marketing
es huit grands types de marketing[modifier modifier le code] Quelle que soit sa taille, TPE ou multinationale ; la nature de son activité, production ou distribution ; et la nature de sa production : produits ou services, un entreprise utilise cette méthodologie dans quatre contextes différents ; dune part, au niveau stratégique et au niveau opérationnel d’autre part, pour gérer la demande exprimée par le marché et pour gérer les nouvelles offres proposées aux marchés Ce qui génère quatre types de marketing de base : I. un marketing opérationnel de la demande Il. un marketing stratégique de la demande Ill.
Un marketing opérationnel de l’offre IV. Un marketing stra Ce qui donne la seg Les quatre grands ty Marketing de la 7 p g (marketing traditionnel) Marketing de l’offre (marketing de l’innovation) Niveau stratégique Marketing stratégique Management stratégique Marketing relationel stratégique Marketing serviciel Niveau opérationnel Marketing opérationnel de la demande (dont la mercatique) d’IBM, Intel, GE, Airbus, Alstom, Michelin, etc. ; marketing industriel ou marketing business to business qui s’adresse ? des clients, ous parvenons à huit grands types de marketings.
Article détaillé : Marketing#Les_types de_marketing. https://fr. wikipedia. org/wiki/Marketing#Les_types_de_marketing Marketing, markéting ou mercatique ? [modifier I modifier le code] Article détaillé : Mercatique. Dès les années soixante-dix, l’emploi de l’anglicisme « marketing » a suscité en France et au Québec de fortes résistances4 qui ont conduit à la création dun néologisme « mercatique » qui, contrairement à informatique, bureautique, domotique, télématique n’a eu aucun succès 5, mais qui a été imposé en 2012 à l’Éducation
Nationale. Marketing vs. mercatique. un résumé comparatif[modifier modifier le code] On trouvera en annexe un tableau comparatif qui résume les caractéristiques de la mercatique par rapport à celles du marketing Les révolutions des marketings depuis 1960[modifier I modifier le code] 1960. Le Produit, premier des 4 « p 2006. L’Apple store de la 5e avenue à New York. Une stratégie de réenchantement. Le paradigme Edu marketing utilisé aujourd’hui le plus couramment date environ de la fin des années cinquante.
Il avait été conçu pour procurer un cadre d’analyse simple de a commercialisation des produits de grande consommation alimentaire 7en supermarché 8 dans la région de Minneapolis. Ce cadre d’analyse, à l’origine plan de thèse d’un chercheur doctorant de l’Université du Minneso it à: Produit, Prix, Place, 2 ,’ l’invention des études qualitatives de marché donnent naissance à un deuxième paradigme: celui du Concept marketing, la primauté de la connaissance des besoins du marché.
Depuis 1960, l’environnement a changé du tout au tout : invention de Ihypermarché, Wal-Mart aux États-Unis, Carrefour en France ; invention de la conteneurisation qui va permettre la ondialisation; invention du code-barres; invention du paiement par carte bancaire; invention d’internet; invention du digital; intervention de nouveaux entrants (au sens de Michael Porter) : Chine, Corée du sud, Singapour, etc. ; invention du téléphone intelligent ; invention des réseaux sociaux ; le marketing personnalisé rendu possible par les Big Data ; etc. t fait que le paradigme mnémotechnique de Jerome McCarthy 1 0 n’est plus adapté et est en passe, après avoir été remplacé par le marketing relationnel, puis par le marketing serviciel d’être supplanté par un business-model, le SSP. Christian Grbnroos, professeur de marketing relationnel à la Hanken School dHelsinski va jusqu’à dire que le concept même de marketing est une erreur épistémologiquel 1. marketing et la vente : la différence[modifier I modifier le Voir : Vente vs marketing La vraie nature du marketing[modifier modifier le code] Le marketing n’est ni du commerce, ni de la communication publicitaire, ni de la vente, ni de la promotion commerciale. Sur un marché donné, le marketing est un duel à plusieursl 2. Par exemple, sur le marché de l’automobile Renault-Nissan, PSA Peugeot Citroën- Dongfeng et Volkswagen s’affrontent. Ou Air-France , Singapore Airlines et Emirates13.
D’autre part, sur le marché des vêtements prêt-à-porter H&M et Zara s’affrontent Ces affrontements sont aussi perceptibles dans d’autres marchés tel que celui de la 3 7 fabrication d’avions, des œufs, des hôtels ou tout autre types de biens pouvant être commercialisés d’une certaine façon. Ainsi, les entreprises s’affrontent par l’intermédiaire de leurs marques, ensseignes, de leurs points-de-vente, lieux-de-service, prestations, produits, etc. Une méthodologie stratégique concurrentielle créative[modifier I
Le marketing est une méthodologie 14 qui tire son efficacité évaluée en parts de marché 15— de la primauté donnée à la prise en compte préalable des attentes des clients et des partenaires stratégiques et commerciaux, et, de façon créative, des stratégies potentielles des concurrents, à la gestion de l’architecture de marque sous lequel est présentée l’offre et au développement du capital marque, de la maitrise de la communication publicitaire et des techniques relationnelles de suivi de la promesse faite par celle-cil 6.
L’application de cette méthodologie est du ressort de la direction énérale et plus particulièrement de la direction marketing 1 7 et des chefs de produit. Marketing stratégique et marketing opérationnel[modifier I Cette méthodologie peut être scindée en deux grandes parties 18: d’une part, le choix des marchés-cibles: l’automobile, l’œuf frais, etc. , et, d’autre part, l’imagination-élaboration des plans opérationnels (markéting mix) d’attaque des marchés choisis.
La première partie se confond avec l’analyse stratégique de l’entreprise 19 et sera appelée marketing stratégique, du ressort du directeur de la stratégie. Ses outils sont l’analyse Pestel, ‘analyse SWOT, l’analyse de portefeuille, etc. La seconde sera a 4 27 portefeuille, etc. La seconde sera appelée marketing opérationnel, du ressort des chefs de produit ou de marque, ou des directeurs de magasin ou de rayon dans le secteur de la distribution. Ses outils sont: le marketing-mix ou le traffic-mix20. Le marketing-mix[modifier I modifier le code] Voir la note infra. Le marketing revisité ‘esprit marketing[modifier modifier le code] Tony Hsieh, p-DG de Zappos, un bon exemple d’esprit marketing ‘esprit marketing est l’application généralisée et l’intériorisation ?? jusqu’à en devenir une culture réflexe— de cette méthodologie au sein de toute l’entreprise au niveau opérationnel ou terrain, qu’elle soit de distribution, de prestation de service, de service ou de production ou une organisation non-marchande. Ceci est du ressort de la direction générale et des ressources humaines.
La « Marketing Matrix » de Levitt modifier le Inventée par Theodore Levitt pour évaluer l’esprit marketing. Très semblable à la grille du management de Blake et Mouton, de 1,1 ? 9,9. Avoir l’esprit marketing, ce n’est pas être orienté client. Cest ?tre orienté et entreprise et clients, également21. Le marketing management[modifier modifier le code] Usain Bolt expose ses chaussure en or, confectionnées par Puma, aux caméras du monde après sa victoire aux Jeux olympiques d’été de 2008alors que l’équipementier officiel des JO est Adidas.
Un exemple d’ambush marketing Encadré par cette méthodologie et imprégné de cet esprit, le marketing se déploie ou s’implémente dans deux dimensions : le style de management et le domaine d’application Au plan du style de management, en fonction du degré d’agressivité de la concurrence, dun marketing de conquête 22 — e sont le Marketing warfare de Ries et Trout 23, s 7 concurrence, d’un marketing de conquête 22 — ce sont le Marketing warfare de Ries et Trout 23, le marketing de combat, la guérilla marketing, l’ambush marketing, etc — ? un marketinghumaniste — ce sont le marketing relationnel et le marketing 3. 24 25 en passant par des conceptions fédératrices : lacoopétition, le marketing holistique 26. Au plan du domaine d’application, des œufs frais aux avions gros porteurs, des produits d’entretien (les savons et lessives) aux beaux projets humanitaires (Les Restos du cœur, etc. ) en passant ar la culture et le mécénat. Le marketing est pluriel. En effet, la méthodologie peut s’appliquer partiellement et au coup par coup, à tout autre chose qu’à ce pourquoi elle avait été conçue à l’origine, la commercialisation des produits alimentaires et produits d’entretien en grande surface.
On a donc : un marketing B-to-B, un marketing des services, un marketing du luxe, un marketing digital, un marketing immobilier, un marketing international, un cause marketing, etc. Le brand-management[modifier modifier le code] Le logo de Renault, le losange, et son logotype ou monogramme, es 7 lettres de son nom composées d’un seul tenant. Muji. Pas de marque, mais une enseigne. L’efficacité du marketing est subordonnée à l’existence de la marque, « marque » pris au sens juridique du terme : signe, logo, monogramme, enseigne, etc..
Sans marque, pas d’ambush marketing. Sans marques sur les automobiles, pas de publicité possible. Sans marque, pas d’image de marque. Lancer un produit, c’est avant toute chose, lancer son nom de produit : la Watch. Chez Procter & Gamble, Pritchard, le directeur du marketing est aujourdhui Brand Global Officer. La prise de conscience récente e cette évidence a conduit à ajouter le naming et le bran 6 27 prise de conscience récente de cette évidence a conduit à ajouter le naming et le branding à la panoplie du marketeur.
La définition du marketing : un problème récurrent[modifier Peter Drucker(1909-2005) La définition du marketing est un problème récurrent, depuis toujours 27et dans le monde entier. Elle a été initiée par Jérôme McCarthyet Theodore Levitt dans les années soixante, reprise par Philip Kotler dans les années soixante-dix, par Peter Drucker dans les années soixante-dix Ce n’est pas un problème académique.
Quelle que soit la définition que l’on retient et le nom qu’on lui donne, le marketing est une matière d’enseignement, public et privé, et, au travers de sa mise en œuvre par les entreprises, un facteur de la compétitivité nationale. Cest un problème complexe. Fonction clé de l’entreprise (à côté de la production, de la finance, des ressources humaines, etc. ), processus, état d’esprit ? son statut même reste à définir et certains optent pour un statut hybride : tout à la fois état d’esprit, méthodologie et processus. Six approches différentes[modifier I modifier le code]
Voici six approches différentes de résolution de ce problème : Les trois définitions de l’Académie des Science Commerciales Cinq définitions données en parallèle par le même auteur, un professeur de marketing L’évolution, sur 30 ans d’une définition par un organisme représentatif, l’American Marketing Association Les définitions qu’en donnent Philip Kotler, auteur prolifique, consultant et conférencier et ses co-auteurs, Keller et Delphine Manceau La définition de Christian Grbnroos, professeur de marketing finlandais La définition de Philippe Villemus, professeur de marketing
Une compilation et une ana se factorielle des définitions données pa 21 une compilation et une analyse factorielle des définitions données par les meilleurs auteurs et experts es métiers du marketing[modifier I modifier le code] Chargé d’études, chef de produit, directeur marketing. Directeur du marketing[modifier modifier le code] Article détaillé : directeur marketing. Chef de produit[modifier modifier le code] Article détaillé : chef de produit.
Enjeux du marketing[modifier I modifier le code] Renouer une relation forte et durable avec le consommateur[modifier modifier le code] Le marketing a évolué ces dernières années d’une approche globale, dite de « masse vers un marketing plus segmenté et plus individualisé. L’augmentation des services et les nouvelles techniques de communication ont poussé dans ce sens. John Kenneth Galbraith avait décrit 28 le marketing comme un outil servant une filière inversée du capitalisme.
La complexité des technologies et le poids des investissements consacrait le pouvoir bureaucratique industriel d’une technostructure et le consommateur -en l’absence de pouvoir compensateur suffisant n’était objectivement plus maître de ses choix. Or, Ihypersegmentation du marché et la défense du consommateur (renforcée par le consumérisme) aurait rééquilibré la relation d’échange au profit de ce dernier 29. D’un marketing cherchant à convaincre le client, les entreprises cherchent maintenant à s’adapter à celui-ci 30.
Cette mutation représente un défi et des choix cruciaux pour les organisations. La question principale – dans une situation concurrentielle donnéeNotes 1 – est-elle d’optimiser prix et couts pour une valeur donnée ? de formuler une valeur optimale ? de focaliser ses compétences d’offre et de sen,’ice auprès dune lientèle choisie ? L’équilibre reste 8 7 ses compétences d’offre et de service auprès d’une clientèle choisie ? L’équilibre reste à définir pour chaque organisation en s’efforçant d’harmoniser des contraintes souvent contradictoires.
Ainsi certaines, qui visent à assurer une « coconstruction » de l’offre avec le client ou à étendre le nombre de services pour mieux satisfaire les segments de clientèle, vont être conduites à modifier leur organisation pour par exemple mettre en place une certaine modularité ou une différenciation compétitive retardéeNotes 2. Or ces pratiques ne facilitent pas oire mettent en cause les économies d’échelle exigées par ailleurs du Département production.
Repositionner la préoccupation « Marketing » dans l’entreprise[modifier I modifier le code] Dans les années quatre-vingt-dix, trois auteurs pensaient déjà que le poids de la préoccupation markéting dans l’entreprise pouvait et devait être ajusté 31 pour répondre à un triple enjeu : Question de la « bonne » intensité de reffort Markéting « Toutes choses étant égales par ailleurs, l’accroissement de la diversité des marchés et des clientèles et la globalisation de la concurrence, donc l’augmentation de la complexité de ‘environnement markéting de Pentreprise devrait conduire à une augmentation de l’intensité markéting dans les entreprises Accroissement devant s’ajuster en particulier au cycle de vie du produit ou de l’activité (démarrage/croissance/maturité/ déclin) « SI cette loi théorique s’est globalement vérifiée en markéting de grande consommation, l’observation montre que la réalité en est très éloignée en markéting industriel h. Question de l’efficacité du markéting : Le pouvoir d’influence et de persuasion du markéting censé pouvoir agir sur des publics très variés (consommateurs, entreprises clientes, 7 markéting censé pouvoir agir sur des publics très variés (consommateurs, entreprises clientes, pouvoirs publics, électeurs, etc. ) est invoqué. L’organisation attend du markéting qu’il tienne sa promesse : une efficacité plus grande dans la vente d’offres plus ou moins complexes (par ex: en cas de services associés) auprès des clients potentiels.
Or le comportement effectif du client détermine le plus souvent l’activité de l’entreprise et les outils d’évaluation ne sont parlants qu’après résultat des ventes. Ainsi est-il fondamental pour le management de prévoir et déterminer au lus tôt s’il est utile et durable de vendre une offre : d’où l’intérêt des études de marché, des études de prix de revient fournies par la comptabilité analytique et d’une façon générale par l’ensemble du système d’information. une efficience optimale : les offres doivent être configurées de telle sorte que la marge générée couvre au moins les frais fixes (du coût de production et ducoût de revient) de l’entreprise par le total des ventes. Les prévisions doivent pouvoir mesurer l’incidence d’éventuelles économies d’échelles ou synergies. ne analyse de la valeur contenue et apportée par le produit. Le niveau acceptable d’un coût cible dépend des fonctions attendues par le client. Leur fourniture au client nécessite une qualité de service à négocier avec l’ensemble des services de l’organisation qui produisent et mettent à disposition une analyse de la rentabilité prévisionnelle, idéalement définie et suivie par produit, marché, client ou canal de distribution. Question des coopérations inter-fonctionnelles dans l’entreprise : Avec à la clé la problématique du statut et des relations du marketing avec des départements comme la R&D, la production ou les ventes. Les bonnes pratiques démo 0 7