Syth Se Maleur Dans La Civilisation
Leila Haj -raieb Ben Amar – 82641300 MA2 en Gestion des ressources humaines Note de lecture no 1 : Malaise dans la civilisation université catholique de Louvain – LLSMS2072 or7 Sigmund Freud Dans son premier ch mécanismes psychiq sentiment de religios lyser les nement du Pour comprendre ces mécanismes, le premier raisonnement consiste à analyser la construction du Moi ; de l’enfance à l’âge adulte. Le Moi représente l’image que nous avons de nous- même.
Ensuite, une des interactions les plus déterminante dans notre psychique se trouve lors de la confrontation entre le « Moi » et le « Surmoi Le Surmoi étant la représentation es perceptions du monde extérieur, le « dehors Cette confrontation provoque chez l’humain des sentiments de souffrance puisque « le principe de plaisir » doit se plier à réalité extérieure. Ainsi, l’être humain rentre en contradiction avec ses aspirations les plus profondes.
Par le biais d’une analogie avec la découvertes des vestiges des villes romaines ; Freud tente de mettre en évidence l’aspect archéologue, l’homme en quête de compréhension de son psychique et de sa formation ne pourra y trouver que ses vestiges, que ce qu’il en reste. Pourtant dans notre vie psychique e passé est belle et bien présent et il est même le moteur et la source de son existence. Selon Freud, la religiosité prend son origine dans le besoin infantile de dépendance.
La dépendance à un père grandiose et tout puissant ; protecteur et porteur d’espoir et de justice. Il existe également des concordances entre l’art, la religion et la science. Ces trois champs de l’existence humaine permettraient d’atténuer ou d’endormir la douleur et la souffrance ne notre vie le temps d’un instant. Conscient que l’homme puisse user d’antidouleurs chimiques (les drogues), Freud affirme que ce ne ont pas les seuls et uniques moyens de surmonter la souffrance de notre vie. Lhomme peut également recourir à des mécanismes de d’auto- défense psychismes.
Faut-il pour autant comprendre la source de tous nos maux Le but ultime de notre animation est ce prlncipe de plaisir qui anime l’appareil psychique. Or ce principe ne peut être satisfait. Nos désirs sont confronté à la réalité ce qui fait naître en nous des frustrations, de l’angoisse et de la douleur. L’homme vit l’expérience de la souffrance à travers trois menaces : Celles de notre propre corps, celles du monde xtérieur et enfin celle du rapport avec les autres. Le principe de plaisir ne peut être assouvi à cause des pressions du monde extérieur.
Enfin, il existe donc méthodes différentes de protection contre la souffrance : l’isolement ou l’intoxication. Nombres d’auteurs ce sont intéresse à la définition du bonheur. pour Freud, une des dimen PAG » rif 7 Pour Freud, une des dimensions du bonheur vient de ce sentiment de satisfaction totale des instincts. Or la structure psychique est complexe et il est difficile d’agir sur elle. Le monde extérieur ne nous donnant pas la liberté d’exprimer nos instincts e qui créer des états de souffrance.
L’art comme jouissance imaginative nous procure un bonheur éphémère. Même si l’homme en quête de révolte tente de modifier les circonstances de sa vie ; il sera toujours confronté ? une réalité plus forte que lui. Freud s’interroge également sur le caractère utilitariste de la beauté. Puisque l’Art est l’expression même de la beauté, l’art tout comme la beauté ont-ils une utilité ? Bien que chacun doive chercher en lui-même le chemin vers le bonheur personnel, le point sur lequel tous les humains se rejoignent est basé sur sa capacité d’adaptation.
Le bonheur ne e ferait que si l’homme est capable d’adapter sa constitution psychique à son environnement et de pouvoir l’utiliser à ses fins de plaisirs. Enfin, Freud observe que les humains qui n’arrivent pas ? adapter leurs instincts aux réalités du milieu peuvent porter une souffrance psychique qui, par un mécanisme d’auto-défense, abouti à des maladies nerveuses. La religion agissant comme sédatif, permettrait d’atténuer les souffrances en rabaissant la valeur de la vie et en permettant ? l’individu de ne pas tomber dans des névroses psychiques.
S’interroger sur le sens de la vie, sur ces souffrances, sur les écanismes psychiques nous amène à considérer les raisons pour lesquelles il est si difficile aux hommes d’être heureux. Nous le disions auparavant, il ex PAGF3C,F7 lesquelles il est si difficile aux hommes d’être heureux. Nous le disions auparavant, il existe trois sources principales de la souffrance : la puissance de la nature et notre manque de contrôle sur elle, la caducité de notre propre corps et enfin les insuffisances de mesures à réguler les rapports entre les hommes. Mais nous avons pleinement conscience des pressions que représente le monde extérieur.
Pourtant nous pouvons nous ?tonnez de ne pas pouvoir avoir une incidence sur celles- ci puisque finalement nous sommes les fondateurs de ces institutions, de ces normes qui nous dominent. D’où résident une contradiction essentielle et une question qui a animé bon nombre de sociologues. La société nous forge tout comme nous sommes les acteurs principaux de cette société. Si la source de nos maux se trouve dans le développement civilisationnel ne pourrions-nous pas trouver le bonheur en retournant à l’état primitif ? Les sociétés archaiques et primitives étaient-elles pleinement heureuses ?
Bien que la société ne soit as forcement la sommes de toute ses composantes et que chaque expérience est unique, bien que notre civllisation n ai jamais été aussi loin en terme « d’évolution » ; nous le savons bien, notre société actuelle n’est pas une société pleinement heureuse. Ily a qu’à voir le nombre de suicides, le nombre de dépressions et de maladies psychologies, les consommations d’antidépresseur, d’intoxication et de drogues évoluant de façon exponentielle. Pour comprendre ce malaise généralisé, Freud s’interroge sur l’origine et l’avènement des civllisations.
Les civilisations que nous onnaissons ne sont finalement que la création de l’homme pour dompter ces instincts. civilisations que nous connaissons ne sont finalement que la création de l’homme pour dompter ces instincts. Mais si la société ne créer à l’homme des espaces pour que ces instincts puissent s’exprimer en toute liberté comment l’humain pourrait-il vive épanouie ? Bien que les motivations de créer une société qui puisse instaurer des idéaux, des valeurs, des modes d’organisation ou même qui puissent canaliser les désirs d’agressivité de l’homme ; puissent être noble, ce type de création est artificielle.
Réglementer les rapports entre les hommes et permettre à ceux-ci de bénéficier d’une sécurité a un prix. Celui de renonces à ces désirs profonds et aux « principes de plaisirs » qul anime notre psychique. Cette acculturation de l’homme représente tout ce travail sur les pulsions et instincts naturelle. Elle engendra également ce que Freud appel la « sublimation des instincts ». La civilisation n’est au final que le renoncement de nos pulsions instinctives. La famille primitive représente la base même de notre civilisation. pourtant, les rapports soclaux sont-ils le propre de l’homme ?
Chez les animaux, aussi instinctifs qu’ils puissent être, il existe également des phénomènes sociaux et certains s’organisent autours de structures hiérarchiques stratifiées. Les travaux de scientifiques en science de la nature ont démontrés bon nombre d’aspect que nous ne soupçonnions même pas chez d’autres familles d’êtres vivants. Les chercheurs ont découverts des signes de sociabilité dans leurs méthodes de communications et leurs actions quotidiennes. Les plantes communiquent par ondes et par voie chimiques. Certaines espèces ont créé des structures sociales extrêmement