Le naturalisme en peinture NAILA
Le naturalisme en peinture Le naturalisme est un mouvement littéraire qui, dans les dernières décennies du XIXe siècle, cherche à introduire dans les romans la méthode des sciences humaines et sociales. Le mouvement est en partie créé par Émile Zola. Ce mouvement est la suite logique du réalisme. Ce dernier entendait décrire la réalité de la manière la plus précise possible, y compris dans ses aspects immoraux ou vulgaires. Le Naturalisme poursuit cette idée, mais en ajoutant un contexte physiologique et en montrant que le milieu où vit le protagoniste est l’une des raisons principales de on comportement.
Le naturalisme est le reflet de la réalité : il s’intéresse autant ? comme les ouvriers Si le réalisme, en pei réalité objective, plus nature telle qu’elle l’e Swape loview nextp g dividus pauvres, re, a pour but la ulent « reproduire la Les peintres naturalistes choisissent de mettre en scène des paysans, des ouvriers et des pauvres et aussi la classe moyenne, en ville et à la campagne, au travail, au repos, en société, dans leurs pratiques religieuses.
Les formats sont bien plus monumentaux que ceux des peintres réalistes du milieu du XIXe iècle, où le premier-plan est q Swige to next page quasiment à l’échelle un sur un. Les détails sont toujours dépeints de manière à mettre l’accent sur des parties significatives : des visages épuisés ou réjouis, des mains déformées par le travail ou fines et lisses, des objets du quotidien marqués par l’usage… Les couleurs sont parfois claires, souvent brossées, les toiles gardant un aspect inachevé. Il est donc intéressant de nous demander comment le mouvement naturaliste s’empreigne-t-il de la peinture au XVIIIème siècle.
Pour cela je vais donc vous présenter tableaux de type naturaliste : Les foins de Jules BASTIEN-LE -Scène de propagande boulangiste de Jean Eugène BULAND – «Un Martyr ou Le Petit marchand de violettes» de Fernand Pelez I. Les foins de Jules BASTIEN-LE Tableau a été peint en 1877. Sa Dimension est de : hauteur 160 cm – largeur 1 95 cm Technique et autres Indications : peinture ? l’huile sur toile Au XIXe siècle, les paysans sont tantôt décrits comme des brutes arriérées, tantôt comme des travailleurs purs et vertueux.
Ce sont d’abord les physiocrates qui les critiquent pour l’archaïsme dans equel ils végètent : leur passion pour la terre les détourne des investissements productifs, la routine leur fait ignorer les plantes nouvelles et les techniques modernes. La scène représentée ici est situé dans un champ. Les Foins de Bastien-l_epage donnent par leurs tons ver 2 OF s représentée ici est Situé dans un champ. Les Foins de Bastien- Lepage donnent par leurs tons verts et blancs une impression de fraîcheur, malgré le soleil ardent qui éblouit les champs ? l’arrière-plan.
La ligne d’horizon, placée très haut, établit les deux aucheurs en plein milieu du champ, soulignant la profonde affinité qui relie les paysans à la terre. La paysanne de Bastien- epage reprend ses forces, hébétée, la « face rouge et suante ; son regard fixe ne voit rien comme dit le peintre lui-même. Le repos est aussi celui que le paysan a mérité à la fin de la journée, quand la nuit l’oblige à cesser le travail. Il. Scène de propagande boulangiste de Jean Eugène BOLAN 0(1852-1927) 1889 Dimensions : Hauteur 180 cm – Largeur 190 cm Technique et autres indications : Huile sur toile.
Lieu de Conservation : Musée d’Orsay (Paris) Jean Eugène Buland a vraisemblablement peint son tableau juste après le dénouement de la crise boulangiste(Le boulangisme, ou boulange, est un mouvement politique français de la fin du XIXe siècle (1889-1891) qui constitua une menace pour la Troisième République. Son nom est dérivé de celui du général Georges Boulanger, militaire de prestance qui devint ministre de la Guerre, se rendit populaire par ses réformes mais inquiéta le gouvernement par son discours belliqueux) . Cette scène de genre traitée dans un style hyperr 3 OF s