Nouvelle reunnionnaise

essay B

Je te donne… Je suis une jeune métisse née d’une mère d’origine indienne pratiquante de l’hindouisme (ces personnes sont appelées «les malbars» à la Réunion) et d’un père d’origine malgache. J’ai les longs cheveux noirs lisses légèrement bouclés, mes yeux sont marrons foncés en amandes avec un léger trait d’eyes liner sur le dessus, j’ai la peau couleur chocolat au lait et sur mon visage quelques tâches, pas très visibles, que l’acné a laissé sur son passage. Il y a quatre ans, il s’est passé une histoire qui a ouleversé ma vie, j’ai bien cru que j’allais mourir. Dring, driiiiiiiiiiiiing en sursaut et eus l’im OF4 p g Alex, je me réveillai ait autour de moi tellement j’étais fatiguée. Je me préparai, engloutis mon petit déjeuner, sortis de ma maison et me rendis au lycée de Stella à pied car celui-ci se trouvait à cinq minutes de chez moi. Ma journée finie, je me rendis à la plate forme sucrière* (auss appelé «la balance») derrière le musée de Stella car j’adorais la tranquillité et la bonne odeur qu’il y avait à cet endroit.

Ce fut sur ce même lieu, dix mois Sv. ‘ipe to mois auparavant, que j’avais rencontré Thomas un jeune homme métropolitain de vingt ans qui travaille ici comme ouvrier sur la balance. Lui et moi étions en couple et je l’aimais plus que tout au monde. Ce fut le premier amour de ma vie Dès que Thomas avait fini sa journée de travail à dix sept heures, nous nous retrouvions tout le temps dans un coin près dune petite cabane abandonnée en face de la balance sur un petit muret.

Ce jour là, -je m’en souviens encore- je m’étais mise debout pour sentir la légère brise venant du Sud apportant avec lle une odeur sucrée, et soudain ma tête recommença à tourner; ma gorge se sécha; mes paupières commencèrent à battre deux fois plus. Lui qui voyait que j’étais en train de divaguer, m’aida m’asseoir, me fit reprendre mes esprits et me raccompagna chez moi de peur qu’il m’arrive quelque chose en chemin. e lendemain la routine reprit le dessus, j’allais au lycée, je sortais le soir avec mes meilleurs amis Anals, Maurane (mes deux meilleures amies), Christopher et mon Thomas.

A cette époque là, je tenais une relation fraternelle avec Christopher, celui-ci avait rois ans de plus que moi et je le considérais comme mon grand- frère. es jours passèrent et je reçus les résultats de mes examens que j’avais passé chez le médecin. Je ny compris rien et je dus appeler ma mère -qui était infir 2 ma mère -qui était infirmière- pour qu’elle m’explique. Elle me les expliqua en pleurant et moi après avoir réaliser la chose, je me mis aussi à pleurer. ne nuit le téléphone sonna, ma mère décrocha ici l’hôpital Jeanne-d’Arc, je vous appelle pour vous annoncer une bonne nouvelle, votre fille Alex Rivière va peut-être être auvée. Ramenez avec vous quelques vêtements de rechange et tout le nécessaire. Au revoir. lui dit une dame. Ma mère m’emmena sans plus attendre à l’hôpital. Elle était tellement stressée ! Elle roula à deux cents kilomètres heures sur la route des Tamarins, elle avait l’air plus presser que moi et moi à côté delle je commençai à stresser. On m’opéra et un mois plus tard je rentrai à ma maison accompagnée de ma mère heureuse comme jamais.

Elle eut tellement peur pour moi et moi j’eus tellement peur que quelque hose de mal se passait mal durant l’opération. Quelques jours plus tard, alors que j’étais en train de rattraper les cours que j’avais manqué. Ma mère entra dans ma chambre et me remit une lettre avec écrit sur le dessus : « Pour Alex Je l’ouvris . « Ma Alex, Tu sais très bien à quel point tu comptes pour moi. Voilà lorsque tu m’as annoncé que tu avais besoin d’une greffe du souffle*, j’ai 3 pour moi. Voilà lorsque tu m’as annoncé que tu avais besoin dune greffe du souffle*, j’ai eu l’impression que mon cœur a essé de battre durant quelques secondes.

J’ai parlé avec ta mère et elle m’a dit que du fait du volume des ses poumons*, elle ne pourrait pas te donner un des siens. Alex tu es tout pour moi, je n’ai pas hésité une seconde pour aller faire les tests nécessaire et il se trouve que je pouvais te donner un de mes poumons. Voilà je t’aime en secret depuis que l’on se connaît, si je ne te l’ai jamais dit c’était de peur que cela détruise notre relation. Je t’aime, je t’aime, je t’aime… Christopher » Je te fais de gros bisous.