Sensualit Et Fleurs V N Neuses Les Bijoux

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la première édition d du Malen 1857. Il pu de la sortie de sa pre ère é poèmes censurés po « Les bijoux »‘ situé dan Sensualit Et Fleurs V N Neuses Les Bijoux Premium By Manou2998 anpensl 12. 201 S 4 pages Sensualité et Fleurs vénéneuses. Le XIXème siècle est marqué par le mouvement littéraire du romantisme. Charles Baudelaire, issus de ce mouvement, est né à Paris en 1821. Il vit une jeunesse tumultueuse. Apres avoir obtenu son bac, il mène une vie de bohême.

C’est alors que c’est parents décident de l’embarquer sur un cargo pour les Indes. Baudelaire ne les atteindra jamais, s’étant arrêté à l’ile Bourbon (l’actuelle ile de la Réunion). Son tempérament mélancolique l’emmènera vers un nouveau mouvement littéraire : le spleen, qui évoque un état de profonde dépression. Baudelaire publie Swp to page intitulé les Fleurs é on en 1861. Lors voit six de ces ublique ». Le poème al » fait partie des poèmes censurés lors de la première édition du recueil.

Dans ce poème lyrique nous pouvons nous demander comment les bijoux que porte une femme peuvent emmener le poète de l’Idéal au Spleen. our répondre à cela nous verrons dans un premier temps la relation entre la femme et les bijoux puis nous verrons que ce poème est aussi un topos sur la danse de séduction. Pour finir nous montrerons le chemin que fait le poème de Vldéal au Spleen. Ce poème scénarise une action charnelle entre Baudelaire et un une femme.

Dans ce poème Baudelaire parle à la première personne du singulier « mon » (v1), « moi  » (v1 1), et il parle de cette femme à la troisième personne du singulier « elle » (v1 3), « sa » (v1 7), « son » (v20). Malgré la description de la scène de roximité physique qu’il vit avec cette femme « passaient devant mes yeux » (v1 9), « S’avançaient, plus câlins » (v21), fénonciation qu’il utilise donne une impression de distance entre lui et elle.

Cependant Baudelaire donne un surnom à cette femme « très- chère » (v1) et nous montre qu’ils se connaissent « connaissant mon cœur » (v1). Le poète nous fait une description de cette femme. II la compare à une personne qui est dominé « un tigre dompté » (v1 3). Dans sa description il se focalise essentiellement sur la partie de son bassln « ses reins » (v1 7). Baudelaire nous fait ussi une allégorie des bijoux, auxquels il donne une grande importance dans son poème jusqu’à nommer le poète comme eux. Le second quatrain leur est entièrement consacré.

Dans ce dernier le poète utilise le champ lexical de l’amour pour nous montrer les sentiments qu’il a en vers ces objets « me ravi en extase » (v7), « j’aime avec fureur » (v7). Les bijoux sont personnifiés « il jette en dansant son bruit’ (v5). On relèvera aussi des synesthésies « bijoux sonores » (v2). De plus les adjectifs « vifs » et « moqueur’ (v5) montrent quand plus d’être personnifiés ces bjets se rit de Baudelaire et donc aussi essayent de le charmer. On peut supposer ainsi que Baudelaire considère au PAG » OF d Baudelaire et donc aussi essayent de le charmer.

On peut supposer ainsi que Baudelaire considère aussi le corps de la femme comme un bijou. Il fait une accumulation des parties de son corps comme si il était captivé par celui-ci « son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins » (v1 7). Baudelaire semble nous décrire une danse de séduction « souriait d’aise » (v1 0), « D’un air vague et rêveur elle essayait des oses » (v14) entre une esclave noir et son maitre « l’air vainqueur qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves de Maures » (v4).

En effet le poète évoque tout au long du poème la notion de dominé-dominant. Le poète nous présente une femme dominé comme dominatrice. Le terme « candeur uni à la lubricité » (v15) nous donne de façon explicite les intentions de chaque personnage, ils veulent tout deux avoir des relations charnelles. Malgré l’ambiance de la scène charnelle on remarque que Baudelaire cherche avec cette femme un Idéal.

Il lui proclame un amour profond » (v1 1) et pourtant à la fin du poème on remarque qu’il la compare à des « anges du mal » ce qui laisse à supposer que le poète voit en la femme non plus un Idéal mais la Spleen. Tout au long du poème, Baudelalre joue beaucoup sur les lumières et leur signification. Du 1er quatrain au 7ème, la lumière est plutôt chaleureuse et montre que la scène se déroule dans un cadre de pureté. « Ce monde rayonnant de métal et de pierre » apporte à la scène un élément idéal avec « rayonnant », ce sentiment est directement exprimer par le poète