Nima
Prenons l’exemple du élimine, un petit rongeur des régions boréales voisin du campagnol. D’aucuns ont propagé que ces mammifères commettent des suicides collectifs parce qu’ils se jettent a la mer. Mais s’il ha une surpopulation flagrante de élimines dans un espaces donné, le rongeur se rassembles instinctivement en groupes de nomades pour aller peupler d’autres territoires. Et dès qu’ils rencontrent un lac ou une rivière, ces nomades franchissent la rive sans dommage. Ils rejoignent l’autre rive en nageant.
lorsqu’ atteignent un bord de mer la réaction est a même sauf que es élimines s’épuisent et meurent de noyade et d’épuisement par centaines. Donc en aucun cas un animal n’ la conscience (du latin conscientes, connaissance) de soi anima premier boy anima I parapha 17, 2009 S pages swaps toi vie nixe page (le cogiter du latin, verbe signifiant « je suis ») donc de leur mort futur. Ce qui nous oppose aux animaux. Maintenant il nous faut démontrer si la conscience est le seul facteur pour faire de nous des sujets, nous différencier des animaux.
Est-ce que le cogiter est vraiment le propre de l’homme ? Ceci nous démontrera bien que la naissance de soi fait de nous des être capable d’être responsable d’un acte délibéré. Qui a pour but de prouver qu’on existe. On a entièrement conscience de notre existence (le « je » transcendantes cantine). Est-ce que l’intuition qua l’esprit de lui-même, des objets qui s’offre à lui, ou de ses propres opérations est la seul qualité requise pour faire de nous des individus considérés comme l’auteur responsable d’un acte ?
Nous allons répondre à cette question tout d’abord en définissant exactement le terme sujet. Ensuite nous exprimerons la conscience de soi chez l’Homme, et pour unir nous dirons en quoi la notion de conscience est un terme très vague. Le sujet peut être définit de la façon suivante: être qui possède la maîtrise de soi, un être libre et conscient. Dans cette définition, la notion de conscience s’allie à la liberté, on comprend la qu’il s’agit de point essentiel dans la quête du statut de sujet.
On peut aussi retirer de cette définition la notion de maîtrise de soi. La conscience s’attache à cette notion dans la mesure où notre conscience nous permettre de mieux La conscience s’attache à cette notion dans la mesure où être conscience nous permettre de mieux connaître le monde, mais aussi d’agir dans celui-ci en cessant de réagir à des stimuli mécaniquement. En fait les animaux sont justement différents de nous sur ce point.
ces d’ailleurs ce que akan affirme, la conscience nous donne notre statut de personne car les animaux n’ont pas conscience de voir les choses; les animaux se limitent à une conscience immédiate ont conscience d’exister, alors que les humains lorsqu’ agissent sont capables de réfléchir aux conséquences de leurs actes. Gelé renforce cette idée en errent l’exemple de la plante. Celle-ci existe comme l’homme en soi mais l’homme existe aussi pour soi en se contemplant et changeant le monde à sa façon.
La conscience de soi et conscience du monde n’en est pas pour autant un élément donné à notre naissance. Elles se développent petit à petit grâce à des sciences comme la sociologie ou la psychanalyse, nous élevons ainsi nos possibilités de faire de nous des sujets. En effet elle permet de mieux se connaître, devenir moins étranger à soi et donc permet par suite une destination en libérant notre omniscience. Pour maîtriser ses actes, ses pensées il est nécessaire d’étudier sa culture, son comportement en société et leurs origines, c’est ce que ces deux sciences réunies nous aident à faire.
La conscience de soi est un fait qui une fois acquis ne épée deux sciences réunies nous aident à faire. La conscience de soi est un fait qui une fois acquis ne peut se défaire de nous. Dessertes nous le prouve simplement dans cette contradiction approximative: « je pense que je ne suis pas » est une position à laquelle on ne peut prendre part. Cette omniscience de soi est donc bien un élément qu’on ne peut supprimer dans l’acquisition du statut de sujet. Cependant un être ayant acquis la conscience peut-il se dire « sujet »?
La conscience suffit-elle, est-elle la seule facette nécessaire pour devenir sujet? Être conscient c’est rapporter à soi ses expériences vécues. Mais peut-on réellement avoir confiance en sa mémoire, sa vision des choses? Dans reboisons ou les limbes du Pacifique miches TOURNER nous explique que son personnage perdait conscience de lui même et du monde qui l’entourait car il était privé de compagnie. AI ne pouvait ainsi vérifier ce qu’il voyait ou sentait. Le doute de l’hallucination s’était installé.