Mutation du travail et de la société

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même chose. on est dirigeant des ressources humaines, ce n’est pas pareil si on est chez total à la défense, ou dans un laboratoire, cela n’a pas la même valeur sociale. le postulat c’est que le travail c’est certes une rémunération mais aussi une relation sociale, une relation à d’autres personnes, avec la famille. Elle est multidimensionnelle, et on nous attribue une identité sociale et on incarne, vit cette identitié soclale. Cela veut dire que tout travail quel qu’il soit ne pre,d sens que dans une société donnée, ce n’est pas la même chose ujourd’hi que dans les années 30 ou 50. r exemple, ce n’est pas pareil que d’être agriculteur aujourd’hui qu’au 19ème siècle. tout cela est évdiem Mutation du travail et de la société Premium gy NappyCarameI 17, 2014 | 20 pages CM Mutations de la société et mutations du travail Prof: Madame Leblanc Pas de cours le 12 Février. Partiel le 16 Avril Introduction: Reprendre les grands principes des classements socials des personnes qui travaillent depuis e 20ème siècle. Parler des années 50/60.

Le travail c’est une série de tâches que lion a effectué et les conditions qui vont autour, par exemple à la fac cela va être tappé ur un clavier ou écrire, et pourtant on a pas même le même to page emploi, le même mé statut. Emploi, cela v professionnelle c’est qui ce qui va permettre chez dior, ce n’est pa or20 to nextÇEge de dédinfir un hômeur. L’activité ce tout cela, c’est eur soit chez dia, soit e à peu près la évdiemmment très contextualisé.

Classements Sociaux des Travailleurs par leur Activité: 1 ère pér10de: La première période Ct après a révolution franaise. La première raison c’est qu’avant on sait à peu près qui est qui, on est liaistocratie, la bourgeoisie ou en dessous de la ourgeoisie. Socizalement on savait qui on était, on avait le droit de se marier à un tel ou pas. Après la révolution on ne sait plus du tout qui sont les personnes, donc il faut les pes classer. de plus on va tendre vers une rationnalisation de la société. ette rationnalisation on la doit au 19ème siècle, on va faire un cde du commerce, un code civil, pour codifier les choses. Début du 19ème, on commence à classer les gens. La lere période, on met en avant tout ce qui était transmission sociale, les parents étaient paysans on était paysan. On classe d’un côté ceux qui ossèdent le patrimoine et d’autre part tout ce qui est employé d’Etat et les personnnes qui vivent de leur travail (de la petite manufacture à la grande industrie, on les met ensemblz mais on les distingue des anoeuvres, ceux qui ont aucune qualification).

A cette date là seuls les hommes payant le cens pouvait voter, et à partir de 1 848 tous les hommes pouvaient voter. Au début c’est la transmission soclale,et puis on va passer d’une césure patron/employé, et puis on va distinguer les compagnons des autres ouvriers. Ils n’ont pas les mêmes salaires, modes de vie, . (1830). En 1872 on distingue 4 catégories: – les chefs ou patrons – les commis ou employés: on va avoir une bureaucratie qui va commencer OF chefs ou patrons commencer à voir le jour, à ne confondre avec celle aujourd’hui.

On va notamment commencer à avoir des livres de compte. – les ouvriers – les journaliers: c’était les personnes qui étaient embauchées à la journée Au 18ème siècle, on avait les corporations, avec tout en bas l’apprenti, ensuite compagnon (où l’on passait à l’âge professionnel et à l’âge adulte) puis maître. 2ème période: renforcement d’une distinction patron/salarié avec roit du travail à partir du 19ème siècle, même si c’est encore grand rudimentaire. ème Partie: 1936 avec l’arrivée du Front Populaire au pouvoir, et notamment l’apparition des congés payés, ces comités d’entreprise. Quatre ans après, arrive la guerre et la semaine de 40 heures va apparaître après la guerre. De 1936 à 1954 on va avoir pour la première fois une hiérarchisation des emplois salariés en terme de qualification. On a petit à petit des gens qui savent lire, écrire même si c’est moins le cas dans les zones rurales (Lois de 1882). En Juin 1 936 il y a l’instauration es conventions collectives qui vont établir le droit du travail dans la branche.

A partir de 1 954 on va pleinement associer le classement des zctivits professionnelles et la hiérarchie sociale et on a un classement en 9 catégories, eux même divisés en catégories. Ce sont les CSP et en 1982 ce sont les PCS. Ily a des discussions sur ces catégories puisque l’on est aussi en Europe, et dans tous les pays on ne compte pas forcément comme nous, on ne classe pas tous de la même m dans tous les pays on ne compte pas forcément comme nous, on ne classe pas tous de la même manière et on a besoin de tatistiques européennes, il y a donc des discussions pour qu’il y alt des classifications générales selon les pays.

Selon les pays si on change les catégories sociales, on aura par exemple une immense classe moyenne et une mincuscule classe populaire, ou inversement, et donc la représentation de la société sera différente. cela veut dire qu’une classification socioprofessionnelle est étroitement liée aux opérations de représentation d’une société. Représentation de la société cela veut dire que lorsque l’on va choisir un métier, on aura forcément une représentation de ce métier, nous on a une idée et donc la ociété attend de nous quelque chose lorsque l’on va cholsir ce métier. e calssement aujourd’hui est trèès fortement marqué par les classifications, et c’est pour cela que lion a ouvriers, employés, cadres et professions intellectuelles, commerçants (? l’exception du pharmacien), Ce qui distingue c’est le rapport à la production qii provient du 19ème siècle, et est très important. Les années 1950 à aujourd’hui et le grand tournant des années 1970: On a la mise en place de la sécurité soclale en 1944/1945.

La mortalité infantale (enfant de moins de 1 an), en 1951 elle est de 0 pour 1000 (notamment parce que l’on a pas encore trouvé les antibiotiques et donc les enfants), en 1955, 40 pour 1000, et on passe à moins de 20 pour 1000 en 1969, en 2005 on était ? pour 1000. Dans les années 1950/1970 on avait encore des familles très nombr en 2005 on était à 3,6 pour 1000. Dans les années 1950/1970 on avait encore des familles très nombreuses alors qu’aujourd’hui on en a très peu. Aussi le rapport au médecin a changé d’une génération à l’autre.

En zone rurale, on l’appelait en dernière limite et souvent il ne pouvait rien, les personnes âgées ne leurs aisaient pas confiance, tandis que les plus jeunes leurs font plus confiance. Cest aussi le cas de l’hôpital, auparavant c’était le lieu pour mourir, on a un changement de représentation sociale pa rapport au lieu. En 1954 et puis en 1969/1970, en 1962 32% des ménages ont une voiture contre en 1969 (à cette époque parce que les voitures étaient trop chères). La machine à coudre mécanique, 4796 des ménages en ont en 1954 contre en 1969, contre la machine à courdre électrique en 1954 et 21% en 1969.

Les gens vont faire de moins en moins eux même et ils vont acheter, c’est le développement du prêt à porter. On a petit ? petit une consommation qui va changer. Frigo, 7% en 1954 contre 73% en 1969. Cest tout un mode de vie qui est complètement différent. Congélateur en 1954, 1962 et 2% en 1969. Les salariés agricoles étaient important, environ la moitié et en 1 954 ils étaient 3% à avoir la voiture, dans les années 70 moins de 50%. La télévision en 1957, des ménages qui l’avaient, en 1970, l’avaient.

Le téléphone, 12% des ménages l’avaient en 1965 et en 1970 15%. On voit donc comment la société a pu changer, et comment certaines personnes nées par exemple dans les années 0 ont connu les équipements mais que leurs parents l’ont connu PAGF s OF nées par exemple dans les années 60 ont connu les équipements mais que leurs parents l’ont connu que tardivement. on s’aperçoit qu’il y a une très très grosse différences au niveau des classements populaires et le reste de la population en 154, alors qu’en 1970 cette différence s’était réduite.

Cela a notamment permis à Henry Mendras de dire qu’il y avait une moyennisation de la société c’est à dire une immense classe moyenne. Certains n’y ont jamais cru, notamment que ce n’est pas parce qu’on a une oiture ou une télévision que l’on va en faire le même usage. En 1954 c’est aussi l’appel de l’Abbé Pierre. En 1958, c’est la création de l’UNEDIC. Ce sont des signes qui montrent que cela va mieux mais forcément que bien. La scolarisation. En 1882, il a l’obliagation d’aller à l’école de 6 ? 13 ans.

En 1936, l’obligation scolaire c’est jusqu’à 14 ans tandis qu’aujourd’hui c’est jusqu’à 16 ans et ce depuis 1959. En 1975 c’est le collègue unique. Auparavant, lorsque l’on allait entrer au collège, il y avait les collèges générals et les collèges spécialisés. Selon de l’on venait on allait plutôt dans l’un ou l’autre. En 1975 on se dit qu’il vaut mieux que tous les enfants aient la même éducation jusqu’à la 3ème. En 1974, la majorité passe de 21 ans à 18 ans, on voit bien que là il y a des choses qui bougent au niveau de la jeunesse.

Le baby-boom commence en 1942 puisque l’on est en guerre et que ce n’est pas une période faste, et la boucherie en ce qui concerne la France siest terminé. Dans le travail, c’était des adolescents que les employeurs voyaient arriver chez France s’est terminé. Dans le travail, c’était des adolescents que les employeurs voyaient arriver chez eux, le rapport à donc hangé par rapport à la soumission à la hiérarchie. Le rapport au travail n’était donc pas le même par rapport à cette jeunesse que par rapport à la notre.

Taux de scolarisation des jeunes de 16 à 18 ans, selon la profession du père: Agriculteurs exploitants: 1954: 8% 1968: salariés agricoles: 1954: 1968: Patrons industriels et commerce: 1954: 1968: 52% cadres supérieurs: 1954: 1968: 9096 Cadres moyens: 1954: 1968: Employés: 1954: 1968: ouvriers: 1954: 1968: des fils d’agriculteurs exploitants sont scolarisés (Rappel: A cette époque, l’école était obligatoire jusqu’à 14 ans). En 1954, on avait un monde rural et un monde urbain, avec une dominaion des cadres.

Seuls les cadres supérieurs étaient supérieurs à la moitié. Il y a une augmentation claire du niveau de scolarisation. Il y a un changement clair de culture. II y a aussi un changement dans les espoirs des parents, ils reportaient leurs espoirs sur leurs enfants et on avait de plus en plus de cadres. Certains métiers ont changé en terme d’exigence, c’est le cas des instituteurs, et le rapport à ce métier a aussi changé. La France est depuis très longtemps un pays où les femmes travaillent mais les conditions ne sont pas les mêmes depuis 40 ns.

Ily a un certain nombre de choses en places à la révolution, qui vont changer. il y a de nouvelles bases, le Code Civil en 1804 qui prévoit que le mari doit protection à sa femme 7 OF nouvelles bases, le Code Civil en 1804 qui prévoit que le mari doit protection à sa femme et elle obéissance. En 1 907, les femmes mariées vont pouvoir normalement disposer librement de leurs salalres. A prlori, il n’y a pas de souci mais cette loi ne va pas être appliquée pendant très longtemps, souvent les banquiers, agents de change, notaire vont demander l’autorisation de leurs maris.

Ce n’est qu’en 1965 que la femme n’a plus besoin de l’autorisation du mari pour travailler, pour avoir un chéquier. Si effectivement cela peut entrer dans les moeurs, c’est parce que cela était appliqué depuis de nombreuses années. En 1924, pour la première fois on a les mêmes programmes soclaires pour les garçons et les filles. Après la Révolution, des barrières tombent même si on conserve la transrmssion des charges familiales mais on a besoin tout de même d’un Etat, donc d’une administration et pour cela il faut passer des concours.

Il v y avoir l’instauration du baccalauréat, pour accéder à des postes. En 1865, la première femme passe le baccalauréat mais elle s’était battue pendant de nombreuses années. En 1938 c’est l’abolution de la puissance maritale. En 1945 c’est le droit de vote des femmes. En 1946 c’est l’abolition de la notion de salaire féminin, c’était qu’effectivement puisque l’on était une femme, on payait moins qu’un homme. Tout cela rentre dans la manière de considérer les femmes dans un foyer, dans un travail.

En 1970, c’est la fin de la puissance paternelle c’est à dire que les deux parents ont des pouvoirs égaux sur leurs enfants. L’INSEE n’est pas avance 8 OF ire que les deux parents ont des pouvoirs égaux sur leurs enfants. L’INSEE n’est pas avance sur la question, puisque l’on parle encore de chef de ménage. En 1982, on abandonne cette notion, et on parle de personne de référence du ménage. Elle a encore du mal à abandonner la notion de chef de famille étant le père.

En 1976, il y a la mixité obligatoire dans tous les établissements scolaires même s’il était déjà en place presque partout. Il y a quand même un rapprochement depuis tout petit qui n’existait pas auparavant. La représentation des femmes à l’Assemblée Nationale: en 1958 ans les candidats il y a 2,3% des femmes et parmi les élus 1,3%. En 1978, il ya de candidates et 4% d’élues. En 1997, il ya de candidates et de d’élues (on atteint ce seuil de pour la première fois). En 2012, on a de candidates et 26,9 d’élues. En 1999, on a une loi sur la parité.

Partie 1 = Activité professionnelle et positions sociales La question du salariat et de l’indépendance : Le salariat c’est à la fois quelque chose nous aspirons et en même temps dans l’histoire c’est un bas statut. Dans l’Antiquité, le travail c’était une torture, lorsque l’on était en haut de la société on ne travaillait pas. Socialement on est beaucoup plus pauvre lorsque lion travaillait. Après la Révolution frznaçaise, il y a la révolution industrielle où Max Weber nous explique le lien entre éthique protestante et capitalisme, et petit à petit on va porter le travail ? une valeur suprême.

Le travail, oui, le problème le travail salarié c’est non. Ce qui est valorisé PAGF OF c’est non. Ce qui est valorisé c’est le fait d’être indépendant. On a comme ça cette valorisation du travail. En 2011, la proportion de salariés c’est et donc il n’y a que 1 1 d’indépendants, mais être indépendant cela ne veut pas dire la même chose que ‘on soit boulanger dans un patelin que d’être un médecin avec son propre cabinet à Paris. Une autre remise en cause du salariat c’est un revenu minimal d’existence.

Cela serait que l’on aurait un droit à revenu quelque soit notre âge, sexe, que l’on sait actif ou pas. Cela mettrait tout le monde à égalité techniquement. l. Quelques rappels sur la mobilité professionnelle et sociale Il y a deux types de mobilités: la mobilité inter-générationnelle (entre parents/grands-parents, parents/enfants, et la mobilité intra-générationnelle (moi dans 10, 30 ans). Cela a beaucoup hangé. Auparavant on avait toutes nos chances d’entrer dans une boite et d’y rester toute notre vie, cela voulait dire que l’on était bon.

Aujourd’hui c’est dévalorisant. Tout cela, dépend aussi de la structure des activités. Cette mobilité sociale est d’abord structurelle. En 1982 les PCS ont remplacé les CSP. Agriculteurs: 2011:296 Artisans, commerçants: 1962:11% Professions Intellectuelles Supérieurs & Cadres: 1 professions Intermédiaires: 1962: 1989: Employés! 1962:1 2011 ouvriers: 1962139% 1989l30% 201 1 % On voit comment certains mouvements amorcés entre 196