Ogm definition et risques
Les trente dernières années ont vu se développer des techniques modernes de « génie génétique », consistant introduire un ou plusieurs gènes dans le patrimoine génétique d’un organisme et de construire des organismes dis « génétiques modifiés » (organismes génétiques modifiés -GONG- et les micro-organismes génétiques modifiés -MG). Ces techniques permettent de transférer des gènes sélectionnés d’un organisme à un autre, y compris entre des espèces différentes.
Elles offrent ainsi potentiellement la possibilité d’introduire dans un organisme un caractère nouveau dès lors que le ou les gène(s) correspondants sont identifiés. Quels risques ? Des études ont été menées pour savoir si une telle diète présentait des risques pour la santé des animaux eux- mes, ainsi que pour celle des êtres humains qui premier boy 91 matérielle 1 paon 12, 2009 3 pages mutation, qui existent déjà dans le monde agricole. Mêmes, ainsi que pour celle des êtres humains que consomment la viande de ces animaux ou leurs produits dérivés (lait, ??ufs).
Un des principaux risques est qu’un des gènes inséré dans allergies. A ce jour on ignore totalement les répercussions sur la santé provoquées par l’ingestion d’aliments contenant des gènes de résistance aux antibiotiques, mais on sait que les bactéries sont tout à fait capables de récupérer, puis d’échanger ces gènes. Ainsi, la résistance aux antibiotiques peut se transmettre des plantes cultivées aux bactéries qui vivent dans le sol, ou de celles-ci aux bactéries de notre tube digestif.
Cette résistance peut aussi être « récupérée » par des bactéries pathogènes, ce qui peut engendrer de graves problèmes sanitaires. Et donc une éventuelle multiplication d’allergies et l’apparition de maladie, de virus de plus en plus résistant aux antibiotiques. Mais beaucoup de chercheur se contredisent sur le fait que ces GONG sont dangereux pour la santé. Procédés: Les végétaux sont modifiés pour tolérer un herbicide ou réduire un insecticide. On sait également qu’ils métabolismes les substances dont ils sont imprégnés.
Par ailleurs l’ajout d’un étrangères dans un organisme vivant peut activer l’expression d’un ou plusieurs gènes, normalement passifs. Cette réaction imprévisible risque d’entraîner la production de toxines ou augmenter celles que l’on trouve à l’état naturel. Recherches: Affirmant avoir mis en évidence les effets toxiques d’un mais transocéanique chez le rat, un chercheur a relancée le débat. Mais la question reste un casse tête scientifique.