Projet Communication
Le Budget du Projet l) Les principes Les budgets sont des outils de prévision et d’aide au pilotage, ils récapitulent l’ensemble des dépenses et des recette prévisionnelles du projet. Les coûts se décomposent en deux postes : Les achats – Les heures de travail L’estimation des achats ne pose pas de problèmes on les liste et on les évalue. L’estimation des heures de travail est plus complexe, surtout quand les personnes qui s’en occupent ne passe q une agence de com heures des collabora honoraires de l’agenc Dans un service de c or 14 rs ps de travail.
Dans r déterminer les évaluer le coût oraire de chaque collaborateurs dans un service de com et le temps passé à imputer au projet. n La préparation du projet doit passer par un budget prévisionnel et on prévoit en général 5 ? en plus pour les dépenses supplémentaires non prévues qui sont inévitables. Il) a méthode Traditionnellement, on établie des budgets intermédiaires et un budget global du projet.
A) Budgets intermédiaires Ils récapitulent les dépenses afférentes aux différentes opération du projet et permettent l’évaluation indépendante de chaque opération. projet de communication nécessitent une évaluation de leurs oûts et de leur rentabilité. l) Le coût de revient ou coût complet A/ Définitions – Les charges directes peuvent être affectées directement (sans calculs préalable) au coût d’un produit ou d’une action. Les charges indirectes sont communes à plusieurs coûts et ne peuvent être affectées directement. Les centres d’activité ou de coût : service ou la fonction de l’entreprise dans laquelle on peut répartir les charges indirectes. – Unite d’oeuvre : unité qui permet de mesurer l’activité d’un centre de coût et de répartir les charges indirectes. Coût complet : charges directes + charges indirectes
Marge sur coût complet : Prix de vente – coût complet Marge sur coût direct : Prix de vente – coût direct B/ Calcul du coût de revient 1) Coût direct Charge Montant Salle du château 600 € 12 en charges fixes et charges variables 2ème étape : Etablir sur un compte e résultat différentiel 3ème étape : Calculer le seuil de rentabilité Repartition des charges Charges variables • Charges Prix d’achat des voyages 200 x 600 Charges fixes Charges Le personnel Frais divers Location stand Supports visuels Tracts jeux Encart Total 25000 1 20 OOO€ 2ème étape Compte de résultat différentiel Intitulés CA Montants
Pourcentages 200×200= 240 000 Charges Variables 120 000 et préciser les documents ou travaux intermédiaires. Le retroplanning est étroitement lié à l’organisation du projet puisqu’il définit les actions à mener et leurs délais. Il) Conditions de réussite d’un bon retroplanning – Fixer la date butoir ultime – Faire la liste des tâches sans en oublier – Partir de l’objectif le plus général et le décomposer en sous- objectifs Obtenir un découpage des tâches le plus fin possible – Tenir compte des contraintes (délais fournisseurs) – Prévoir des temps suffisants – prendre la même unité de temps pour toute les tâches.
Faire la liste par ordre chronologique Ill) Quelques conseils Il faut être attentif aux ressources (financières, humaines et de temps) dont on dispose. Il faut vérifier que pour chaque tâche les antécédents (prédécesseurs, antériorités) ont étés prises en compte.
Si l’on veut faire visualiser l’ordonnancement, le GANTT ou le PERT sont supérieurs au retroplanning Les prestataires et leurs moyens de production Les prestataire de sen,’ices en communication constituent un univers diversifié que Hon doit évaluer du point de vue de la confiance, de la compétitivité, et de ‘innovation. Principes clés : connaitre pour mieux choisir Un prestataire est quelqu’ e des compétences et des signalétique Imprimeurs (off-set, numérique, sur textes, adhésifs, bâches, sérigraphie… – Spécialistes de l’audiovisuel : Edition DVD, Montage vidéo, postsynchronisation Traiteurs, fleuristes, concepteurs de stands, fabricants de supports d’identification (badge) concepteurs de supports d’exposition (totem, kakemonos, chevalets) – Centre d’appel de télémarketing, spécialistes de l’e-mailing, routeurs Si l’on choisi de négocier avec une entreprise ayant des activités iverses, on risque que sa propre activité deviennent dépendante du prestataire. Il vaut mieux multiplier les prestataires pour avoir une meilleure qualité de service et repartir les risques, mais la gestion reste plus complexe.
Il) Éléments et analyse A. Ne pas préjuger de sa démarche L’évolution rapide des techniques oblige à se remettre en cause en permanence. Exemple : pour un e-mailing : faut-il acheter 1 fichier préconçu ? Le faire réaliser avec des critères plus appropriés, acheter un logiciel qui permet d’extraire les adresses. B. Comprendre le fonctionnement des annuaires rofessionnels Les annuaires professionnels ne garantissent pas la qualité du prestataire puisque c’est l’entreprise elle-même qui décide d’être référencée, c’est pourquoi il faut avoir son propre fichier de prestataire et le tenir à jour. C.
Maitriser son projet et restataires précision du rôle des prestataires. 1) Le photographe : il doit avoir un brief sur le projet et on doit évoquer les questions de format, de tirage, de droits et des retouches éventuelles. De plus, le devis doit mentionner les délais de réalisation. 2) Le graphiste : à partir du brief ou d’une prémaquette, il vous ropose une mise ne image du projet, son devis doit énumerer les élément à réaliser en tenant compte des honoraires de création (recherches, travaux et freins techniques), des droits d’auteur. Le contrat engage le graphiste à partager sa création, et l’agence, à le rémunérer.
Le devis peut faire office de bon de commande. Sil est signé par les deux partis. Et comporte un calendrier. L’objet de la commande doit préciser : la liste des supports prévus, le nombre d’exemplaire, et la durée d’utilisation. 3) L’hébergeur sur internet : Hébergement dédié, recréé à un seul client qui est une prestation aut de gamme. Hébergement mutualisé : partagé entre plusieurs clients. Il faut tenir compte de la quantité de trafic autorisé de 30 go/mois à 600go/mois. Le volume de stockage (souvent 200 G. O pour une association et beaucoup plus pour une entreprise) La fourniture d’un nom de domaine.
La présence d’une base de donnée MySQL en charge du langage PHP. Présence de statistiques pour analyser la navigation des utllisateurs. L’analyse des signes et des codes La généralisation des outils informati ues et la PAO a mis à la portée de tous des signes PAGF Les signes graphiques A] le caractère C’est un ensemble d’élément constitué de points, de traits, de formes géométriques. 1) Historique Le caractère typographique du signe graphique manuscrit • calligraphie Typographie : L’art d’assembler des caractères métalliques mobiles et réutilisables pour la production de mots et de textes. ) Evolution La machine à lynotypes est inventée en 1881 : machine avec un clavier permettant de composer une ligne complète de caractères. Entre 1945 et 1970, la photographie permet la photocomposition disparition des caractères typographiques physiques) 3) Anatomie du caractère typographique B/ Classification des typographies pour faire le choix, deux critères sont à prendre en comptes, la visibilité et l’esthétique. De plus, il faut étudier le concept où s’inscrit le document.
C/ La typographie Le développement du média presse et l’apparition de la publicité ont obligé les typographes à se démarquer en étant très visibles. Cest pourquoi la taille des corps et les graisses des caractères ont été exagérés, notamment dans les titrages. Les artistes font des expérimentations remarquables. D/ Les lignes Les lignes sont des éléments graphiques qui ont des largeurs et épaisseurs variables. Elles sont productrices de sensation s. Leur charpe PAGF 7 OF A. Le pictogrammeD Cest une représentation graphique schématique dont la simplification permet la compréhension universelle du message.
Le meilleur exemple est celui des panneaux de circulations du code de la route. B. L’icon une icône dans une image numérique est une illustration ou image symbolisant un programme ou un type de document dont elle est le raccourcis simple et compréhensible, elle exprime aussi des émotions C. Schéma et graphique Un schéma est un objet graphique utilisé pour représenter ? l’aide d’un dessin, les parties ssentielles de un ensemble. Il peut s’agir d’un plan. D’un organigramme d’une société, étape dans la fabrication d’un objet. Le schéma permet de faire comprendre une information en peu de place.
Le graphique présente des statistiques, des pourcentages, soit un diagramme circulaire, soit un histogramme, il donne rapidement une information claire et précise. D. La photographie Cest une technique permettant de créer une image objective ? partir de la lumière. En 1839, Daguere invente un procédé capable de fixer durablement une image du monde réel sur une plaque d’argent polie comme un miroir. Cest le daguerréotype. Cela améliore le procédé au point par Niepe. L’invention du négatif souple en 1884 a beaucoup allégé le procédé.
Dans les années 50, l’introduction des petits appareils dans l’espace familiale, consacrent la photo comme le procédé d’image le plus des activités a durée limitée : quelques semaines ou mois ou bien un événement. Pour que ces actions soient efficaces, elles doivent reposer sur un dispositif permanent composé de moyens stables : dénomination, identité visuelle, site internet… l) La dénomination La dénomination est le nom que l’on donne à l’objet de la communication, c’est le point de départ e toute stratégie. Donner un nom, c’est déjà communiquer et induire une image.
A/ La typologie de dénomination B/ Qualités Suggérer les traits essentiels d’une marque, son image et son positionnement Être original pour éviter la confusion avec 1 autre produit Être disponible Pouvoir être protéger C/ La marque une marque est constituée de l’ensemble des signes distinctifs d’un produit : son nom accompagné d’élément graphique, le logo, ou sonore, le jingle. 1/ Les fonctions de la marque Une marque a 3 fonctions principales : – La fonction commerciale = identifier, différencier, construire une mage, communiquer, fidéliser, favoriser le référencement de nouveaux produits. La fonction économique : une marque connue représente un patrimoine pour l’entreprise, elle peut-être vendue ou donnée en location (licence) – La fonction juridique : une mar ue déposée bénéficie d’une protection contre la cont Marque globale : 1 marque pour tous les produits de l’entreprise – Une marque pour chaque gamme de produits Ex : Procter et Gamble exploite Ariel, Pampers, Mr Propre – plusieurs marques peuvent figurer sur le mame produit • Marque ombrelle (Danone – Danette) et marque prenom Il) Les moyens visuels et sensoriels
A] La base : l’identité C’est la représentation graphique du nom de la marque, logo, couleur, typographie. L’ensemble des règles d’application de l’identité visuelle est consigné dans la charte graphique. Et devient une contrainte pour l’ensemble des moyens de communication. B/ Le design Le design industrielle est une conception de produit en tenant compte d’impératif esthétiques, fonctionnels, et économiques, l’objectif est la meilleure adéquation au besoin du consommateur. xemple : Apple qui doit son succès à son design. Les autres domaines du design – Design graphique : identité visuelle et packaging Design d’environnement : aménagement de l’espace Webdesign : apparence et l’ergonomie des sites internet C/ e packaging Le packaging, c’est l’emballage ou le conditionnement des produits.
Il a 2 fonctions : – une fonction d’information et de vecteur d’émotion – une fonction de protection et d’information De plus, sur le lieu de vente, il interpelle le consommateur et provoque l’acte d’achat. Au domicile, il crée un lien entre le consommateur et le produit. Pour cela, il doit avoir plusieurs caractéristiques: – Une forme remarquable – Un rappel de l’identité vi : ex arfums nforce le lien avec la