Le mythe de la caverne

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Alors se déroule une période durant laquelle il souffre de cette ouvelle lumière bien plus forte que dans la grotte. Mais il fini par ‘Vipe View next page s’y habituer et ne reg donc la question de s compagnons ce qu’il éc de lui et qu’on le pre rieure. Il se pose narrer a ses ur qu’on se moque Le début du mythe de Platon nous donne la vision d’un monde qui vit dans l’ignorance et dans le faux. En effet, nous sommes les « esclaves » d’une société qui nous lie « les jambes et le cou », de sorte qu’on ne peut « ni bouger ni voir ailleurs que devant nous ».

En effet, nous somme encadrés par des règles ainsi que des normes plus ou moins explicites qui nous formatent comme des achines et ce depuis le ShAipe to Wew next page le début de notre existence : « ces hommes sont là depuis leur enfance » . Ces Hommes sont donc victimes deux fois : non seulement ils sont trompés – on leur cache le Vrai – mais en plus il ne le savent pas – ils pensent que ce qu’ils voient est Vrai. Nous évoluons dans l’ignorance et ne possédons qu’une infime vision de la vérité, un simple reflet du réel.

Nous vivons donc par procuration car certaines personnes ont réussi à s’élever vers ce qu’on appelle la vérité. Ici Platon les représente par l’intermédiaire « d’ombres projetées par le feu sur la paroi de la caverne qui eur fait face Cette condition humaine immédiate n’est pas seulement la nôtre, mais celle aussi de nos ancêtres. Ainsi la « caverne » est une sorte de cage dans laquelle aucun de nous n’est encouragé à se surpasser et à réfléchir par soi même. Tout nous est dicté à travers des lois, des règlements, un langage, une culture…

Elle est rassurante car elle sert de protection, de barrière avec la dureté du vrai. Nos yeux se sont habitués à la noirceur de l’ignorance. Ainsi même eux ne sont pas sollicités. Qu’ils soient ouvert ou fermés ne change rien car nous sommes plongés dans l’obscurité. Cette ignorance de l’homme est un débat qui n’est pas seulement abordé à l’époque de Platon mais qui est récurrent : le XVIII eme siècle avait comme principal courant celui des lumières. Ces derniers avaient comme objectif d’apporter la lumière du savoi 2 courant celui des lumières.

Ces derniers avaient comme objectif d’apporter la lumière du savoir pour pouvoir vaincre l’obscurantisme de l’ignorance et de l’illusion. La deuxième partie du texte traduit le passage de l’asservissement à la liberté d’un homme: « Qu’on détache un de ces captifs ; qu’on le force sur-le-champ de se lever, de tourner la ète, de marcher et de regarder du côté de la lumière». On peut comparer cela à la pensée du philosophe qui ne reste pas dans le cadre donné par la société mais qui cherche à aller plus loin et comprendre le monde.

Ici nous assistons à la première rencontre entre l’homme et la vérité. Or, cette dernière n’est pas toujours facile à affronter et à discerner : « il ne pourra faire tout cela sans souffrir, et l’éblouissement l’empêchera de discerner les objets dont il voyait [51 Bd] auparavant les ombres. » Ceci montre que nous ne pouvons pas directement nous adapter de manière aturelle à une nouvelle vision de ce qui nous entoure réellement. « Etsi on le contraint de regarder le feu, sa vue n’en sera-t-elle pas blessée ? N’en détournera-t-il pas les regards pour les porter sur ces ombres qu’il considère sans effort ? . Il semble plus facile pour l’esclave de rester à l’ombre dans la caverne que d’être mis à nu par la forte luminosité que lui envoie les rayons du soleil qui peuvent être comparés à la vérité. Ainsi, dans un deuxième temps, Vhomme ne discernera 3 deuxième temps, Phomme ne discernera que de simples ombres, des contours d’objets. Les mêmes que ceux qu’il pouvait observer du fond de sa caverne. Mais avec le temps, il va s’accoutumer à cette nouvelle vision du monde qui fentoure et se rendra compte que son ancienne vie n’était qu’une illusion.

Alors : «a la fin il pourra, je pense, non-seulement voir le soleil dans les eaux et partout où son image se réfléchit, mais le contempler en lui- même à sa véritable place. » En effet, une fois que la vérité s’est implantée dans son quotidien, tout lui paraît beaucoup plus vivant et réel, il ne peut donc plus s’en passer. Retourner dans sa caverne, dans l’ignorance lui semble impensable. En effet, il ossède dorénavant la vision des couleurs et peut voir le monde évoluer sous ses yeux. Il est pareil au philosophe qui a réussi élever sa pensée. A la fin il pourra, je pense, non-seulement voir le soleil dans les eaux et partout où son image se réfléchit, mais le contempler en lui-même à sa véritable place. » Ainsi, après un long moment l’homme sera capable d’affronter la vérité en toute circonstance. La troisième partie est basée sur un questionnement : doit il retrouver ses anciens compagnons pour leur narrer ce qu’il a découvert ? Cest une idée qui semble l’inquiéter et le mettre mal à l’aise. En effet, il se demande si ces derniers ne vont pas 4 qui semble l’inquiéter et le mettre mal à faise.

En effet, il se demande si ces derniers ne vont pas le prendre pour un fou et lui rire au nez, eux qui n’ont jamais vécu que dans l’ignorance. ‘esclave est donc dans une situation délicate qui est comparable à celle du poète, de l’artiste et même du philosophe : il est en marge de la société. Pourra-t-il retourner dans la grotte ? Certainement mais il sera un long moment ébloui et ne comprendra pas ce qu’il se passe. Tout lui paraîtra bien simple et sans intérêt car il a vécu dans le réel. Voir de simples ombres ur un mur les pieds et les mains liés ne lui suffira plus.

Il s’est vu offrir au dehors une nouvelle nourriture qui lui est devenue aussi vitale que « le manger » qui est le savoir. Peut être que sa vie n’est plus aussi simple que précédemment, lorsqu’il était protégé par les murs épais de la caverne mais peut on réellement appeler cela vivre car on est dans le faux ? Il) Rapprochement du mythe de la caverne avec Facebook A notre époque, les réseaux sociaux occupent une grande partie de notre temps. En effet, une étude montre qu’en moyenne nous passons plus d’une heure par jour à flâner dessus.

Je vals particulièrement m’intéresser au cas de Facebook. Nous pouvons faire un rapprochement entre la caverne de Platon et ce Site très populaire. En effet, tout ce qui nous y est montré est en grande partie faux pourtant nous restons S populaire. En effet, tout ce qui nous y est montré est en grande partie faux pourtant nous restons très attachés à cette application. En effet, il est tout aussi dur de la quitter que de laisser derrière soit la grotte. Ceci est du à plusieurs facteurs : il est très simple et rapide de se créer un compte, mais de le supprimer définitivement est une autre affaire.

Il vous faudra passer par de nombreuses étapes et attendre deux semaines avant que le compte ne soit effacer. Par ailleurs grâce à ce site nous nous créons Pillusion de posséder des centaines et des centaines « d’amis » que nous pouvons observer grâce au fil d’actualité. Nous pouvons faire circuler des informations extrêmement rapidement. Ce qui d’ailleurs peut devenir un réel problème. Ainsi, il faudra beaucoup de courage pour s’en libérer tant au niveau physique que psychologique car cela implique qu’il faudra se passer de bons nombre de choses tel que les photos, les commentaires, les vidéos

Facebook nous fait vivre dans le faux et l’ignorance car nous ne pouvons pas vérifier tout ce qui y est posté par les uns et les autres. Très peu de personne choisiront une photo de profil qui ne le mettra pas en valeur ou qui ne sera pas retouchée du tout. On peut se créer une nouvelle vie et afficher des photos prisent sur google image et donc tout idéaliser. Ceci va nous faire nous éloigner de la réalité. Par ailleurs, les utilisateurs Faceboo Ceci va nous faire nous éloigner de la réalité. Par ailleurs, les utilisateurs Facebook se font aussi manipuler dune autre manière.