Travail Socio
Monique Pinçon Charlot et Michel Pinçon Monique Pinçon-Charlot et son mari Michel Pinçon sont tous deux des sociologues du fin XXe et début XIXe siècle. Leurs travaux ont porte majorltairement sur la sociologie urbaine. Issue de milieupopulaire. Cest depuis 1987 qu’ils travaillent ensemble sur des études anthropologiques de la haute société, la noblesse fortunée et la grande bourgeoisie. Ils s’intéressent tout particulièrement auxmodes de vie, aux niveaux de fortune et à la reproduction sociale dans ce monde de la bourgeoisie moderne Swipe to page
Leur ouvrage Dans le observation sur le te tel que Neuilly sur Se une description de la distinguer avec les cl ln or 4 Sni* to nextÇEge ule sur une lasse supérieure » s nous offrent alors bourgeoisie peut se Dans les beaux quartiers fut écrit en 1988, l’année de la réélection du président François Mitterand, premier président socialiste, face à Jacques Chirac. Pendant ces élections, on assiste aussi à l’effondrement du parti communiste français, et à la montée de Front National. Ces boulversements politiques ont peut etre poussé les sociologues M. Pinçon et M.
Pinçon-Charlot ? s’interesser aux clivages de la société et les différentes idéologies polotiques par milieu. Ce contexte peut aider à analyser le texte dans le sens où face ? la montée du Parti Sociali Socialiste, les classes bourgeoises ont certainement voulu défendre et affirmer leurs idéaux. Questions sur l’extrait de l’ouvrage : Dans les beaux quartiers 1) Je distingue quatre parties dans cet extrait. Tout d’abord, les auteurs étudient ce phénomène de ségrégation de la grande bourgeoisie dans les beaux quartiers de Paris en se emandant à quel point cette classe supérieure est ancrée dans ce milieu.
La question de l’idéologie est ensuite posée : est elle homogène ? puis M. Pinçon et M. Pinçon-Charlot relèvent les raisons de cette volonté de rester à Neuilly, génération après génération, encore une fois, y a t’il une réponse expliquant un réel phénomène de société ou non ? Mais les deux sociologues nuancent ces résultats par une quatrième partie exposant la « mobilité » de la grande bourgeoisie en dehors de leurs beaux quartiers, peut on réellement dire que la grande bourgeoisie sort de son luxe ?
Enfin, les auteurs nous résument cette ségrégation, en s’appuyant non pas sur la population bourgeoise, mais bien sur le milieu dans lequel elle vit. 2) L’espace utile mentionné page 41 signifierai un espace « acceptable » pour la grande bourgeoisie. Les auteurs parlent au début de la page 40 de « pérlmètre utile » en le caractérisant d’extrèmement étroit, dans le sens ou la grande bourgeoisie déménage très rarement, ou au moins dans un quartier voisin et socialement proche. Le terme d’espace utile renvoit ainsi à un espace propre à la grande bourgeoisie, ou e PAG » OF d