Parallèle avec l’allégorie de la Caverne de Platon
élevée à sa manière, informations sont sp ale passé plusieurs gran Wolfgang : son raviss pour en devenir l’uni Parallèle avec l’allégorie de la Caverne de Platon Premium By camilleja 17, 2014 9 pages L’allégorie de la Caverne de Platon En mars 1998, la jeune Natascha Kampusch, âgée de dix ans, est enlevée à la sortie de l’école par Wolfgang Priklopil. Elle vivra durant huit ans dans un cave secrète, aménagée spécialement pour elle par son geôlier. Durant ces huit années, elle partagera sa vie avec cet homme. Rendue esclave, sa jeunesse sera ythmée par les tâches ménagères, imposées par son ravisseur.
Pendant huit ans, son monde a été façonné par Wolfgang ; il l’a Swp to page org D lait : livres, films, lus, Natascha a emme aux côtés de a vie de Natascha n quelque sorte, vécu dans une caverne, comparable à celle de l’allégorie de Platon. Le marionnettiste, Wolfgang Priklopil, mettait en scène « des ustensiles de toutes sortes » pour sa prisonnière, Natascha, qui a finalement réussi à sortir de cette Caverne pour retrouver le monde extérieur. Nous allons donc tenter, au cours de ce travail, de mettre en dialogue le cas de Natascha Kampusch avec ‘allégorie de la Caverne.
Premièrement, comme mentionné plus haut, le « marionnettiste » est facilement reconnaissable reconnaissable: c’est Wolfgang Priklopil. Cet homme, âgé de 35 ans lorsqu’il enlève Natascha, avait eu une jeunesse sans histoire ; homme poli et solitaire, il avait vécu seul pour la première fois à l’âge de 31 ans. Le marionnettiste manipule la prisonnière, Natascha, enfermée dans la « caverne », le local souterrain secret, situé dans la maison du ravisseur, dans la banlieue de Vienne. La pièce dans laquelle a vécu Natascha était dépourvue de lumière t comprenait le strict minimum à sa supu’ie, soit un lit, un lavabo et des toilettes.
Son quotidien se limitait à peu de choses ; elle se levait, déjeunait, s’adonnait aux tâches ménagères et, parfois, discutait avec son ravisseur. Ce dernier ne travaillait que peu ; il exerçait ainsi une surveillance presque permanente sur sa captive. Néanmoins, Wolfgang l’autorisa, après plusieurs années et sous sa surveillance, à accéder au reste de la maison. En sachant à quoi se résumait le mode de vie de la victime, nous comprenons à présent comment elle a pu évoluer dans cet environnement. En effet, un jeune enfant s’interroge sur tout ce qui l’interpelle.
Il est très observateur et parvient parfois à relever un détail qui aurait échappé à un adulte. Il serait correct de dire que l’enfant est en quête de connaissances. Autrement dit, il cherche à savoir, à découvrir la vérité des choses. De plus, il est extrêmement sens savoir, à découvrir la vérité des choses. De plus, il est extrêmement sensible à renvironnement dans lequel il évolue ; c’est-à-dire que ce dernier s’adaptera à l’environnement dans laquelle il grandit,’ ce sera son point de repère.
Son caractère et a manière d’être seront conditionnés par la manière dont il a évolué. L’enfant est également sensible à ce qu’on lui met entre les mains. Le ravisseur avait acheté des livres, des journaux et faisait écouter à Natascha des émissions de radio ; ceci dans un but purement éducatif selon lui ; il montrait à la petite fille ce qu’il avait envie qu’elle voie. Il souhaitait la façonner avec ses propres idéaux pour la garder ainsi ignorante (du monde extérieure et de la vie normale) sans qu’elle en soit consciente.
Bien que ‘éducation ait pour vertu de faire sortir les gens de l’ignorance, lorsque elle est ontrôlée par autrui, ce dernier peut la modeler à sa guise, afin de conditionner nos idéaux. En d’autre terme, le marionnettiste partage uniquement ce qu’il veut ; la liberté intellectuelle est donc restreinte. Dans le cas de Natascha Kampusch, on comprend qu’en restant tant d’années de sa jeunesse aux côtés de son ravisseur, Natascha s’est habituée à vivre ainsi et en est même venue ? oublier son ancien mode de vie, celui qu’elle adoptait avant d’être kidnappée.
En ne voyant qu’une seule personne pendant huit ans, en se t adoptait avant d’être kidnappée. En ne voyant qu’une seule ersonne pendant huit ans, en se trouvant toujours au même endroit et en s’adonnant aux mêmes occupations quotidiennement, Natascha a été prlse dans une sorte de routine qui l’a menée à voir uniquement cette situation comme étant la réalité du monde ; tout comme les prisonniers de la Caverne, qui ne voyaient que les ombres des objets projetées contre le mur.
Pour ces prisonniers ces ombres leur semblaient bien plus concrètes et vraies que les vases eux-mêmes, comme ils n’avaient jamais connu autres choses. C’est pourquoi, à sa sortie de la cave(le mot cave et le mot averne ont la même racine : ils viennent tous deux du mot latin Cavita qui signifie « lieu creusé s), Natascha n’arrivait pas ? s’habituer à une vie normale.
Elle avait vécu tant d’années dans cette cave qu’elle s’était accoutumée au lieu, au mode de vie, à ses occupations, et même à son ravisseur, comme pour les prisonniers de la Caverne qui eux n’arrivaient pas à concevoir que les vases puissent être plus réelle que les ombres. L’inconnu provoque le rejet, tant pour les prisonniers que pour Natascha. Elle tendait même à prendre cette expérience de manière positive n prétendant que ça l’avait sol-disant écartée des mauvais chemins de la vie.
Si l’on suit son raisonnement, son agresseur l’aurait ainsi préservée de tous les malheurs de la vie. Tout son raisonnement, son agresseur l’aurait ainsi préservée de tous les malheurs de la vie. Tout comme nous pouvons le voir dans le mythe de la Caverne, les prisonniers sont en quelques sortes protégés dans cette caverne : lorsque le prisonnier delivré revient dans la caverne, il a « les yeux en piteux états h, car ce n’est pas « la peine de tenter l’ascension Wolfgang Priklopil n’hésitait pourtant pas à affirmer sa upériorité ; il était le maître et elle devait lui obéir.
Lorsque Natascha refusait d’accomplir la volonté de son agresseur, celui- ci avait Ihabitude de la battre dans un premier temps, puis de la priver de nourriture pendant une durée conséquente, de sorte qu’elle se rende compte de la gravlté de son acte. Cet evénement démontre que malgré la fonction bienfaisante de l’agresseur tel que nous le décrit Natascha Kampusch, Wolfgang Priklopil demeure une personne psychologiquement malveillante et dangereuse. Malgré cette routine, Natascha sait qu’elle est prisonnière, mais gnorer ça situation est plus facile que de faire face à rextérieur.
Une dualité s’installe : se traîner hors de sa caverne serait terriblement violent, douloureux, et la feralt souffrir, alors que rester dans la caverne le serait beaucoup moins, car elle n’aurait pas à affronter la réalité et elle n’aurait pas à devenir un être libre et affronter sa liberté, tout comme le prisonnier ébl et elle n’aurait pas à devenir un être libre et affronter sa liberté, tout comme le prisonnier ébloui par la lumière du soleil. Ce processus a, pour Natascha, été long.
Très jeune, lors de son nlèvement, elle n’a que peu de repère et ne se rend que partiellement compte de sa situation : il lui faudra huit ans pour finalement faire le pas et s’échapper lors d’un moment d’inattention de Wolfgang. Une fois sortie de sa caverne, une nouvelle étape commence . sa liberté paraît moins réelle que sa captivité. Huit annees, ce qui équivaut à une grande partie de sa jeunesse, ont été passées enfermée chez Wolfgang, uniquement avec lui, cette situation lui est plus familière, plus connue que la liberté qui lui est totalement étrangère.
De plus, après sa fuite, son geôlier se donne la mort : cette ersonne était la seule qu’elle connaissait réellement ; elle fut donc affectée par ce décès, car cette homme faisait malgré tout partie de sa vie. Ce lien affectif qui lie la victime à son agresseur, cette sorte de sympathie que la victime ressent à l’égard de son geôlier, se nomme le syndrome de Stockholm. Comme nous la appris sur wikipédia, ce phénomène apparaît lorsqu’une confiance s’installe entre les deux partis. Il n’est posslble que si la victime ignore [‘existence du syndrome.
En l’occurrence, Natascha n’en avait jamais entendu parler étant donné qu’elle avait uniquement ccès l’occurrence, Natascha n’en avait jamais entendu parler étant donné qu’elle avait uniquement accès à ce que son agresseur lui offrait. De plus, l’agresseur ne doit pas ressentir de sentiments de haine à l’égard de la victime. par conséquent, la victime est redevable à son agresseur, étant donné que ce dernier lui laisse la vie sauve. Là se crée l’attachement. Sortir de sa prison, était pour Natascha synonyme de quitter la seule personne qu’elle connaissait et qu’elle aimait.
Cétait donc une étape difficile, que de sortir de cette caverne : tous repères erdus, son nouveau monde lui est totalement inconnu, autant que sa famille, ses anciens amis, la ville et sa maison. A 18 ans, Natascha voit pour la premiere fos le monde extérieur, avec des yeux d’adultes. Ce monde lui parait fictif, comme pour le prisonnier du mythe; les objets lui paraissent moins réelles que les ombres, elle est éblouie par le soleil. Natascha se trouve face à l’inconnu, elle est effrayée étant donné que, comme mentionné précédemment, elle n’a plus aucun repère. Autrement dit, sa routine est brisée.
Au fil des mois, elle commence à s’habituer à sa nouvelle vie, râce à des thérapies et des discussions. Elle comprend que son emprisonnement était une mise en scène et que sa nouvelle vie est plus réelle. La conversion se réalise lentement. De plus, elle remarque peu à peu que son enfermement prolo La conversion se réalise lentement. De plus, elle remarque peu ? peu que son enfermement prolongé lui a fait perdre la capacité ? nouer des relations avec autrui, ce qui n’a rien d’étonnant lorsque l’on sait que cette dernière n’a été en contact avec personne durant huit longues années.
Par conséquent, sa post-captivité est ompliquée, car la victime doit reconstruire complètement son monde et, par-dessus tout, sa propre personnalité. Elle s’était en effet perdue dans des chemins aveugles et doit ? présent se retrouver avec elle-même et découvrir qui elle est vraiment, soit découvrir une nouvelle réalité une fois sortie de la caverne. Natascha porte les séquelles de cette séquestration. Elle poursult sa vie, à jamais changée, de la manière la plus same et normale possible. La liberté a pour elle une importance capitale, elle ne l’apprécie que plus. our elle, rien ne serait pire que de retourner dans la caverne. La peur constante d’une nouvelle séquestration est un lourd fardeau qu’elle porte, incomparable ? la souffrance qu’elle éprouverait, si elle devait être séquestrée ? nouveau. Les années perdues sont également un rappel constant de ce traumatisme ; elle ne veut que rattraper le temps perdu en chérissant chaque moment de sa liberté. En conclusion, il est tout à fait extraordinaire de constater que l’allégorie de Platon peut se transposer à des situations actu extraordinaire de constater que rallégorie de Platon peut se transposer à des situations actuels.
Peu importe l’époque, peu mporte le lieu dans lequel se déroule l’événement, il est plus qu’évident qu’il y aura toujours des gens mal intentionné qui voudront conditionner la vie d’autrui à leur manière. La situation que nous avons choisi est une séquestration ; il y a beaucoup d’autre exemples moins représentatif de l’allégorie de la Caverne qui aboutissent au même résultat d’aliénation et de perte de contact avec la réalité ; comme, par exemple, l’utilisation des médias. En ayant étudié ce cas précisément, l’idée selon laquelle la philosophie et l’éducation peuvent avolr une vertu prophylactlque essort clairement.
Cette dernière nous met en garde contre les dangers auxquels peut être confronté l’être humain tout au long de sa vie. Ainsi, ce que Platon veut nous montrer au travers de son allégorie est que le philosophe, en sortant l’ignorant de la caverne, vise à la libération de l’individu. SOURCES http://tempsreel. nouvelobs. com/societe/20130708. OBS8545 /affaire-kampusch-les-terreurs-secretes-de-natascha. html http://fr. wikipedia. org/wiki/Natascha_Kampusch http://users. s http://tvshow. ec/episode/scandal_s2_e2kynet. be /dosscrim/wolgangpriklopil/index. html