visions qu’ont les différentes tendances anarchistes de ce que serait ou devrait être une société sans État sont en revanche d’une grande diversité. Opposé à tout credo, l’anarchiste prône l’autonomie de la conscience morale par-delà le bien et le mal défini par une orthodoxie majoritaire, un pouvoir à la pensée dominante.
L’anarchiste se veut libre de penser par lui-même et d’exprimer librement sa pensée. Certains Anarchistes dits « spontanéité » pensent qu’une soi la société libérée des entraves artificielles que lui prônons) Ceux-là se situent, conformément à l’héritage de prônons, dans une éthique du droit naturel (elle- même affiliée à ruisseau). D’autres pensent que le concept d’ordre n’est pas moins « artificiel » que celui d’État.
Ces derniers pensent que la seule manière de se passer des pouvoirs hiérarchiques est de ne pas laisser d’ordre coercitif s’installer. À ces fins, ils préconisent l’auto- organisation des individus par fédéralisme comme moyen permettant la remise en cause permanente des fonctionnements sociaux autoritaires et de leurs stratifications médiatisées. En outre, ces derniers ne reconnaissent que les mandats impératifs (votés en assemblée générale), révocables (donc contrôlés) et limités à un mandat précis et circonscrit dans le temps.
Enfin, ils pensent que le mandatement ne doit intervenir qu’en cas d’absolue nécessité. Le rejet du centralisme, pour le fédéralisme, about it donc à un projet d’organisation sociale fondée sur la gestion directe de sa propre vie et la décentralisation, où chacun est en mesure de participer la vie commune, tout en conservant son autonomie individuelle, selon les conceptions parfois diamétralement opposés que s’en font les différents courants anarchistes. [réf. Accessoire] Cou riants[modifie er] À la genèse de l’anarchisme politique, on trouve les travaux pionniers de lamina guidon : en 1 793, il publie Enquête sur la justice politique et son influence sur la morale et le bonheur (traduction française), ?ouvre largement inspirée par la Révolution française. Il y propose une critique l’appellation « anarchiste ») auront également un rôle très important dans le développement de l’anarchisme individualiste. Celui-ci publie en 1845 L’Unique et sa propriété, une ?ouvre en réaction contre la pensée gelaient et poste-gelaient, qui va marquer durablement la pensée anarchiste.
Les libertaires considèrent qu’une société anarchiste devrait être construite sans hiérarchie et sans autorité ; les institutions telles que le capitalisme, la famille patriarcale, l’Église, l’État, l’armée sont qualifiées d’autoritaires (dans le sens d’une présence d’autorité par opposition au système libertaire qui s’en passe) et contraires aux libertés individuelles. Trois mouvements principaux existent au sein de la mouvance anarchiste, l’un socialiste, l’autre individualiste et le dernier syndicaliste.
Il existe également d’autres tendances peu connues et plus récentes. C’est dans ‘espace délimité par ces conceptions, globalement peu représentatives de l’ensemble, que se situe la pensée anarchiste. Aujourd’hui, il existe donc de nombreuses théories anarchistes distinctes. Différents groupes peuvent donc se définir comme anarchistes et néanmoins avoir des positions (au niveau tactique, stratégique, organisation, comme au niveau de Eure philosophie politique, économique et sociale) différentes, voire opposées.