Nations Et Nationalisme Ernest Gellner

essay A+

de l’Etat nécessite un possibilité de la part ac orf économie en perpét J’ai décidé ici de déve appris, qui m’ont par Nations Et Nationalisme Ernest Gellner Premium gy alice-peach anpenq II, 2015 E pages « Nations et nationalisme » d’Ernest Gellner. Ernest Gellner (1925-1995) est un philosophe, sociologue et anthropologue. Il est l’un des grands théoriciens de la modernité du XXème siècle. En 1993 il a dirigé le Center for the Study of Nationalism qui a pour but d’étudier l’émergence du nationalisme en Europe centrale et dans les pays de l’ancien bloc communiste.

Gellner est principalement connu pour Nations et Nationalisme, publié en 1989. La thèse de son ouvrage est que l’Etat, avant d’être le détenteur de la violence légitime, serait le détenteur de l’éducation légitime. Selon lui, un Etat moderne doit favoriser l’éducation car l’industrialisation et la croissance économique Sniper w nextÇEge qui amene a une eur rôle dans une es qui m’ont le plus développer. Dans le premier chapitre, Gellner propose quelques définitions.

Tout d’abord, le nationalisme serait un principe politique qui affirme que les unités politique et nationale doivent être congruentes. De là découle le sentiment nationaliste, sentiment de colère que suscite la violation du groupe, et le mouvement nationaliste, le mouvement animé par le sentiment nationaliste. Gellner introduit deux grandes notions dans ce chapitre qui sont l’Etat et la Nation. L’Etat est un groupement spécialisé qui détient le monopole de la violence légitime pour maintenir l’ordre.

Il peut utiliser la forc Swipe to vlew next page force et à l’intérieur du territoire on peut constater une certaine division du travail. Gellner propose trois phases du développement de l’Etat qui sont la société pré-agraire, où les ociétés sont trop petites pour se poser la question d’un Etat ; la société agraire, dans laquelle la question de l’Etat peut se manifester sous des formes variables ; et la société industrielle où la présence de l’Etat est inéluctable.

La nation quant à elle, est composée d’individus qui partagent la même culture et qui se reconnaissent appartenir à la même nation. Les éléments essentiels à la formation d’une nation sont la volonté et la culture. Les individus qui forment la nation doivent y adhérer volontairement et vouloir la faire persister en tant que communauté. Ils sont unis politiquement avec ceux qui partagent la même culture qu’eux et veulent par conséquent étendre les frontières de la nation aux limites de leur culture.

L’auteur ajout également la définition de la violation du principe nationaliste, qui sera important pour son développement plus tard, et qui se manifeste lorsque les frontières politiques ne recouvrent pas les frontières ethniques, lorsque la nation vit dans une multiplicité d’Etats différents ou lorsque les nationaux sont gouvernés par une nation étrangère. J’al ensuite choisl de développer le chapitre 7, intitulé : une typologie des nationalismes. Gellner a relevé trois différentes combinaisons de nationalisme possible, dont les facteurs essentiels, rappelons-le, sont le pouvoir et l’éducation.

La première condition à la formation d’un nationalisme est que ceux qui ont le pouvoir sont éduqués alors que la masse (ceux qui ne détienne nationalisme est que ceux qui ont le pouvoir sont éduqués alors que la masse (ceux qui ne détiennent pas le pouvoir) ne l’est pas. Dans cas, c’est un nationalisme de type « Habsbourg b. Les détenteurs du pouvoir ont donc accès à la « haute culture centrale » qui est la leur et savent la manier dans un contexte moderne pour s’en sortir. Ceux qui sont privés de cette culture vont former une « culture populaire » qui va rivaliser avec la « haute culture » pour en devenir une elle-même.

Ce groupe, maintenant donné d’une culture, a les moyens de se doter d’un Etat pour se protéger et ceux qui ne partagent pas cette culture sont poussés soit à l’intégration, soit à l’émigration, au statut de minorité où condamné à une liquidation physique. Le deuxième type de nationalisme est le nationalisme italien et allemand du XIXè siècle, aussi appelé le nationalisme occidental. Il se forme lorsqu’un groupe a le pouvoir sur un autre groupe ais que ces deux groupes ont un accès identique à l’éducation (il n’y a pas d’infériorité culturelle comme dans le nationalisme de type Habsbourg).

Ce nationalisme est par conséquent porté sur l’inégalité du pouvoir, qui est corrigé par l’unification. Le dernier type de nationalisme décrit par l’auteur et la nationalisme de diaspora. Pour comprendre ce nationalisme, il faut remonter à la société agraire. La spécialisation des individus pouvait être vue comme dangereuse et cette dernière à donc été laissé aux individus qui appartenaient à un groupe facile ? identifier culturellement et qui était bien souvent soumis au épris et surtout à l’exclusion des postes politiques. Ces individus ne pouvant pas utiliser leurs compét l’exclusion des postes politiques.

Ces individus ne pouvant pas utiliser leurs compétences pour leur propre promotion sociale, ils se rendaient impuissants du point du vue politique et militaire pour pouvoir exercer leur monopole. Mals avec l’avènement de la société de masse centralisée, les individus ont eu des possibilités de mobilité, ce qui a rendu de plus en plus fragile la possibilité de conserver le monopole de certaines activités. Les populations spécialisées perdent par-là leurs handicaps et rouvent des avantages dans les nouvelles activités de la société industrielle.

Pour se protéger, PEtat prive ces minorités de leurs avantages et de leurs monopoles. Mais comme ces individus étaient depuis bien longtemps considérés comme des minorités, et qu’ils n’avaient pas de base territoriale propre à leur culture, le nationalisme a eu des conséquences désastreuses pour ces minorités, comme des expulsions de masse ou encore des génocides. Après avoir montré la formation de trois différents nationalismes, Gellner se pose la question, dans le chapitre 8, de l’avenir du ationalisme.

Avant tout, la période d’activisme du nationalisme est celle de la transition, c’est-à-dire la période où la société s’accorde avec les changements de la société. Cest pour l’auteur la phase qu’il considère la plus violente du nationalisme, pendant laquelle la société est la plus instable. C’est donc pendant cette période que va se former le sentiment d’injustice et dans laquelle l’on va identifier des « coupables qui sont, ceux qui appartiennent ? une autre nation, à une aure culture. On entre alors dans une phase ultra-sensible où se creuse au maximum le fossé e PAGF