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essay B

Quel euro pour l’Europe ? l- L’euro une chance pour l’Europe A) Une monnaie pourquoi faire ? La monnaie a • Une fonction politique, c’est le symbole de la souveraineté politique d’un pays. Conséquence = il est difficile de faire accepter une monnaie à une ensemble de pays. Une fonction écono marché commun, uni mieux avoir la même l’emploi), valeur (la v monnaie) qu – or 8 e (dans le cadre d’un changes il vaut si la croissance donc é dans une Remarque = Le passage à l’euro c’est traduit par une augmentation de Pécart entre le prix ressentit et le prix réel.

Les entreprises profitent toujours un peu de la possibilité ‘augmenter les prix. Ily a eu des arrondis liés à l’euro. Le prix des matières 1er, énergétique et agricole ont augmenté et il a fallu modifier les prix ou on augmente la marge en diminuant la quantité vendue. • Une Fonction sociale = la monnaie est le pouvoir du pouvoir d’achat (il semble avoir diminué car on perçoit une augmentation de prix). Ne fait t’on pas de mauvaise achat par ce qu’on perçoit mal le prix réel (problème de conversion). onnaie unique à un avantage > supprime les coûts de transaction, simple d’utilisation mais on abandonne la souveraineté de sa monnaie. Pas de plus dans un état fédéral > vers un gouvernement européen une monnaie commune = permettait à chaque pays de garder une politique monétaire autonome, d’émettre plus ou moins de monnaie pour freiner une activité économique. Les euros aurait sentit pour les entreprises. 2- Banque centrale indépendante ou dépendante du pouvoir polltique • Les partisans de la monnaie unique sont favorables à une banque centrale indépendante.

La peur des libéraux c’est qu’on crée trop de monnaie et qui crée de l’inflation. En plus, pour convaincre l’Allemagne culturellement il fallait faire de la lutte ontre l’inflation une priorité (Allemagne > hyperinflation – nazisme / France > inflation = croissance). Conséquence il n’y a plus de politique monétaire, nationale, autonome. • une banque centrale dépendante (monnaie commune) = laisser de la souveraineté à l’Europe. L’idée d’une monnaie en Europe vient d’une instabilité monétaire internationale depuis les années 70.

En 1992, quand on annonce l’Euro le franc est attaqué, la lire italienne est attaqué, l’euro gênera la spéculation. C) Condition de réalisation et avantage attendu de l’Euro 1- Condition de réalisation PIB – L’endettement du PIB maximum Il fallait être depuis au moins 2 ans dans le système européen en continue (dans des changes fixes) – Il faut que le taux d’inflation du pays concerné soit au maximum supérieur d’un point à la moyenne des 5 états les plus performants (ayant le taux d’inflation le plus faible) > taux d’inflation proche des meilleurs – Les taux d’intérêt doit être proche des 5 meilleurs (taux des plus faible).

On supposer que si ces pays respectés ses conditions ils auraient un mode de développement proche des uns des autres. C’est ce qu’on appel la convergence des économies. En réalité, Eurostat établira des statistiques qui se révéleront ausse des années plus tard. L’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Grèce, ne serait pas rentré dans l’euro. La France y serait rentrée difficilement.

On ne pouvait avancer et supporter un échec, est donc on a été 11 à entrée. 2- Avantages Diminue l’incertitude (pas d’attaque spéculative) – Favorise l’échange, la croissance, l’emploi – On diminue les coûts de transaction On donne une place internationale à l’euro – Gestion commune des réserves ll- L’Europe en danger d’euro A) Triangle d’impossibilité de MUNDELL et zone monétaire optimal politique monétaire autonome (on n’en n’a pas) Exemple :

Si on avait une politlque monétaire autonome et qu’on relancer l’activité économique par une hausse de la masse monétaire (crédit) > moins de confiance dans la monnaie donc sortie des capitaux (liberté des mouvements de capitaux). La parité de la monnaie= dépréciation de l’euro (fixe) comme sortie des capitaux > sort des changes fixes. La politique monétaire européenne prend en compte cette impossibilité et donc elle a pour objectif une stabilité des prix et une politique monétaire restrictive.

L’Europe ne peut donc pas relancer l’économie par la monnaie. une monnaie unique dans différentes régions suppose l’existence ‘une zone monétaire optimale pour qu’en cas de déséquilibre on retrouve par des ajustements un équilibre. Il faut des capitaux des biens et une harmonisation fiscale et sociale. Si il n’y a pas harmonisation fiscale, certain pays vont pratiquer le dumping fiscal pour attirer les capitaux (Irlande > 12% impôt sur les sociétés).

Dans l’union économique et monétaire on a la libre circulation des biens, des capitaux mais pas d’harmonisation fiscale et sociale et il n’y a pas libre circulation des hommes pour plusieurs raisons : – Les diplômes n’étaient pas équivalents La langue (certain pays maitrise pas l’anglais) Les français sont sédentaires B) L’euro et la crise des subprims La crise des subprims se traduit dans une dernière étape par une crise appelée la crise des dettes souveraines (dettes des états).

Celle-ci par une crise appelée la crise des dettes souveraines (dettes des états). Celle-ci on des raisons conjoncturelles (crise des subprims) et structurelles. Les banques n’ayant plus de liquidité il y avait un risque de dépression (plus de crédit > plus de croissance), donc l’état a financé les banques, certain secteur comme l’automobile, mais pour cela il c’est endetté encore plus.

Les banques ayant perdu a confiance des investisseurs il ne restait que les états pour les financer et on imaginait mal que les états soit en faillite, qu’ils ne puissent pas rembourser. Pour qu’un état puisse rembourser il faut qu’il fasse de la croissance or la crossance en Europe est fable, est mole et la crise des dettes souveraines va être [‘occasion pour les investisseurs à travers les agences de notation de regarder de plus près l’économie européenne.

Les constats : – il y a des déséquilibre commerciaux important entres les pays (excédent allemand/ déficit français) – Ily a des taux de croissance différent entres les pays. Tout les pays sont endettés Ces 3 constats s’expliquent par des stratégies différentes selon les pays : Pays du Nord (Allemagne, hollande, Autriche) + Irlande = stratégie > baisse des salaires, baisse des avantages sociaux > compétitivité entre ces pays (excédent 200 Milliards d’euro). Pays du Sud (PIGS) > endettement (déficit 180 milliards d’euro). Comme 2/3 du commerce européen est intra européen, cela signifie que les déficits du sud s’expliquent par les excédents du nord. La cr intra européen, cela signifie que les déficits du sud s’expliquent par les excédents du nord. La croissance des pays du nord supposer l’endettement du Sud. Cette asymétrie des situations est contraire à ridée de convergence voulue au départ et l’union économique et monétaire n’est pas une zone monétaire optimale.

Il n’y a pas d’équilibre qui s’instaure et donc les plus forts sont encore plus fort et inversement. En France les salaires devrait baisser parce qu’il y a du chômage et en Allemagne il devrait avoir du travail parce qu’il y a de la croissance. En France il devrait avoir de la croissance car il y a du travail. Les agences de notation ont intégré le fait que une situation ? moitié satisfaisante pour l’union économique et monétaire était en réalité beaucoup plus diverses et que certain pays aurait du mal à rembourser leurs dettes.

Cette situation est d’autant plus mal perçue qu’il n’y a pas de politique commune pour aider ceux qui sont plus en difficulté. Il n’y a pas de gouvernement économique. Le temps des marchés financiers et celui du cour terme. Le temps des politiques est celui du moyen terme et le manque de réactivité de l’union et de la banque centrale européenne, les différents entre l’Allemagne et la France accentue le problème de confiance des agences et des nvestisseurs.

C) La stratégie de l’union économique et monétaire A cours terme : Politique monétaire autonome = baisser les taux d’intérêt pour que les entreprlses puissent emprunter pas chère Politique budgétaire = il n’y en a d’intérêt pour que les entreprises puissent emprunter pas chère Politique budgétaire = il n’y en a pas au niveau européen A moyen terme : Politique monétaire autonome = il n’y en a plus Politique budgétaire = désendettement A partir de 2013, l’union européenne va se doter d’un mécanisme européen de stabilisation financière qui poursuivra l’austérité udgétaire commencé qui contrôlera davantage les budgets nationaux et qui conditionnera son aide financière au respect de politique budgétaire structurelle d’équilibre. Ill-Quelle sortie de crise ? Ily a 3 scénarios possibles • • Un gris Poursuite de l’austérité (du désendettement) sans réel croissance économque.

Au moins « IO ans de cure de patates » = polltique en Hollande (année 90), et sortie progressive de la crise, ou sa entraine une récession forte. • Un noir L’éclatement de l’union économique et monétaire. Les pays les plus endetté reviennent à leur monnaie. Les marchés financiers perdent confiance dans l’union. Les pays laissent déprécier leur monnaie, finflation augmente fortement donc la dette se déprécie. La croissance économique chute fortement car la monnaie est déprécié (produits importés coutent plus cher), l’inflation diminue le pouvoir d’achat et ces pays perdent les aides structurelles accordés par l’Union ou ar l’Europe. Le risque c’est la tentation protectionnist marchés financiers est importante.

Pour des pays comme l’Allemagne, l’éclatement aurait peu d’impact monétaire, mais économiquement elle perdrait des clients • un rose Pour une nouvelle économie monétaire européenne elle est d’inspiration Keynésienne, écolo, sociale colbertiste (le model français des 30 glorieuses a été qualifié de sociale (sécurité sociale) colbertiste (politique industrielle et état entrepreneur) = Henri STERDYNIAK. Ilya 3 moyens : – Planification fédératrice (indicative) = revaloriser la Politique Agricole Commune (pour favoriser l’environnement). Passer d’une agriculture intensive à une agriculture de qualité. Réglementer la finance (spécialisé les banques).

Avoir une politique industrielle et des grands projets financés par les euro-bonds souscris auprès es ménages. Évolution vers une Europe sociale. – Diminution des déséquilibres commerciaux entres les pays par une polltlque expansionniste au Nord (hausse des salaires, et dépenses sociales), une politique de utte contre l’évasion fiscal et de la corruption au Sud et une politique de réindustrialisassions au Sud. – Passer d’une monnaie unique à une monnaie commune objectif est de redonner une autonomie au pays qui sont contraint sur le plan budgétaire puisqu’ils doivent se désendettés et il pourrait ainsi dévaluer la monnaie pour retrouver de la compétitivité. Les monnaies nationales ne seraient pas convertibles en euro.