marche du vin franaçais
Le marché du vin en France : 3 variétés de Vin (rouge, blanc et rosé) 3 profils de clients (spécialiste, consommateur aguerri, nouveau consommateur) 81% des Français de 18 à 75 ans en ont bu au cours de l’année 2005.
La consommation par habitant : 47,8L/an/hab ou 58, 2L/an/ hab pour les français de plus de 14 ans 142 000 viticulteurs 3 000 sommeliers Il est concommé 1,3 verres de vin par jour et par habitant en France 3 verre max/ jour pour homme 2 verres max / jour p Ijopur d’bastinence 4 verre max en 1 seu La consommation de Achat par circuits d’a OF4 Swipetoviewn htp g 4,1 % en hypermarché et supermarché 19,1 % en hard discount 2,5% en superette et alimentation générale 5,9% dans des magasins spécialisés, 4,4% de vente directe, autres circuits En France, depuis 1960, la consommation d’alcool, et notamment de vin, n’a cessé de baisser.
Mais boire moins, cela signifie-t-il nécessairement boire mieux ? Quels nouveaux comportements cela révèle-t-il ? La loi Evin a-t-elle permis de réduire les comportements à risque ? Vin & Société, très impliqué dans la promotion d’une consommation responsable, fait le point baisse est estimée à 25 Une tendance à la baisse largement onfirmée par le baromètre Santé INPES de 2010 qui révèle qu’en 20 ans, la part de consommateurs réguliers a diminué de 30%.
Ainsi, désormais, seuls 17% des Français consomment du vin tous les jours ou presque, 45% sont des consommateurs occasionnels (1 à 2 fois par semaine ou moins) et enfin, 38 % sont non consommateurs… 83% des français consomment donc du vin une à deux fois par semaine ou plus rarement. Des chiffres confortés par une le baromètre IFOP 2012 « Les Français et le Vin » réalisé pour Vin & Société), qui indique que 71% des Français se déclarent plus attentifs et plus vigilants uant à leur consommation de vin lors d’un repas. Concernant les jeunes, 59% des 15-24 ans ne boivent jamais de vin et 29% quelques fois dans l’année.
Une consommation plus occasionnelle pour la majorité des français… mais des comportements plus excessifs pour d’autres. Dans le même temps, on note l’augmentation d’une consommation d’alcool excessive : ainsi en 201 0, des Français déclaraient avoir vécu des épisodes d’ivresse au cours de l’année, contre 15% 5 ans plus tôt. Une donnée que confirme également l’augmentation du nombre de personnes déclarant au moins trois dans Pannée – un indicateur passant de ,6% à 8,2% depuis 1992, alors qu’il était stable auparavant. Cette hausse est constatée dans toutes les tranches d’âge, aussi bien chez les hommes que chez les femmes.
Qui plus est, les buveurs sont plus nombreux à déclarer avoir bu six verres ou plus lors d’une même occasion, au moins une fois pa 2 plus nombreux à déclarer avoir bu six verres ou plus lors d’une même occasion, au moins une fois par mois au cours des douze derniers mois (passant de en 2005 à 1 en 2010). Des chiffres qui permettent de mettre en évidence un constat préoccupant : non seulement le nombre de personnes présentant ne dépendance à l’alcool est resté stable depuis 2005 — 1 personne sur 10 environ – mais les comportements à risque se sont multipliés…
Les jeunes : des comportements à risque en augmentation. Les adolescents et jeunes adultes, les garçons en particulier, sont touchés par cette alcoolisation ponctuelle mais forte, lors d’épisodes de « binge drinking qui consistent à boire beaucoup d’alcool dans un très court laps de temps. Parmi les jeunes de 16 ans, les ivresses annuelles sont passées de 29% en 2003 à en 2007. Un tiers des 15-19 ans ont rapporté au moins une ivresse u cours des douze derniers mois (41 % des garçons, 25% des filles), contre un quart en 2005.
Chez les 15-30 ans en général, la tendance est identique pour les ivresses régulières (10 fois ou plus dans l’année), passant de 8,6% en 2008 à en 2011. En 2010, les niveaux de consommation à risque chronique ou ? risque de dépendance se révèlent relativement stables selon les âges, mais sont un peu plus élevés parmi les 15-30 ans, où une personne sur dix est concernée (11%). Le constat est net : la loi Evin n’a pas eu de conséquences sur les consommations à risque qu’elle souhaitait combattre.
Au ontraire, si la consommation modéreé et occasionnelle de vin est aujourd’hui la norme dans la popu 3 contraire, si la consommation modéreé et occasionnelle de vin est aujourd’hui la norme dans la population française, les épisodes d’ivresse augmentent et le bige-drinking chez les jeues est un vrai sujet de société. Serait-il temps de repenser une politique de santé publique visant en particulier les comportements à risque, sans stigmatisation du vin, très peu consommé par les jeunes générations ? Tous les chiffres de cet article sont issus : du Barometre Santé INPES 2010 et du site www. inpes. sante. , de l’étude Baromètre 2011 de l’IFOP pour Vin et de l’enquête ESCAPAD de 2011. http://www. vinetsociete. fr/magazine/article/la-consommation-d -alcool-en-france-boire-moins-pour-bolre-mieux http://www. vinetsociete. fr/chiffres Perception du vin en France : – Savoir faire (les régions en France : Bordeaux/ Bourgogne/ Champagne/ Corse/Côtes du Rhône/ Languedoc-Roussillon/ Provence/ Sud-ouest) – Repas de famille et grandes occasions (les fêtes) – Cible toute âge et hommes-femmes – L’un des alcools le plus consommé – Chic comparé à d’autres alcools Perception de la canette France : – Pratique – À emporter partout 4