parcours de lecture 15

essay A

Parcours de Lecture l. Des personnages en guerre Il. Les armées ennemies et leurs affrontements 1) Présentation et composition des différentes armées Les deux chefs de guerre Kouame et Sango Kerim ont tous deux une armée composée de 3 clans. L’armée de Kouame est composée des clans de Barnak, Tolorus et Arkalas et celle de Sango Kerim des clans de Bandiagara, Karavanath et Rassamilagh.

Kouame a à ses côté « les mangeurs de kh OF ressentent de doule ni p, wipe View not page des zombies les yeux qui dirige les Surnas. ont surnommés rogues qui ne _ Ils avancent tels galement Tolorus rses nus, sans rmure qui n’ont peur de rien excepté une seul chose : être défiguré au combat ce qui les empêcherait selon eux d’accéder au paradis et leur enlèverait tous leurs biens. Enfin, Arkalas qui dirige les chiennes de guerre qui sont des hommes forts et de très bon guerriers.

Leur particularité est de se déguiser en femme pour pouvoir chuchoter a leurs ennemis « regarde lâche, c’est une femme qui t’as tué » Sango Kerim, quant à lui, peut compter sur l’armée des ombres blanches qui est dirigé par Bandiagara et est constituée de guerrier se recouvrant le visage de craie blanche. A ses côtés il a ussi Karavanath le brutal dirige lui les crânes rouges, une armée de guerrier dont le crâne est recouvert de rouge pour garder le Sv. ipe to « sang de leur ennemis en tête ». Les Jours de guerre sont pour eux des jours de fêtes. Enfin Rassamilagh, qui est a la tête de guerriers montés sur des chameaux avec des couleurs, armes et amulettes différentes en fonction des tribus. L’armée de Sango Kerim est un rassemblement de tribu Nomade. Les deux armées des deux chefs sont toutes deux divisées en trois « sous armées » ayant chacune des caractéristiques et un chef différent, mais tous fidèles à leur chef.

Avant même le début e la guerre l’auteur nous fait part de son point de vue et nous montre que la guerre est une absurdité grâce aux coutumes des différentes tribus : hommes habillés en femmes, peur d’être défiguré mais sans armure ou jours de guerre qui sont des jours de fêtes. 2) Les Renforts Au cours de la guerre de Massaba les deux armées vont recevoir des renforts à un moment ou un autre du livre, à des moments particuliers qui vont inverser la situation en faveur de l’une ou de l’autre.

Renforts en faveur de Kouame: A la page 156 du livre Massaba est assiégée, l’armée de Kouame se retrouve prise aux pièges entre ses propres murailles. Tout semble perdu pour Kouame qui lui même pense être déjà mort. Sango Kerim s’apprête à « se ruer sur les remparts avec hargne.  » lorsque la mère de Kouame, Mazébu, vient lui prêter main forte avec son armée d’amazones. La situation est complètement inversée en faisait fuir l’armée ennemie.

Carmée de Mazébu est composée uniquement de femmes qui ont « un sein coupé pour ne pas les gêner quand elle tirait ? 0 est composée uniquement de femmes qui ont « un sein coupé pour ne pas les gêner quand elle tirait à l’arc ». L’armée est très importante car elle tire « un ciel de flèches », hyperbole qui nous ontre l’immensité de l’armée. De plus l’auteur nous montre la férocité de Mazébu : « tirs tendus et meurtrier », « embrochèrent d’innombrables guerriers », « Ils tombaient d’un coup, fauchés en pleine course ».

Tout cela nous donne l’impression d’assister à une véritable boucherie où l’armée de Sango Kerim est tirée comme du gibier. La venue de Mazébu permet à Kouame de se ravitailler. Renforts en faveur de Sango Kerim: Contrairement à Kouame, Sango Kerim reçoit des renforts à deux reprises. Le premier, lorsque que Danga trahit son frère pour rejoindre son ami d’enfance avec sa garde rapprochée composé de 5000 hommes. Le second lorsque Orios et les cendrés arrivent.

De la déception est ressentit lorsque Sango Kerim voit qu’ils ne sont qu’une centaine mais cette déception cède sa place a de la motivation. En effet celons les dires de Orios, « Chaque homme vaut 100 soldats », et sont des « bêtes sauvages » ayant traversé tellement dépreuves pour arriver jusque ici qu’ils n’ont plus rien à perdre. Dans la mort du roi Tsongor les deux armées, celle de Sango Kerim et Kouame, reçoivent à un moment donné des renforts. Néanmoins on remarque que les renforts sont suivis de retournements de situations qui font rebondir la guerre de

Massaba, la faisant repartir de plus belle. L’exemple de Mazébu ou d’Orios et ses cendrés appuien L’exemple de Mazébu ou d’Orios et ses cendrés appuient parfaitement cet argument. Carrivée de Mazébu est inespérée alors que Kouame et son armée se croient morts. Ce second souffle, renverse la situation en faveur de Kouame. Il en est de même pour Sango Kerim avec la venu d’Orios et les cendrés, qui est un passage très important de l’œuvre. 3) Les batailles ne grande partie du livre « la mort du roi Tsongor » décrit U et raconte des batailles.

Nous allons les citer et en analyser l’évolution de la violence ainsi que de la durée. Nous commencerons à partir de la partie Ill du livre, puisqu’il n’y aucune bataille avant. Partie III : p. 83 : Le premier face à face : « les deux armées s’observent » P89-91 : Cette bataille dura toute la journée (1 Oh) et il y eu beaucoup de morts. On remarque l’entêtement « Comme deux béliers… arpent de terre » La bataille s’arrête à la nuit tombée et la violence est peu exprlmee. p. 2 La première phrase est un aperçu de la guerre mais il n’y a pas encore de combats. Partie IV : 2èmejour de guerre La Violence est déjà plus explicitement exprimée « charge de bêtes », « choc », « terrible », « fureur », c’est un spectacle horrible. Les combats sanguinolents, on assiste à des actes de barbarie comme « ouvrir les flancs », « boire son sang » La bataille est à l’avantage de Sango Kerim, Kouame « fuit pour échapper a la mort » et des « clameur de joie » retentissent dans les rangs de Sango. p. 21-122: Durant ce passage c’est l’armée de Sango Kerim 4 0 joie » retentissent dans les rangs de Sango. p. 121-122: Durant ce passage c’est l’armée de Sango Kerim qui semble la plus présente, les soldats « engloutissaient la terre sous leurs pieds » et le nombre de soldats est décrit comme des « vagues d’assaillants », cette métaphore nous montre que l’armée e Sango Kerim est dévastatrice comme l’océan. Ici Sango Kerim comprend qu’il est allé trop loin, Danga par rage a mis le feu aux toits de Massaba, cette ville est pour lui aussi celle de son enfance.

Il décide qu’aucun combat ne sera mené tant que la ville ne sera pas rétablie. p. 133: C’est le début du siège, une « guerre indirecte » commence dont le but est d’affamer, de faire craquer l’armée de Kouame. II veut le « vaincre par violence mentale ». Partie V • p. 156: Cette bataille est censée être la dernière, elle se déroule le lendemain où Samilia s’offre à Kouame alors que celui-ci pense mourir bientôt. Le siège se termine, et Sango Kerim pense avoir gagné.

Ils « se ruèrent sur les remparts avec hargne » mais Mazébu arrive, c’est un second souffle pour Kouame, les deux armées sont aussi surprises l’une que l’autre. p. 169: Une nouvelle guerre a commencé depuis l’arrivée de Mazébu, l’engouement repart des deux cotés et la violence aussi, « la plaine de Massaba se gorgea de sang ». La gradation « on avançait, on reculait, on mourrait’ montre que des deux côtés les assauts sont vains : aucune armée ne progresse. évolution de la violence continue, comme nous montre la comparaison de la guerre de Massaba avec « la e la violence continue, comme nous montre la comparaison de la guerre de Massaba avec « la plus grande boucherie du continent ». La guerre dure longtemps, des mois et des années : « les hommes vieillissaient. Ils maigrissaient. « . une sorte de routine monstrueuse s’installe, la mort devient quelque chose de quotidien et de normal pour les guerriers. La monstruosité est présente dans chaque camp, on abandonne les guerriers au milieu de la plaine.

Tout le monde a arrêté de compter, la plaine n’est qu’un lieu où « les os blanchis par le temps s’effritaient, et d’autres guerriers venaient mourir », où « Les cadavres séchaient au soleil. Devenaient squelettes ». La guerre est encrée au plus profond des guerriers, qui en oublient la vie. p. 171: La guerre est longue est épuisante, il n’y a pas de victorieux. La fatigue des armées ressort dans ce passage, de « plus en plus crasseuses et épuisées », de « pauvre silhouettes décharnées’ , « Des corps secs et usés ‘ p. 75: La guerre continue toujours et aucune des armées n’arrive à se démarquer. Elles commencent à désespérer. Ce passage montre que la guerre a changé beaucoup de monde, en particulier les différents chefs de guerre. « Le vieux Barnak s’était courbé avec le temps », cet extrait nous ontre que Barnak a trop vécu avec la guerre, il est à bout. Arkalas, lui, devient complètement fou : « Il riait le soir, dans sa tante, aux fantômes qui l’entouraient » Sako a maintenant des « airs de vieil ermite ».

Ces trois chefs ont un point commun, ils n’en peuvent plus. Ils son 6 0 des « airs de vieil ermite ». Ces trois chefs ont un point commun, ils n’en peuvent plus. Ils sont las et cette lassitude se ressent aussi à travers les adjectifs qui qualifient les armées, « pauvre mêlée », « moins ingénieux », « moins de rage ». p. 176: Cette scène se déroule un matin: « Au matin » Les deux armées se font face dans la même position qu’au ébut du roman mais l’impression qu’elles donnent est pourtant nettement différente.

L’envie, la fierté et la puissance des deux armées ressenties au départ ont disparues « la guerre est la qui n’attend pas » et détruit tout. On observe un ras-le bol collectif, « deux foules harassées de fatigue qui se tiennent à leur lance ». Les soldats sont obligés de se tenir pour ne pas tomber. On note aussi une tentative de communication entre les deux armées, qui, évidemment ne fonctionnera pas : « Ce n’est pas possible. Cela doit cesser » p. 182: Ici, encore une fois une violence sans pareil ressort. Arkalas vient à bout de sa vengeance et mange Bandiagara.

A travers cette action c’est aussi l’absurdité de la guerre qui est mise en avant. Arkalas torture Bandiagara, une « torture horrible et inimaginable » et le dévore vivant. Les deux armées qui avaient essayé de communiquer un peu plus tôt dans le roman sont en fait « Incapables de se soustraire aux mâchoires de la guerre ». Partie VI : p. 197 : C’est l’affrontement final. « Alors une dernière fois… dans la plaine », « C’est la fin » Sango Kerim et Kouame savent tous deux qu’il n’y aura aucun survivant. Cest pour cela qu’ils