Philo

essay B

Marigona Lubishtani Catarina Carvalho 14. 01. 15 De la liberté de pensée et de discussion (pp. 48-61) John Stuart Mill Hypothèsel : « l’opinion reçue peut être fausse, et une autre, du même coup, vraie. » (p. 49) Hypothèse2 : « Si l’opinion reçue est vraie, c’est que la lutte entre celle-ci et l’erreur opposée est essentielle à une perception claire et à un profond senti Hypothèse3 : L’opini mais ne la contient p 9) . e part de la vérité, Sni* to vieu Argument : Les opinions populaires qui ne sont pas influencées ar les sens, ne détiennent qu’une partie de la vérité tandis que les opinions hérétiques sont exclues et négligées et pensent détenir la vérité entière. (p. 49) Prolongement : Le cas sur les opinions hérétiques est jusqu’ici le plus courant car l’esprit humain a généralement pris partie et n’est donc pas vraiment ouvert. p. 49) Conséquence : Une partie de la vérité disparaît tandis que l’autre est prise en compte. Le progrès ou l’amélioration consiste ? remplacer « une vérité partielle et incomplète par une autre plus adéquate aux besoins du moment. p. 49) doigt sur une vérité », qui sans cette dernière, aurait été négligée, ne sera pas jugé tant qu’elle ne néglige pas à son tour une vérité déjà reconnue. (p. 0) Prolongement : Rousseau réussit à pousser une partie de la population à s’ouvrir plus afin de se rapprocher de la vérité, sans l’atteindre, en apportant y « des ingrédients supplémentaires (p. 50) Objection : « Mais certains des principes généralement admis, spécialement sur les sujets les plus nobles et les plus vitaux, sont davantage que des demi-vérités. La morale chrétienne, ar exemple, contient toute la vérité sur ce sujet et si quelqu’un enseigne une morale différente, il est complètement dans l’erreur. » (p. 2) Réponse à l’objection : Si par morale chrétienne on entend Nouveau Testament, il n’a sûrement pas voulu présenter cette morale comme « une doctrine morale complète L’Evangile fait toujours référence à une morale déjà existante (Grecs ou Romains) et limite ses enseignements où cette morale doit être corrigée ou remplacée. (pp. 52-53) Thèse : La morale chrétienne est incomplète et partial sur de nombreux points importants. Elle est d’ailleurs plus négative que positive, et rend les gens plus passifs qu’actifs.

Elle n’est pas en quête énergique du bien mais cherche à s’abstenir du mal. (pp. 53-54) Argument : Elle utilise la crainte de l’enfer ainsi que l’espoir du ciel pour inclter l’homme à avoir une VIe vertueuse. Elle rend PAG » OF d crainte de l’enfer ainsi que l’espoir du ciel pour inciter l’homme ? avoir une vie vertueuse. Elle rend la morale humaine plus égoïste, retirant ainsi à chaque homme le sens du devoir envers les intérêts des autres. Cette doctrine d’obéissance passive doit être espectée par les croyants, lesquels ne doivent pas s’opposer ? un gouvernement injuste. p. 54) Conclusion : Cest une erreur de vouloir trouver dans la doctrine chrétienne cette règle de conduite que l’auteur ne voulait pas détailler entièrement, mais « simplement sanctionner et mettre en vigueur (pp. 55-56) Thèse : Il faut s’opposer à l’idée qu’une partie de la vérité soit une vérité toute entière. (p. 56) Argument : Lorsque des hommes « de faible stature intellectuelle » prennent une vérité comme vérité absolue, ils l’acceptent aussi tôt, la partage et agissent selon elle. p. 7) Prolongement : Il faut redouter la censure d’une partie de la vérité et non pas les débats violents entre chaque détenteur d’une partie de cette vérité. Tant que les hommes sont contraints d’écouter les 2 côtés, il y a encore de l’espoir. (p. 57) Résumé : Pourquoi La liberté de pensée et d’expression est-elle nécessaire pour le bien être intellectuelle ? Ily a 4 raisons : 1) Une opinion qu’on essayerait de censurer pourrait être vraie, le nier, c’est se croire infaillible. 2) Si l’opinion censurée est fausse, elle peut avoir une part de vérité. Ce n’est qu