Nourrir Les Hommes
Introduction Mieux nourrir la population mondiale est un objectif majeur du développement durable. 850 millions d’hetre humain souffrent encore de sous-alimentation chronique et la malnutrition touche 2 milliard de personne. Notre capacité à utillser de manière durable les ressources terrestre pour assurer la sécurité alimentaire de la population mondiale est donc un objectif majeur. Pour cela, il faut connaitre le besoin de la population, les moyens de production existant et la façon de les améliorer.
PB : Quelle est la situation alimentaire des 7 milliard d’hommes de la planète ? Comment assurer le Quelles pratiques durable ? A. une pression dém or 7 Sni* to View l’agriculture La population mondiale connait une tr s torte croissance démographique depuis 1 OOans. Une grande partie des pays du monde est en effet entré dans la phase de transition démographique. Cette augmentation varie selon les pays. Les pays du nord ont déjà achevé leur transition démographique, ils ne représentent plus que de la population mondiale.
En revanche, les pays du sud, ne sont pas sorties de la transition démographique et représente ainsi de la population mondiale. Cette situation entraine l’augmentation des besoins alimentaire dans le monde en particularité dans les pays pauvre en forte croissance démographique. Sylvie Brunel – Experte géographe La croissance de la production agricole mondiale à été plus forte que celle de la population pourtant le nombre de personne répartition.
B. Un accès inégal à la nourriture Le brésil doit sa réussite économique à une mécanisation à la taille de ses exploitations immense et au soutien de l’agriculture par l’État Il fait face à un défis alimentaire avec un part élevé de sous utrition, toutefois on peut mettre en avant les disponibilités énergétique sont en hausse et donc la sous-alimentation baisse La sécurité alimentaire s’est amélioré mais pas partout.
La production agricole internationale est suffisante pour nourrir la planète Les pays riche et les villes sont de gros consommateurs de nourriture, ils concentrent de fortes densités de population. Situé aux cœurs des circuits économiques mondiaux, ils accèdent facilement aux ressources et peuvent importer une partie de leur nourriture. La disponibilité alimentaire des pays riche (3300 calories/habitant/ our) dépasse largement la moyenne mondiale qui est de 2500.
Certains sont aussi de gros producteurs et exportateur : ils sont en situation d’autosuffisance alimentaire. Les grands foyers de peuplements se trouvent essentiellement dans les pays du sud, à l’est et au sud de l’Asie en partlculier. Ces régions du monde sont également ouvertes aux grands marche internationaux, elles importent de la nourriture mais sont aussi productrices et exportent leurs produits agricole vers les pays du nord pour avoir des rentrée financière leurs permettant de se développer.
Elle pourrait être en situation d’autosuffisance alimentaire pourtant une part importante de la population et sous-alimenté, cependant la situation s’améliore Les régions du monde ou les populations peuvent compter que sur les marchés locaux et sur leur propre production (autoconsommation) pour s’alimenter ils vivent une situation très fragile. Elles dépendent de leurs récoltes et de condition climatique Une situatio PAG » rif 7 climatique. Une situation d’autant plus inquiétant que la population mondiale va augmenter C.
Des modes de consommations différents Question 4 à 7 p71 Les modes de consommation et les habitudes alimentaires varient selon les régions du monde. Les pays riche et occidentaux ont une alimentation variée et abondante en viande. Ils sont en situation de suralimentation. Les problèmes liés au surpoids augmentent plus particulièrement dans la populatlon la plus pauvre. Ils rencontrent d’avantage de problème de sous-alimentation. La majorité des pays du monde n’ont pas adopté le régime alimentaire occidental et consomment encore prioritairement des céréales.
Les diffèrent types de demande et l’accessibilité inégale a ‘alimentation se répercutent sur les systèmes de production Il. Des systèmes de production inégalement performante 1. Des contraintes différentes Etude de cas (2) Le système de production varie selon le niveau de développement et les contraintes naturelles (sols fertiles, climat, Les foyers de peuplement des régions ou les sols sont fertiles et sans contraintes climatique (Europe, Etats-Unis, Chine) ont développé leur agriculture de longue date et crée des paysages ruraux caractéristiques (openfields, rizières, bocage, etc…. Ils ont éfriché, augmenté leur surface agricole utile (SAJ) et améliorer leur techniques agricoles. Mais pour nourrir une population croissante, il faudra augmenter la surface de terres et améliorer les rendements agricoles (quantité produite sur une surface donnée), en particulier dans les pays pauvre. 2. Des systèmes de produ au nord PAGF3CF7 France) ont principalement une agriculture et un élevage productiviste et intensifs. Cette agriculture s’intègre à la filière agroalimentaire . les industries chimiques fournissent des intrants aux agriculteurs (engrais, produits phytosanitaires… les industries mécaniques, des engins agricoles modernes, les laboratoires de recherche, des graines et semences performantes ; les entreprises agricoles, fortement mécanisées, fonctionnent avec très peu de main-d’œuvre. De plus, elles utilisent massivement l’irrigation pour améliorer leurs rendements. La productivité de ces entreprises est très forte (rapport entre la production et les moyens mis en œuvre pour l’obtenir), de même que les rendements agricoles ; la production est destinée en majorité à l’industrie agroalimentaire qui transforme les produits agricoles en produits onsommables et fournit le circuit de distribution.
Mais elle est aussi exportée. • Ce type d’agriculture nécessite beaucoup d’investissements. Or, sur le marché international, les cours des produits agricoles ne sont pas toujours très élevés. Les gouvernements des pays riches subventionnent donc leurs agriculteurs qui peuvent vendre leurs produits à bas prix. Cette pratique est dénoncée par les pays pauvres, car elle crée une concurrence déloyale. 3. Agriculture vivrière et agriculture commerciale au Sud • Dans les pays pauvres, les deux principaux types d’agriculture ont l’agriculture vivrière et l’agriculture commerciale. ?? Cagriculture vivrière : les paysans produisent pour nourrir directement leur famille (autoconsommation). Les surplus, s’il y en a, sont vendus sur le marché local. • Des pays pauvres ont aussi développé une agriculture commerciale destinée à l’exportation afin d’augmenter les rentrées financières et donc de favoriser le développement. Cette agriculture commerci d’augmenter les rentrées financières et donc de favoriser le développement.
Cette agriculture commerciale utilise davantage e moyens modernes (intrants), mais fait encore appel à la main- d’œuvre locale : les salaires étant bas, elle coûte moins cher que la mécanisation… • Certains pays ont suivi le modèle des gouvernements asiatiques qui ont misé sur l’intensification des cultures par l’augmentation des surfaces irriguées, la mécanisation, l’utilisation de semences performantes et d’intrants : on parle de révolution verte. Mais beaucoup de problèmes subsistent. ?? En misant sur l’agriculture commerciale, certains États ont négligé l’agriculture vivrière qui nourrit pourtant la population. Ils e cultivent qu’un ou deux prodults d’exportatlon (comme le café en Éthiopie) : ne produisant plus assez de variétés pour le marché local, ils doivent importer des denrées alimentaires. De plus, leurs exportations agricoles dépendent des cours des marchés internationaux et peuvent être concurrencées par l’agriculture subventionnée des pays riches. Ill. Comment produire de manière durable et plus éthique tout en respectant les ressources ? . Une pression accrue de l’agriculture sur les ressources qui pose problème • L’intensification des cultures dans les pays riches et dans les ays pauvres agit sur l’environnement • pollution des nappes phréatiques, des rivières et des littoraux avec l’usage des intrants surexploitation des ressources en eau pour l’irrigation ; artificialisation des milieux naturels (transformés en paysages ruraux) ; érosion accélérée des sols avec la suppression des haies pour faire des champs ouverts plus facilement cultivables (openfields). ?? La désertification menace également certaines régions touchées par le surpâturage comme le Sahel, au sud du Sahara. • Pour augmenter la productio